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La So News du Jour : mais où partent les ministres ? BEAUTÉ

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Ca y est, c’est les vacances, vous sirotez un cocktail au bord de la piscine ou bullez, doigts de pieds en éventail dans votre jardin… les congés payés, quelle belle invention !



 


D’autres vont pouvoir également s’adonner aux joies estivales : nos ministres !


 



Apparemment, les consignes de l’ère Sarkozy sont bien rentrées, apparemment nul n’envisage de voyager à l’étranger ; il faut dire qu’il y a déjà pas mal à faire ici.



 


Mais où vont-ils ? Telle est la question !



 


Jean-Marc Ayrault passera ainsi ses congés dans sa maison secondaire de la presqu’île de Rhuys, non loin du Golfe du Morbihan, pendant que les 2/3 de son cabinet restera au bureau.


 



La Bretagne a la cote puisque Jean-Yves Le Drian, le ministre de la Défense, élu du Morbihan ira dans son bureau à Guidel. Marylise Lebranchu et Stéphane Le Foll profiteront également du cidre local et du kouign amann.



 


Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé, partira deux semaines dans sa maison de famille en Bourgogne, tandis qu’Arnaud Montebourg ira en Saône et Loire. Aurélie Filippetti, quant à elle, taquinera les sommets en Auvergne et dans les Pyrénées.



 


Le Sud de la France est toujours the place to be, en tout cas pour Vincent Peillon et Manuel Valls (en Provence).



 


Mais la France ce sont aussi des îles ! Michel Sapin ira sur l’Ile d’Yeu en Vendée, alors que, plus veinards, Georges Pau Langevin et  Victorin Lurel se rendront en Guadeloupe (mais pas ensemble).



 




Globalement, vous allez me dire, « on s’en fout, non ? ». Et au-delà du fait que c’est un sujet de saison, vous n’auriez pas tort.



 


Mais de se dire que la Ministre des Sports, Valérie Fourneyron sera privée de vacances pour cause de JO, ça permet quand même de savourer mesquinement son mojito !





 


Source 20 mn


 




 





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Mais quel accessoire vais-je bien pouvoir choisir ? (CONCOURS INSIDE) BEAUTÉ



Les concours, c’est sympa, c’est gratuit, et ça nous fait rêver. Enfin, si les cadeaux mis en jeu sont bien choisis. Sauf que bon, comme nous n’avons pas toutes les mêmes goûts ou les mêmes envies, on ne trouve pas toujours notre bonheur lorsqu’il n’y a qu’un seul lot à gagner.


 


Alors, pour être certaines de toutes vous satisfaire, nous mettons aujourd’hui en jeu un magnifique accessoire de mode à choisir parmi non pas un ni deux ni même trois cadeaux mais bien quatre ! Vous pouvez choisir l’accessoire qui vous plaît le plus parmi les quatre que la rédac a sélectionné pour vous, nous l’inscrire en commentaire, et la gagnante du tirage au sort remportera l’objet si convoité :)


 


On ne vous fait pas languir plus longtemps, voici les jolies choses que nous avons dégotées pour vous :


 



 


En haut à gauche : la montre bracelet ronde Lipsy argent ; en haut à droite : la pochette Lincoln Mischa Barton ; en bas à gauche : les lunettes de soleil Karen Miller ; en bas à droite : le mini-pendentif rose coeur et papillon Swarowski et son cordon


 



 


Nous remercions au passage le comparateur de prix Idealo de nous avoir permis de vous proposer ce jeu concours.


 


Pour participer, rien de plus simple : il vous suffit de nous suivre sur notre page Facebook, puis de déposer un commentaire à la suite de cet article en nous indiquant quel accessoire vous souhaiteriez gagner.


 


Votre participation ne sera validée que si ce pré-requis est respecté. Et enfin, pour avoir encore plus de chances de gagner, vous pouvez :

- Vous abonner à notre page Hellocoton (+1 chance)


Nous suivre sur Twitter (+ 1 chance)


Relayer le concours en mettant un lien vers cet article sur Hellocoton (+1 chance), Facebook (+1 chance), Twitter (+1 chance)


Faire un article sur votre blog pour présenter le concours et mettre un lien vers cet article (+2 chances)


 


Pour que vos « chances » supplémentaires soient validées, merci de nous indiquer tous les liens nécessaires à la vérification, et de tout préciser dans le même commentaire. Vous avez jusqu’au 15 juillet minuit pour participer.


 


Bonne chance à toutes !





Nulle en foot mais pas en mecs : notre Euro 2012 ! BEAUTÉ






 


Dernièrement, une de mes copines est venue me rendre visite en plein Euro 2012 de football. Elle s’était assise et s’étonna toute de suite que je sois en train de regarder « ce match » (bon, c’était France / Ukraine… et vous verrez vite pour quelle équipe mon cœur balançait). Elle était ébahie que moi (je cite) « l’auteur et photographe rebelle et inclassable » (où a-t-elle pêché cette définition ?) puisse être « fan de ce jeu stupide ».


 


Eh bien, oui, j’apprécie le foot. Je ne dis plus « j’aime » car cette « passion » (mot trop galvaudé de nos jours) m’a passée quand mes consœurs ont commencé à s’y intéresser, c’est-à-dire en 1998 pendant la Coupe du Monde en France.  La déception de voir l’équipe qui devait gagner cette coupe (les Pays-Bas) se heurter en demi-finale contre les Brésiliens qui ont, eux-mêmes, perdu contre la France. J’en ai avalé mon dessert de travers et j’ai filé au lit à la mi-temps de la finale (je dois encore être la seule à avoir le mal de mer à l’évocation de cette victoire et à détester « I will survive ») !


 


Alors, oui, j’aime bien le football et, oui, je m’y connais. Je ne confonds pas corner et coup-franc, je connais les règles du hors-jeu, de la surface de réparation et autres subtilités, grâce notamment à l’apprentissage que j’ai eu grâce aux hommes de ma famille (ça aide de n’avoir que des garçons autour de soi !).


 


Donc, elle m’a regardée un peu comme je lui avais confié mon envie de m’exiler sur Mars (ou d’épouser le premier quidam venu !) et m’a demandé de lui expliquer le « pourquoi du comment en foot ». J’étais prête à lui transmettre, à mon tour, les règles de base (elle ne préparait pas non plus le diplôme d’entraîneur !) quand j’ai compris où elle voulait en venir : le classement des joueurs les plus sexy sur le terrain.


Concernant ce match, France / Ukraine, il n’y avait aucun doute que je ne trouverais rien à me mettre sous la dent (façon de parler, bien sûr !) dans le camp Français. Néanmoins, elle a établi son propre classement et j’ai baillé à partir du numéro n°2.


 


Non pas que je trouvais le jeu ennuyeux (non, non, je vous assure, faire des classements avec des jolis garçons, je trouve cela passionnant !), mais je sentais bien que mes goûts allaient encore faire jaser parmi mes copines (et cela n’a pas loupé).


 


Pour qui s’y connait un peu (ou a piqué l’Equipe de son mec, père, frère, cousin, voisin, tintin…), l’intérêt du ballon rond peut résider, aussi, dans le physique de ces messieurs.


 


Oh, je vous en prie, ne faites pas vos mijaurées ! Qui n’a pas regardé un match de foot avec son mec, en jouant « la blonde » de service pour pouvoir observer de plus près (sans passer pour la débile du coin) le n°9 de l’équipe (adverse ? Mais vous cherchez les ennuis ou quoi ?).


 


Alors, nous nous sommes installées dans le canapé et on a regardé le match ensemble, un pot de Nutella sur les genoux (pour elle) et un yaourt (pour moi !)… En papotant et faisant notre listing.


 


Bon, je vous le dis tout de suite, rien d’intéressant chez les Français (hormis les deux défenseurs centraux : Rami et Mexès). Par contre, j’ai pointé le célèbre Andreï Chevtchenko, dans le camp opposé (enfin opposé… pour elle ! Je défends uniquement l’Angleterre, toutes les compétitions confondues, mais ce soir-là, je « portais » les couleurs de l’Ukraine…) et nous sommes tombées d’accord : « Listing ! ».


 


Après avoir regardé l’Equipe et les photos sur l’Internet (oui, tant qu’à faire, autant faire les midinettes), nous sommes arrivées à un compromis sur les cinq joueurs de l’Euro 2012… Bon, bien sûr, le niveau de jeu (ce n’était pas la qualité principale retenue) n’a pas été discuté faute d’opposition (elle est vraiment nulle en foot !).


 


Voici les cinq raisons qu’il y avait de regarder l’Euro 2012 :


 





 


1. Fernando Torres (Espagne) : pas le plus brillant, mais le plus « joli » depuis, depuis… (je cherche un autre espagnol craquant…) Zorro ? Elle a adoré son sourire, j’ai admiré (encore) ses tatouages. Unanimité !


 



 


2. Andreï Chevtchenko (Ukraine) : oui, bon, il a atterri à la deuxième place parce qu’il était le plus proche de nos âges et qu’on ne pouvait pas, décemment, jouer les « cougars » sur tout le listing. En sus, il possède une voix particulièrement sexy (elle a attendu la conférence de presse d’après-match pour confirmer que « oui, avec cette voix, il remonte dans le listing ! »).


 



 


3. Andy Caroll (Angleterre) : avec ses cheveux longs, son allure élancée et son côté « bad boy», ma copine a défailli. J’ai précisé qu’il jouait à Liverpool (ce qu’elle n’a pas relevé… Savait-elle que Liverpool possédait une équipe de foot ? Enfin, plus précisément deux !) et qu’il était un brin caractériel. Il a été retenu dans la seconde ! C’est connu, les filles aiment bien les « mauvais » garçons.


 



 


4. Mats Hummels (Allemagne) : On a longtemps hésité car cela dépend des prises de vues télévisuelles ! Un coup, on criait un « joli ! », et un autre « bof ». Dans le doute (on n’est pas masos, on ne va pas regarder la Bundesliga – championnat allemand   toute la saison pour se faire une idée !), on a retenu le jeune défenseur et on a soupiré deux fois.


 



 


5. Steven Gerrard (Angleterre) et Cristiano Ronaldo (Portugal) : Egalité. Surtout parce que j’ai voté pour Steven Gerrard (avec sa tête de nounours, je craque !) et qu’elle a hululé à mort pour le portugais. J’ai refusé de nommer Ronaldo dans le top 5 car je le trouve largement surfait et elle ne vantait pas les mérites de Gerrard, l’accusant (je cite) de « galerie des horreurs anglaises ». Nous en sommes venues à nous battre à coup de coussins pour finir par le compromis du siècle : « On prend les deux ? ».


 


Alors, oui, sûrement, il y avait d’autres spécimens intéressants dans les rangs des autres équipes (l’Espagne et l’Allemagne pouvant largement gagner ce concours !), mais le principe avait été de visionner avec elle des matchs. Lorsqu’elle est rentrée chez elle et a cité à son homme les 5 noms (dont elle ignorait tout quelques heures avant) susvisés, sans préciser le pourquoi du comment, il a tellement été bluffé qu’il l’a redemandée en mariage !


 


« Il en faut si peu pour faire plaisir à son homme » m’a-t-elle dit en riant le lendemain.


Et vous, vous auriez retenu qui dans votre sélection ?


 


Article rédigé par ItemLiz Girl.



 
 


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Je t’aime mais je ne sais pas BEAUTÉ






 


Nos amis, nos collègues, notre maman, notre grand-mère auront toutes et tous goûté un jour à notre topo (voire monologue) : « Pourquoi est-ce que je ne tombe pas sur un mec bien ? Sérieusement ? Qu’est-ce qui cloche chez moi ? Pourquoi est-ce que ma meilleure amie file le big love et que mon frère se marie avant moi ? Que faire ? »
 
Prier et attendre, je ne vois que cela. Plus sincèrement, le jour où finalement vous réussissez à dégoter la perle rare (parce que quoi que l’on pense, cet événement arrive) du genre un garçon bien, droit, honnête, posé, mature et gentleman, je vous en prie, mettez de côté vos discours de capricieuse (par respect pour vos amis célibataires) : « ouais ouais, c’est un mec pas mal comparé à tous ces abruits de service mais… »
 
Mais quoi ?
Bah je ne sais…
Tu ne sais pas quoi ?
Justement je ne sais pas…
Comment ça tu ne sais pas ? Ta phrase ne signifie rien !
Oui je sais…
Tu sais quoi ?
Je n’en sais rien !
 
Stop ! T’en as pas marre de jouer à l’indécise pré-pubère qui remet tout en question dès lors qu’elle croise le bad boy de service ? Ou à celle qui n’est jamais satisfaite et qui veut toujours plus !?
 
Tu manques de vibrations ? Enlève donc le mode silence de ton iPhone !
Tu veux du challenge ? Change donc de boulot ! Cours le marathon !
Tu veux du sang neuf ?
Tu penses que tu vaux encore mieux ?
 
Tu serais donc prête à fiche en l’air une relation « durable, saine et équilibrée » avec un homme bien pour t’envoyer en l’air dix fois  avec un garçon qui dans trois semaines t’auras foutue à la porte ?! Tu as décidé de te la jouer masculine et d’écouter ton instinct bestial plutôt que ta raison ? Elle a bon dos la fameuse phrase « j’ai peur de regretter si je ne tente pas ». Tenter ? Tu t’es crue à la loterie ?
 
Arrêtons d’imaginer que l’herbe est plus verte ailleurs. Tu as raison, quitte-le ! Tu es si parfaite que tu trouveras chaussure à ton pied. Oui, en période de soldes, lorsqu’il ne restera plus que la paire 37 alors que tu chausses du 39. Le mec aussi parfait que toi t’attend… dans tes rêves ! Fais ta vie mais cesse de trépigner dès lors que tout le monde se case, sauf toi…


 


Article rédigé par Camille G.



 
 


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Lukastik, le détective qui aimait Wittgenstein mais pas les requins (roman policier) BEAUTÉ




 


« Nervöse Fische » (« des poissons nerveux », ou même, « des poissons qui ont les nerfs », pourrait-on traduire de manière plus libre) est le titre de ce roman paru en Allemagne en 2004 et traduit en français en 2011 sous le titre « Requins d’eau douce » (Folio policier).


 



Dès les premières pages, le lecteur est mis dans l’ambiance. « Lorsque le Dr Paul évoqua l’éventualité de trouver quelques dents au fond de la piscine, il avait pour cela une bonne raison. Cependant il ne parlait pas de dents humaines, quoique le corps qui flottait à la surface de l’eau fût indubitablement celui d’un homme. Mais si quelque chose était resté intact, c’était bien la tête du mort – et donc ses dents. Le corps en revanche était couvert de blessures, quand il n’avait pas disparu. La jambe droite manquait, sectionnée à mi-cuisse. […] Il était clair, même pour un non-zoologue, que ce genre de blessures ne pouvait avoir été provoqué que par un poisson, et plus précisément par un requin ».


 



Un homme attaqué par un requin ? Dans une piscine ? Située sur le toit d’un immeuble de Vienne en Autriche? Comment un requin est-il entré (et ressorti, car naturellement seul reste ce cadavre humain) d’une piscine sur le toit d’un immeuble de Vienne ? Cette étrange affaire est prise en charge par l’inspecteur Richard Lukastik, 47 ans, passionné de Ludwig Wittgenstein (il ne se sépare jamais du Tractatus logico-philosophicus) et de musique minimaliste, en particulier du compositeur Josef Matthias Haueur, contemporain de Schönberg et propriétaire d’une Ford Mustang de couleur dorée dont seuls dix exemplaires existent de par le monde.  Lukastik est un personnage maniaque, obsessionnel – il ne peut pas entrer pour la première fois dans une pièce sans avoir au préalable posé un doigt sur ses lèvres, un peu excentrique et qui développe une approche très personnelle de l’enquête policière. Sa personnalité originale l’amène à faire des rencontres qui lui ressemblent : des gens un peu décalés, sûrs d’eux et assez indifférents aux autres ou en donnant l’impression. C’est une version inédite du détective solitaire, célibataire et tenace.


 



Steinfest a une manière bien à lui de décrire ses personnages. Ainsi le Dr Paul, médecin de la police, est « un petit homme à la cravate de travers, surtout connu pour la beauté de sa femme, bien plus jeune que lui, et dont la fidélité naturelle et sans réplique constituait pour beaucoup une énigme et un scandale ». Des personnages, il y en a beaucoup dans ce livre écrit de manière alerte. Même les animaux sont étranges. Les poissons japonais « parfaits dans leurs mouvements » qui tournent dans un aquarium peuvent ne pas être tout à fait de nature animale. Ou bien, Bacon et Burton, respectivement  terrier nain et doberman, renommés ainsi après la mort de leur ancienne propriétaire par la femme qui les a adoptés mais se méfie de leur caractère car Bacon est un « joyeux colérique » et Burton s’adonne à des accès de mélancolie. Si, selon Steinfest, « le chien n’est pas vraiment l’ami de l’homme », « les halls d’hôtel, eux, comptaient au nombre des amis de l’homme », en particulier des sans-domicile fixe à condition qu’ils soient bien habillés et bien coiffés et de ne jamais se plaindre que le journal mis à la disposition des clients n’est pas celui du jour…


 



Les rebondissements sont nombreux, la vraisemblance n’est pas le souci de l’auteur et le lecteur est embarqué dans une aventure à la fois frivole et érudite, dont il ne peut imaginer la fin.


 


 



 


De Steinfest on trouve aussi en français : « Le onzième pion » (Die feine Nase der Lilli Steinbeck . Le nez fin de Lili Steinbeck. 2007. Folio Policier). Lili Steinbeck est une femme policière très élégante et  très jolie, si ce n’est ce nez qu’elle a cassé en plusieurs endroits et dont la vue traumatise ses vis-à-vis qui se demandent pourquoi elle ne le fait pas redresser… Steinbeck est aussi excentrique dans son approche des enquêtes que Lukastik et a en commun avec lui le goût des longues nuits de sommeil.  « Le onzième pion » développe des personnages hauts en couleur, dont le détective grec Killimachos, sorte de géant rhumatisant et doté d’une sorte de bouclier invisible qui le protège de tous les assauts ainsi qu’une intrigue fantaisiste et même fantastique.


 


 


 


Steinfest fait preuve d’une fantaisie à toute épreuve qui n’est pas sans rappeler certains livres de Johannes Mario Simmel (1924-2009), comme « On n’a pas toujours du caviar » (Es muss nicht immer Kaviar sein), paru en 1960 et qui s’est vendu depuis à 30 millions d’exemplaires dans le monde.


 



C’est extrèmement distrayant et quelques-uns de ses aphorismes pourraient bien s’avérer utiles au quotidien.



 


Steinfest est un auteur autrichien, né en Australie en 1961 et vivant en Allemagne. Un grand nombre de ses romans ont été primé.


 




Photo Steinfest : http://www.krimifestival-bs.de/archiv/2009/jahr-2009/



Couverture de « requins d’eau douce » : http://jackisbackagain.over-blog.com/



Couverture du « 11ème point » : http://passion-polar.over-blog.com/


 




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Adorer les vêtements mais détester faire du shopping… le dilemme cornélien ? BEAUTÉ




 


Je suis assez paradoxale, comme fille. Je suis une vraie fana de vêtements, mais vraiment dingue de dingue, hein, du genre à exploser mon budget du mois en fringues sur un simple coup de tête.


 


Mais en même temps, je déteste faire du shopping. Le seul moment que j’ai de libre pour cette activité – si je peux nommer cette torture absolue comme ça, c’est le samedi après-midi. Et le samedi à Paris dans les grands magasins, je vous assure que ça ne donne pas envie d’acheter. Flâner, se promener, faire du lèche-vitrines, aucun souci, on oublie presque les trottoirs bondés et bruyants. Par contre, faire la queue pour voir les vêtements qui pourraient m’intéresser, patienter de longues minutes avant d’accéder aux cabines d’essayage, et enfin me retenir de hurler devant les dix-sept personnes devant moi à la caisse, c’est un effort surhumain que j’arrive vraiment de moins en moins à faire.


 


Du coup, comme je sais que grâce au net et aux nombreux e-shops, je peux trouver ce que je veux sans bouger de mon fauteuil et surtout sans m’énerver, je cède souvent à la tentation d’aller voir ce que les sites de vente en ligne proposent.


 


C’est d’ailleurs comme ça que j’ai découvert un site vraiment agréable et utile : Zalando. Le côté pratique, vous l’avez compris, m’a convaincue. Mais ce qui m’enthousiasme vraiment, c’est le choix proposé sur ce site : il y en a pour les femmes (forcément ;)), les hommes, les enfants, les accessoires, la maison, et j’en passe. Et surtout – c’est ce qui m’intéresse le plus, en fait : ils proposent mes marques fétiches. En effet, j’ai découvert la marque Esprit sur Zalando, et là, j’ai vraiment eu l’impression de ne plus rien rater côté shopping.


 


Beaucoup de copines ne me comprenaient pas, jusque là, et me disaient que vraiment, le shopping en ligne pour des fringues, c’était illogique, parce que selon elles, on n’avait pas l’occasion de reposer ou rapporter les fringues qui ne nous allaient pas, et deuxièmement, parce qu’on ne trouvait pas sur le net toutes les marques qu’on porte d’habitude.


Sauf que maintenant, je peux répondre et les souffler direct, parce que premièrement, sur Zalando, la livraison et le retour sont gratuits (ça a le mérite d’être souligné !), et deuxièmement, toutes les grandes marques y sont référencées. Donc non, Elise, désolée, mais la prochaine shopping party, ça sera sans moi ! Ou alors, on fait ça chez moi… devant mon ordi ?!


 


Article sponsorisé


 


Article rédigé par So busy.



 
 


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Ma famille est complètement déjantée, mais je survis BEAUTÉ




 
Depuis quelques temps, vous suivez (ou pas) les aventures de la Smala. Bon, je vais en décevoir certain(e)s mais, il est évident que si j’avais une famille pareille, j’aurais été condamnée depuis longtemps pour « meurtres au premier degré avec préméditation », voire pour « crime contre l’humanité ».


 



Mais, finalement, certains personnages ne sont pas loin de la réalité et je peux vous assurer que mon imagination n’a pas eu à se forcer pour « les aventures ».


 



Cependant, et nonobstant le fait que cette smala est imaginaire, certains personnages sont issus des rencontres que j’ai faites depuis mon enfance et toutes les histoires au cimetière sont exactes.


 


Alors, si vous en êtes d’accord, je vais vous expliquer comment la Smala a géré la ligne de conduite familiale…. (fort mal, bien sûr).


 



Vous avez bien compris que le chef c’est GAT, un peu gâteuse mais largement au-dessus de la mêlée.


 


La ligne de conduite est donc largement caduque mais GAT s’échine à transmettre des directives vieilles de quelques décennies, transmises par ses parents (vous voyez bien la chronologie, là ?).


 


Bref, pour faire court, tout le monde dans la Smala ne s’intéresse plus au pourquoi du comment mais plutôt à « comment se sortir de cette merde ».


 



Dernièrement quelques conciliabules et autres actions rebelles se sont développés pour renverser l’être suprême et mettre sur le trône familial un « vrai et pur » leader (à ce compte-là, autant le dire tout de suite, un dictateur).


 



Suprême, sentant toujours les bons coups, s’est désolidarisé de la meute pour éviter l’hallali et a demandé à Trois de ne « rien faire, comme d’habitude ». Trois, trop peureuse pour affronter l’hystérique smala, s’est collée-serrée à Suprême, qui n’en demandait pas tant. Réflexion de Suprême à Bibi : « Elle ne va pas me coller longtemps comme cela ! Je m’en suis débarrassé une fois, je peux recommencer ! »…


 



Bref, après deux semaines de tractations en tous genres et causeries stupides, le conseil de guerre (« Ah ouais carrément ! » a dit Quatre) a jugé bon (con ?) de  ne pas virer GAT « alors qu’elle est en fin de mandat » et a voté à l’unanimité « moins deux » (Quatre et Lord of the Rings n’ayant pas assimilé le déroulé de l’histoire) pour un statuquo familial.


 



Evidemment, GAT a eu vent de cette histoire (Pétunia aurait vendu la mèche sous la menace GATienne) et a convoqué « tout le monde, merdus ! » le dimanche suivant pour « explication de textes ! ». Tout le monde a tremblé devant sa diction claire et ferme et Cousine Aglaé a rué dans les brancards.



 


FlowerPower et Lord of the Rings ont même souscrit une assurance-vie pour se prévenir d’un éventuel attentat familial.


 



Trois, Suprême et Un ont signé un pacte de non-agression et Deux, Quatre et Bibi ont assemblé toutes les preuves à charge depuis la nuit des temps.


 



Tout ce petit monde s’est retrouvé le dimanche suivant chez GAT avec des sourires idoines et les cervelles en ébullition.


 



GAT s’est alors lancé dans un discours historiquement dramatique sur la ligne de conduire familiale, les « sacrifices » des anciens, les « galères d’entre-deux guerres », les « idioties » des années 60 et « tout le bordel » qui a suivi.


 



Trois a tourné de l’œil momentanément quand elle a réalisé que GAT savait pour certains faits des années 60 (en gros, Trois aurait manifesté en 1968 et aurait fait un peu « flowerpower » à Woodstock !).



 


GAT a souligné l’importance d’une « unité familiale intacte, pleine et mature » en regardant lourdement Quatre au passage, puis a expliqué que « elle vivante » personne n’aurait le droit de transgresser « la droiture de cette famille ». Un a bien glissé à Trois effrayée un doucereux « Si elle insiste pour ne plus être vivante » qui a fait rire Cousin Edmond.


 



Sommé de s’expliquer sur ce sourire sardonique, Cousin Edmond a alors déballé tout ce qu’il savait sur les liaisons dangereuses familiales et cela a tourné à règlement de comptes à GAT city !



 


Après deux heures de tirage de maillots, de cartons rouges, jaunes, bleus, roses et verts, d’engueulades homériques, de menaces de suicide collectif, d’implorations divines et de « j’en savais rien moi » (dixit Deux amorphe depuis le début), GAT a jugé bon de siffler la fin du match et a renvoyé tout son monde à la maison.



 


Tout le monde s’est serré la main, s’est embrassé dix fois et a regagné son domicile.



 


Depuis ? Rien. Personne n’a jamais reparlé de cet épisode familial et tout le monde a repris sa vie d’avant sous le joug de GAT.


 



Trois a juste manifesté quelques troubles gastriques et Cousin Edmond une urticaire géante pendant quelques jours…. Bref, « Trois fois Rien » (dixit Lord of the Rings, au top !).


 


 


Article rédigé par ItemLiz Girl.



 
 


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Salope !? « Mais ! Mais qu’est-ce que c’est que cette matière ? » BEAUTÉ






 


J’étais lancé dans mon article, quand je fus interpellé par celui de Mademoiselle A sur « être une salope à 18 ans ». J’ai mis de côté ce que je faisais pour me consacrer à une réponse d’un homme de 30 ans qui aime les femmes et qui les respecte (non, je ne m’appelle pas Iglesias, ni Magloire). Je me suis dit quoi de mieux pour mon premier billet qu’une entrée en scène sur So Busy Girls avec un article en main qui traite de mon point de vue des femmes dans certains pays et leur conditionnement social en France.


 


Salope !? « Mais ! Mais qu’est-ce que c’est que cette matière ? » Je reviens tout juste de Montréal et de Rio, deux villes de deux pays où la condition de la femme y est différente. Le premier, les femmes ont le pouvoir dans le couple. Le deuxième, les femmes ont le pouvoir… mais grâce à leur corps. Pourquoi je parle de ça, pas pour me la péter… (bon ok ! J’avoue, je voulais juste glisser que je suis parti en vacances là-bas). Mais tout simplement pour constater de la différence de mentalité avec la France, et que vous n’avez pas à admettre que vous êtes des « bitches ».


 


Ça m’attriste un peu de constater que vous acceptiez de vous considérer comme des salopes en France (au risque de me faire traiter de fayot). Est-ce que ça signifie que vous cautionnez cette fermeture d’esprit au changement de la société qui reste propre à la mentalité Française ? Et puis, les filles ne se font pas traiter de salope dans tous les pays à tous les coins de rue. Faux !


 


Brésil, Colombie, Canada, et Pologne sont des pays où les femmes s’habillent sexy. C’est ancré dans les mœurs. Ma première fois en Amérique Latine, j’ai effectivement constaté le choc visuel des cultures avec mon regard de Français, et, ca n’a pas été beau. Par réflexe stupide, je bavais en pensant au mot « salope » à la vue d’un « avion de chasse » (Je l’avoue, je faisais mon fucking french, mais faute avouée, à moitié pardonnée non ?), non pas parce qu’elle était vulgaire ou autre (elles avaient l’air gentilles en plus), mais plus pour l’effet sex-appeal qu’elles dégageaient. Je me suis rendu compte du pouvoir du conditionnement social. Et puis aussi car nous les mecs, nous sommes des animaux, enfin je parle pour moi, disons que je suis un animal avec une cravate, et un costard. Cette excitation engendre de la frustration, beaucoup d’entre nous n’arrivent pas à gérer leurs émotions. Ce n’était pas le cas des locaux. Les mecs étaient d’un cool, l’air indifférent et habitué, en comparaison avec moi et ma température qui augmentait, le menton brillant, tombant amoureux à chaque coin de rue d’une nana dont la suivante me faisait oublier la précédente. J’ai bien cru que j’allais « clamser ». J’ai, depuis, changé mon regard sur les Femmes, appris à gérer mes émotions, et à trouver ce changement de mœurs normal.


 


Dans ces coins du monde, les femmes ne sont pas emmerdées, ni insultées dans la rue, à la différence de la France. Elles sont en mini-jupes à ras la salle des fêtes mais pas de soucis, pas de relous.


 


En ce qui concerne les personnes affirmant : « Si vous voulez éviter de vous faire violer, commencez déjà par ne plus vous habiller comme des salopes », hmmmmm ça sent la frustration. Ce n’est qu’une question de génération. Que doit se dire dans sa tête un papa quand il voit une « bombe » ? « Putain, je suis pas né à la bonne époque ! Merde » ? Et sur la place publique, le discours est tout autre : « Si vous voulez éviter de vous faire violer, commencez par… blabliblou », c’est peut-être pour lui qu’il dit ça ? Pour ne plus sentir sa frustration monter. Ce discours est (je pense et j’espère) voué à disparaître. Car les jeunes s’accommoderont sans doute mieux que nous de la tenue sexy de leurs camarades. Le seul souci, c’est d’être conditionné à reproduire inlassablement le discours de l’ancienne génération. A dire que « les filles d’aujourd’hui sont des salopes à leur façon de s’habiller ».


 


C’est le changement de la société qui dérange. Non, pardon, c’est le changement tout court ! J’exerce un métier de consultant en gestion du changement dans les entreprises, je suis bien placé pour constater qu’on est un pays où l’on a peur du changement. Résistance, réticence, peur de l’inconnu ! Un changement d’outils informatique fait aussi peur qu’un changement de mœurs. Cependant, quand je fais un tour sur le groupe Facebook de mon lycée, et que je clique sur photo de classe, année 1998, on était habillé comme dans Derrick. En 2012, elles sont habillées comme dans Gossip Girl. Ce qui se portait sous une jupe il y a quinze ans se porte aujourd’hui sans la jupe, là où nous on se contentait de filles sapées d’un Levis, d’un sweat Schott et d’Air Max. La tristitude ! A mes 18 ans, une fille en talons aiguilles en cours, c’était une image de synthèse, ça n’existait pas. C’était un évènement rare d’en voir une porter le combo, bottes/jupe et, à l’époque, tout le lycée était au courant dans la demi-heure. Tous les mecs couraient derrière comme des chiens derrière une voiture… enfin… non, il n’y avait que moi en fait ! Plus sérieusement, je suis plutôt content de voir ces nanas montrer qu’elles sont bien dans leurs corps et constater un changement. Ça commence à s’ancrer dans les mœurs.


 


Brésil, Colombie et Pologne sont des pays où les femmes sont réputées être des bombes et savent se mettre en valeur, c’est dans les mœurs depuis des années, même depuis les années 50 (je pense au Brésil), Dario Moreno le disait déjà dans sa chanson. Mais par-dessus tout, il y a un certain respect de la femme. Ici, on dira « le respect de la femme?  C’est quoi ce truc ? Connais pas ! », même mon frère me traite de fils de pute.


 


Je resterai sur ce sujet: Prochain article sur le pouvoir des femmes au Québec, vous allez être surpris(es). Vous apprécierez le girl power… ou pas.



 


Article rédigé par Mon bon pote.



 
 


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Je suis hétéro mais je me soigne BEAUTÉ




 


Trois semaines, voire quatre, je ne les compte plus à vrai dire, que l’on se coltine les grands débats. Et quels débats ! Du grand level, que dis-je, du très haut niveau !


 


Pour ou contre le mariage gay ? Et comme ci cela ne suffisait pas, nous avons désormais droit au « Pour ou contre l’adoption par les couples gays ? ». Quel joyeux bordel, ce XXIème siècle ! Vivement les grandes questions existentielles telles que « Coucher ou non avec un vampire ? », « Le loup-garou ressent-il l’amour ? » ou alors « Peut-on épouser une fée ? ». Cela va envoyer du pâté !


 


En attendant, on va devoir subir du sexe entre même sexe. Rien de palpitant. Non vraiment rien. Savoir que Bernard et Roger ont été déclarés mariés et qu’ils vont pouvoir enfin ne remplir qu’une seule et même feuille d’imposition me rend toute chose ! Brigitte et Lucienne sont sur le point d’adopter  le petit Aflonsi. J’en suis ravie. Elles vont enfin avoir une demi-part en plus sur leur quotient familial pour payer moins d’impôts.


 


Tu m’étonnes que l’Etat soit contre toutes ces mesures, il est en train de se faire niquer alors qu’il essaie de nous la mettre par derrière !


 


Article rédigé par Camille G.



 
 


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Mais sérieusement, comment tu fais pour avoir un aussi beau mec ? BEAUTÉ



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Eh oui les filles, j’ai un beau mec. Depuis 12 ans. Brun, cheveux longs, musclé et tatoué. J’adore…


 


Pourtant, il n’était pas comme ça quand je l’ai rencontré. Coupe courte et soignée, costume, un peu de ventre because pas de sport. Mais ça ne m’a pas empêchée d’avoir le coup de foudre. Ses yeux bleus, magnifiques, étaient à tomber. J’en suis d’ailleurs restée sans voix pendant quelques secondes. Heureusement, il ne m’a pas prise pour une neuneu, tout absorbé qu’il était à gérer son propre trouble. Ouf.


 


Je disais donc que j’ai un beau mec. Soit. Tu me demandes comment je fais alors je vais essayer de te répondre histoire que tu en aies un aussi (il n’y a pas de raison, par contre, je garde le mien, trouves-en un autre).


Déjà, je ne suis pas un thon. Pas une bombe non plus, rassure-toi. On me dit jolie. Enfin, de moins en moins je trouve avec le temps qui passe. D’ailleurs, as-tu remarqué comme les rides et les cheveux blancs embellissent les hommes alors que nous, les femmes, on doit faire des couleurs chez le coiffeur et mettre des tonnes de crème anti-rides ? C’est pas juste, je te l’accorde. Vivement que la beauté soit aux cheveux blancs, rides et 0 épilation chez les femmes. Ca nous fera des vacances…


 


Ensuite, j’essaie de garder la ligne, parce que ce qui lui plaît, c’est plus un 38/40 qu’un 44/46. Dommage pour les chocolats que j’adore et qui me font de l’œil au supermarché. Résiste. Je ne sais pas si ça prouve que j’existe mais c’est mieux pour mon tour de taille.


 


Enfin, je ne sais pas par quel miracle, mais il m’aime. Alors il veut être beau pour moi, car il aime que je l’admire. Il met un joli jeans pour que je trouve ses petites fesses sexy, un-t-shirt moulant pour que je vienne me blottir contre ses pectoraux. Il est comme ça mon homme, amoureux. Et ça le rend beau.


 


Je lis dans tes pensées, tu te dis qu’il me trompe à être aussi beau. Honnêtement, je ne le pense pas, mais s’il le fait, qu’il le garde pour lui, ça ne m’intéresse pas. Tant qu’il m’aime ! Et qu’il se protège surtout, j’aime la vie.


 


En plus, il n’est pas seulement beau, il est gentil. Adorable. Toujours là pour me soutenir quand ça va mal (et vice-versa, je lui rends la pareille). Il s’occupe de nos deux enfants aussi, un vrai papa poule. Et tiens-toi bien, il fait le ménage ! Enfin, on le fait ensemble, ce qui est bien appréciable car j’y passe deux fois moins de temps du coup. Bon, il en fait des tonnes quand il faut changer la couche du petit qui a fait popo mais il le fait quand même.


 


Je ne sais pas si c’est moi qui ai un secret ou si j’ai juste eu de la chance quand je l’ai trouvé sur un site de rencontre. En tous cas, je l’ai et je le garde. Na.


 


Et toi, il est comment ton mec ?


 


Article rédigé par Sandrine.


 
 


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Mais en fait ça veut dire quoi être Geek ? BEAUTÉ




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Le mot « geek » est officiellement entré dans le Larousse et le petit Robert en 2010 et a été défini selon ces termes : « Fan d’informatique, de science-fiction, de jeux vidéo, etc. Toujours à l’affût des nouveautés et des améliorations à apporter aux technologies numériques. »


 


Depuis des décennies, le Geek a connu une certaine évolution, jusqu’à en devenir un produit marketing. Mais être Geek c’est bien plus que ce que la majorité en pense ou de l’image qu’on lui a donné.


 



L’évolution du Geek



 


Lorsque j’étais adolescente, être Geek n’était pas forcément ce dont je me vantais le plus, bien au contraire. On peut même dire que c’était un peu la honte voire même la méga loose. Immédiatement catégorisé dans la rubrique des « no-life », des personnes qui préféraient passer leur soirée à réparer leur ordinateur plutôt qu’être avec ses amis. Bref le Geek n’avait à l’époque pas très bonne presse.


 


Il est vrai que taper une vingtaine de ligne de code pour obtenir un titre en gras planté au milieu de la page de navigateur ne pouvait fasciner que moi. Mais il fallait bien commencer quelque part. Etre Geek, cela a été très loin d’être cool.


 


Mais c’était sans compter sur l’arrivée de Geeks très célèbres, et pour le coup très riches (et pour le coup beaucoup plus intéressants) comme Steve Jobs, Mark Zuckerberg ou encore Bill Gates. La geekitude s’est mise alors en marche et tous les Geeks de la planète ont pu faire leur « coming-out » sans qu’on risque de leur lancer des pierres.


 



Le Geek c’est chic et surtout il fait vendre



 


Et oui, aujourd’hui les choses ont bien changé, le geek c’est chic. Aux oubliettes le jeune boutonneux derrière son ordinateur qui passe des jours et des jours sans voir la lumière du soleil. Le geek est aujourd’hui une personne comme tout le monde, qui peut même avoir une vie sociale sans se limiter aux réseaux sociaux. On ne se cache plus, il suffit de regarder les descriptions des profils sur le web, tu trouveras du Geek à foison. Seulement voilà, en ayant fait du Geek un phénomène de mode, on lui a enlevé toutes ses qualités, tout ce qui le définit réellement.


 


Le Geek est aujourd’hui  tellement chic qu’il en est devenu un objet de Marketing. Si tu possède le dernier IPad, si tu as le dernier Samsung ou si tu utilises Instagram, tu es considéré comme Geek. Les marques l’ont d’ailleurs bien compris et rivalisent d’ingéniosité et de créativité pour attirer ces « geek à la (pointe de la) mode ».


 



Ma définition du Geek est bien différente



 


Etre le roi du LOL, MDR, XD ou bien passer 24h/24 sur les réseaux sociaux ne fait pas de toi un Geek, non juste un accroc aux relations virtuelles et peut être même un véritable « no-life ».


 


Selon moi, être un Geek est bien plus noble que cela.


 


Il s’agit d’une personne qui aime apprendre par lui-même. Il pourra passer des heures à apprendre de nouveaux langages informatiques, à comprendre les évolutions du web et leur impact. Un vrai Geek est un autodidacte. On ne devient pas Geek, on naît en mode 2.0 et c’est tout.


 


Même si le Geek est passionné par un sujet bien précis, il prendra du plaisir à apprendre sur des sujets touchant de près ou de loin sa passion, toujours dans le but d’enrichir sa culture et ses domaines d’expertise. Le cerveau du Geek est une sorte d’éponge qui se nourrit de tout ce qu’il lit, apprend, expérimente.


 


Un Geek peut s’extasier devant des choses dont la plupart du monde se contre-fiche (cf plus haute la vingtaine de lignes de code) et qui pourtant le rendront fier.


 


Le Geek se caractérise par une volonté toujours accrue d’apprendre, de découvrir, de réfléchir pour trouver par lui-même la solution à un problème. Problème que la plupart des gens considéraient comme inutile voire stupide. Un Geek ne baisse jamais les bras et pourra aller jusqu’à se priver de sommeil pour finir un projet qui lui tient à coeur.


 


Le Geek est doté d’une imagination sans borne et possède une bonne culture générale.


 


C’est cette définition qui me permet d’être fière d’une Geek !


 
Source image : fotolia
 


Article rédigé par Optimum.


 


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Mère au foyer ? Allô, non mais allô quoi ? BEAUTÉ



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De nos jours, rester à la maison, faire la cuisine, les machines, le ménage, changer les couches de bébés… Mère au foyer au 21ème siècle, allô non mais allô quoi ? T’es maman et t’as pas de nounou ? Allô, non mais allô, c’est comme si j’ te dis : « T’es maman mais t’as pas d’ bébé » 



 


Oui, même le coup du « Allô » est arrivé à mes oreilles alors que depuis six mois, comme de nombreuses jeunes mamans, je ne me sens pas vraiment dans le coup ! Je n’aurais jamais pensé m’occuper de Nénette mini Princesse à plein temps aussi longtemps. Mais j’avais mon Joker, Chéri, très présent pendant ma grossesse et depuis l’arrivée de Mini-Nous. Mon Joker change de jeu et ne sera plus avec nous une partie de la semaine. Vous voyez ma tête triste ? Je ne pourrai plus sortir ma carte magique pour aller changer la troisième couche piégée de la journée, pour faire du ménage à ma place ou me permettre d’aller aux toilettes en paix. Pour les nuits et les réveils matinaux, en revanche, c’est toujours la Dame de cœur qui remporte la mise.



 


Depuis tous ces mois, je crie haut et fort que je ne suis pas faite pour être maman au foyer, non, non et noooon ! Je me serais bien vue Maman à mi-temps… Façon de parler, bien évidemment. Parfois, on ne choisit pas toujours et six mois sont passés. J’ai eu peur de ne pas lui apporter autant que les activités de la crèche, que la présence d’autres enfants. J’ai eu peur que nous ne trouvions jamais un rythme qui nous convienne à toutes les deux. J’ai eu peur de ne pas trouver de solution à tous ses maux, bien nombreux les premiers mois.


 



Certainement les six mois les plus difficiles de ma vie ! Maman au foyer c’est le « job » le plus complexe qu’il m’ait été donné de faire – merci tous les soucis de bidou de ma pauvre Nénette –  mais aujourd’hui quelle satisfaction de la voir si heureuse, si réactive à tous nos jeux, à toutes nos paroles. Je suis fière et je me dis que j’ai fait du bon boulot, le plus remarquable. Pourtant, la question que j’entends le plus souvent depuis que j’ai accouché et cela même après quelques jours, c’est si mon travail avance… Alors non, je n’ai pas encore trouvé la solution miracle pour  garder ma fille à plein temps et travailler vraiment en même temps. Que l’on travaille ou que l’on soit à la maison, il n’y pas de solution de facilité et les mamans au foyer ne se tournent pas les pouces, loin de là ! Le principal, c’est de faire ce que l’on veut, ce que l’on peut ou ce que l’on doit faire, sans jugement et que le temps que l’on passe avec bébé, que ce soit quelques heures ou toute la journée sentent bon l’amour. Non ?



 


Alors, mère au foyer, allô, non mais allô ? Bienvenue sur la messagerie de la maman la plus comblée, je suis occupée à rigoler avec ma fille… Pendant un temps indéterminé… Sans Joker, mais je vais y arriver !


 


Article rédigé par Satine et Paladins.


 


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Des bébés rapprochés, un peu mais pas trop ? Je dis oui ! BEAUTÉ



Depuis le jour où j’ai décidé que OUI j’aurai des enfants (un beau jour, j’ai eu ce déclic) (bizarre, la fille), j’ai aussi décidé que OUI j’en aurai plusieurs. Etant moi même issue d’une grande fratrie, il était évident que mon premier enfant ne finirait pas fils/fille unique. Restait à trouver le prince charmant, qui serait partant (ceci est une autre histoire).


 


Par plusieurs enfants, la majorité des gens entendent 2, voire 3. Mais nous, avec Papachou, on est des dingues ! On n’en veut pas un, ni deux, ni trois, mais QUATRE, voire même CINQ ! Oui oui oui, tu as bien lu : quatre ou cinq petits anges monstres qui nous courent autour et nous couvrent de bisous (il faut comprendre par là, qui nous sollicitent à longueur de temps et qui nous empêcheront d’aller au ciné pendant au moins 20 ans).


 


Souvent, quand j’évoque ce désir (un peu hors-du-commun), mes amis et notre famille nous prennent pour des inconscients. Alors oui, quand on veut des enfants avec un grand S (à la fin du mot) (oui, je sais que le mot enfant commence par un E), il faut pouvoir les assumer. Et bien évidemment, si la vie ne nous le permet pas, nous n’aurons pas cinq enfants pour le plaisir, pour le fun, pour les voir mourir de faim. Non. On est un peu cinglés, certes, mais on reste des gens biens, quand même.


 



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Ceci étant dit, venons-en au fait. Aujourd’hui nous avons UN enfant, Bébéchou, 8 mois, adorable de son état, et… nous pensons déjà à son futur petit frère/sa future petite soeur.


 


Faut-il culpabiliser ?


 


Je ne sais pas. J’ai à la fois très envie, très hâte de fonder cette famille idéale, cette famille à laquelle nous rêvons, et malgré tout je ne peux m’empêcher de me dire que je n’ai pas assez profité de mon premier tout-petit-choubidou.


 


SAUF QUE


 


* Une grossesse, ça dure 9 mois, alors j’ai encore le temps, en fait, d’en profiter de mon premier-déjà-grand bébé !


* Ne sera-t-il pas heureux, lui aussi, de grandir auprès d’un(e) petit frère/petite soeur avec qui il pourra jouer faire des bêtises s’ennuyer chanter danser se disputer ?


* Une trop grande différence d’âge, je dis NON… !


AH. Revenons sur ce dernier point. Nous nous sommes fixés 3 ans. Au maximum, trois années d’écart entre nos 2 premiers enfants. Dans mes rêves les plus fous, deux ans, même. Evidemment et encore une fois, c’est plutôt la vie qui décidera de notre sort, mais nous ferons de notre mieux (dans un prochain post, je vous apprendrai à concevoir un enfant) (je plaisante, hein, soyons clairs).


 


J’ai moi même 2 ans d’écart avec numérobis, et je trouve cela PAR-FAIT. Ni trop peu, ni trop tout court (merci maman). Mon homme, quant à lui, a 5 ans d’écart avec sa soeur, et là, par contre, je grince des dents (ça m’arrive) (mémé-natachouette-coucou).


 


Alors des bébés rapprochés, un peu mais pas trop, c’est un choix, c’est voulu, et c’est mûrement réfléchi.


 


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Des bébés rapprochés, un peu mais pas trop, c’est aussi une maison pleine de vie, un quotidien animé, une entente grandissante entre deux petits êtres qui apprennent à se connaître au jour le jour. Nous voulons que nos enfants soient élevés ensemble, qu’ils soient complices puissance 1000, qu’ils puissent avoir des centres d’intérêts communs, partager leurs jouets, peut-être même leurs amis (non, là, j’exagère) (quoi que ;) ).


 


Des bébés rapprochés, un peu, mais pas trop, c’est aussi une manière de ne pas avoir à ré-investir de suite dans toute la puériculture dont nécessite un tout-petit. Fastoche, on a déjà tout : les fringues n’ont pas eu le temps de prendre l’odeur du grenier et toute la puéri n’a pas eu le temps de se voir finir chez la voisine de la copine de ta cousine Germaine qui connait Gertrude qui va accoucher de son septième enfant (bon, ok, ça creuse un budget aussi, un peu, quand même).


 


Des bébés rapprochés, un peu mais pas trop, c’est surtout de l’amour en barre, du bonheur à l’infini, des plaisirs illimités.


 


Enfin, des bébés rapprochés, un peu mais pas trop, et il faut pas se leurrer, c’est de la fatigue au quotidien, des cernes tous les matins, des envies de meurtres hebdomadaires ; c’est de la lassitude, beaucoup d’organisation, de la patience (oui, je sais ce que tu te dis à cet instant précis) (je ne suis pas organisée) (je ne suis pas patiente) (ah ah ah).


 


Alors peut-être (et sans doute) que j’idéalise. Mais je l’ai dit, et le redis, nous sommes fous. OUI. Fous d’amour. Et ça, personne ne pourra nous l’enlever !


 


Alors, chéri, on s’y met quand ? #clindoeil


 


Article rédigé par Cha Mallow.


 
 


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Quand tu es célibataire… mais que ça va ! BEAUTÉ



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Quand tu approches de la trentaine et que tu deviens tout à coup célibataire alors que la quasi-totalité de tes copines en sont déjà au deuxième lardon, tu te plonges dans un nouveau monde, un monde qui va t’ouvrir bien des portes (et pas toujours des plus agréables si tu vois ce que je veux dire…).


 


Dans un premier temps, tu te délectes de la situation : ce grand lit pour toi toute seule, certes froid… mais enfin, on n’a pas inventé les couvertures chauffantes pour les pingouins, ce silence exquis (souviens toi des longues heures où Monsieur jouait de la guitare, tu sais le même accord maintes et maintes fois répété parce que « même  Mozart a dû bosser dur pour être le génie qu’on connaît ») et enfin et surtout ce petit goût de liberté qui n’a pas son pareil….


 


A toi les heures devant Le bachelor, le plaid en pilou pilou lovant ce corps dans un état de mollesse absolue, les soirs où un bol de Spécial K te fera office de dîner (célibataire mais toujours soucieuse de sa ligne !), les virées à Zara le samedi, les vides greniers le dimanche, les heures passées dans ta baignoire à tester le dernier bain moussant Fraise / noix de macadamia de chut chut pas de marque… la vie quoi !


 


Alors je sais bien, toi copine qui continue à ramasser les chaussettes dépareillées (et trouées) de ton mâle, tu cries à l’injustice, tu hurles ta détresse : zut, flûte (je précise qu’en vrai ce ne sont pas tout à fait les termes utilisés !), pourquoi je ne peux pas moi aussi goûter à cette légèreté ?


 


Sois rassurée ma jolie, voici la suite de l’histoire :


 


D’abord, quand toutes tes copines auront décliné ton invitation du samedi après-midi pour cause de sieste de lardons et grande fatigue de la semaine (pour rappel, le tien de lardon est chez son papa une semaine sur deux), tu ne trouveras pas forcément le courage d’aller dépenser tes derniers euros chez Zara (et puis tu l’as déjà fait les deux dernières semaines, tu connais déjà tous les modèles… c’est d’ailleurs là que tu t’es rendue compte que finalement, le 34 t’était un peu juste…).


 


Et puis les Spécial K c’est sympa… mais arrivée au vendredi, tu finis par rêver à un vrai repas, un bon steak qui suinte le gras, des frites que tu auras outrageusement salées, un bon morceau de fromage dans du pain frais (la célibataire ne jure que par le pain de mie qui peut durer des semaines… normalement, elle attend même de le voir verdir avant de céder à l’appel de la poubelle) et un bon dessert maison (voire Picard… mmm). Et là, tu te souviens des tartiflettes débordantes de reblochon et de crème fraîche que tu préparais pour chéri chéri à l’époque de.


 


Autre point non négligeable, certes tu es célibataire (avec enfant, ouf !) mais SURTOUT tu vas avoir 30 ans ! Et ça, ce n’est tout simplement pas acceptable !


 


Célibataire à 30 ans pour la plupart, c’est une malheureuse à sauver, un défi, une âme en peine qu’il faut à tout prix recaser parce que c’est sûr, on a un super copain à lui présenter, un garçon bien sous tout rapport.


 


« Tu verras, il a tout pour plaire, il fait un peu vieux garçon comme ça mais il est plein  de ressources, je t’assure, tu vas l’A-DORER ! ». Dans la vraie vie (la vie des hasards, des concours de circonstances…), tu as déjà bien du mal à faire ton choix parmi cette foule de garçon en peine d’amour (on est d’accord, je fais ma loveuse là mais quand je dis  « d’amour », je pense aussi à bien d’autres choses…).


 


Bref te voilà donc face à François, bonne connaissance d’une amie (toujours se méfier des amis des amis !), un Perrier citron à la main (ce n’est pas parce que tu es célibataire que tu vas tout à coup aimer le kir royal tant prisé par tes copines). Pas une once de conversation mais des années de frustration visibles dans ce regard de chien battu qui attise davantage ta pitié que ton désir de jeune femme pétillante, vibrante, passionnée… oups je me suis un peu emballée là…


 


François ne sera donc pas l’Homme et finalement ça n’est pas plus mal. Pour la forme, tu diras quand même à ton amie qu’il était très poli et euh… ponctuel (bah quoi… tu lui as déjà trouvé deux qualités, c’est déjà pas mal non ?).


 


Outre François, il y aura aussi une petite bande de vautours qui, à l’annonce de ton célibat, multipliera les petites attentions (« tiens c’est marrant je ne savais pas que tu aimais cuisiner, figure-toi que je suis le prince du fondant au chocolat » – non non Messieurs, savoir renverser un sachet de pâte à gâteau dans un saladier n’a jamais fait de vous un cordon bleu !).


 
Mais avouons-le, même inapproprié, maladroit, dénué de tout romantisme… cet élan d’intérêt fera le bonheur de ton égo qui avait fini par disparaître sous une carapace de tortue de Nouvelle Calédonie.
 
Certains nous appellent les célibattantes, j’aurais tendance à trouver ça assez réducteur et  finalement injuste au vu de toutes ces princesses en couple qui se battent pour réussir là où on a posé sa dem’ sans préavis un jour où…
 


Pas plus battante qu’une autre donc, il y a même des jours où les armes sont sagement rangées et cette fameuse vulnérabilité à peine cachée… pour peut-être laisser la place à un nouveau chéri-chéri… qui sait ?


 


Source image : www.lipstickalley.com


 


Article rédigé par Mamandine.





Il n’est pas jaloux, mais il se soigne ! BEAUTÉ




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Mon homme me laisse perplexe… Il n’est jamais jaloux. Quand je dis jaloux, c’est jaloux d’éventuels hommes qui pourraient croiser mon chemin et ma vie.  Je n’arrive pas à savoir si c’est une qualité ou un défaut. Et à voir quel impact cela a sur moi. Mon homme me laisse sortir comme je le souhaite, me laisse partir en week-end avec mes copines, me laisse voir d’anciennes amitiés masculines et surtout ne me flique jamais sur mes réseaux sociaux. Je ne crois pas l’avoir déjà vu fouiner dans mon téléphone à l’affût d’un pseudo message tendancieux.


 


Je me suis donc posée les (plus ou moins) bonnes questions, à savoir, pourquoi il n’est pas jaloux.


 



Est-ce que cela vient de moi ?



 


Au premier abord, tu dois te dire que je ne suis pas visuellement appétissante.  Difficile de se juger et de se jauger soi-même mais je pense être « normalement » délectable, ni trop fine, ni trop épaisse, je prends soin de moi, je me pouponne, bref, je ne fais pas négligée… On peut donc supposer qu’il ne se dit pas que de toute façon, il ne prend pas de risque à me laisser vaquer à mes occupations en dehors de la maison.


Je pense être sociable, je fais rire, et le rire participe aussi au processus du fait de plaire…


 


J’évolue dans un monde assez féminin (instit), je côtoie principalement des femmes au travail et lors de mes activités physiques.


 


Je vois assez facilement quand on me « cherche » un peu de ce côté-là et très naturellement, je lui en parle toujours très souvent sur le ton de l’humour  ou bien quand j’ai un doute, je lui expose les faits pour avoir son avis et analyse.


 



Est ce que cela vient de lui ?



 


Mon homme ne voit pas le mal dans les relations humaines. C’est parfois un défaut, d’autres fois une qualité qui lui permet très souvent de désamorcer la bombe qui sommeille en moi.  J’analyse toujours tout, trop…


 


Il me fait confiance. On parle assez ouvertement de toutes ces choses-là. On a sûrement ce qu’on appelle un petit jardin secret, tous les deux, mais de manière générale ça communique bien chez nous.


 


J’ai parfois eu des mecs qui me draguouillaient, je lui en ai toujours parlé.


Notre couple fonctionne bien, on n’a pas trop de lacune de quelque côté que ce soit, ça participe sûrement au fait qu’on ne regarde pas trop si l’herbe est plus verte ailleurs.


 



Pourquoi j’aimerais qu’il le soit…



 


Mon homme n’est pas jaloux. Et tu pourrais trouver ça chouette mais, en réalité, j’aimerais parfois piquer sa jalousie pour voir que c’est important pour lui que je sois sienne, qu’il ne me tienne pas pour acquis…  De toute façon, dans une vie de couple, rien n’est acquis. Et le désir et l’envie passe aussi par ce petit picoti d’inquiétude qu’est la jalousie. Une toute petite jalousie bien saine qui entretient le feu. Une jalousie en guise de preuve d’amour supplémentaire, qui attiserait le désir et pimenterait la vie…


 



Mais il se soigne !



 


Cette année, j’ai été amenée à travailler dans un monde un peu plus « viril » et masculin.  Je côtoie des hommes, certes plus âgés que moi mais qui du coup n’hésitent pas à s’amuser de ce genre de choses… Des hommes à la bonne quarantaine qui s’amusent à embêter la jeunette que je suis. Et qui ont le verbe plus léger de cet aspect. On se marre bien, je lui raconte… Rien de méchant, rien d’inquiétant, je n’éprouve que le plaisir d’être un peu encensée avec  le goût de soigner mon apparence semaine et week-end. Même pour blaguer, recevoir des compliments extérieurs à ce qui est déjà acquis, ça ravigore ma confiance et me donne envie de lui plaire plus encore.  Et cela a titillé sa jalousie jadis inexistante : » oh, pourquoi tu mets une robe/une jupe pour aller au travail… », « je ne veux pas que tu sois si jolie pour bosser »… J’ai trouvé ça chouette !


 


Depuis peu, il regarde et s’inquiète des hommes qui peuvent croiser notre chemin et on s’en porte très bien… On en tire profit…


 


Et tu te demandes si je suis jalouse, pour ma part… ? Oui… Pas jalouse JALOOOOOUSE, mais jalouse quand il évoque certaines connaissances…


 


Et toi, la jalousie, tu connais ?


 


Article rédigé par Les tribulations d’une Poulette


 
 


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Mariage champêtre mais sans Mémé BEAUTÉ



Et sans pépé, sans tati et encore moins sans le vieux oncle Alfred. Que des jeunots le cheveu non blanc, le crâne sans calvitie, la ligne fine et la tenue irréprochable qui célèbrent l’union de magnifiques amoureux dans une ambiance d’union avec la nature. So Biotiful !


 


C’est l’image des  mariages que je me suis faite depuis l’année dernière. En parcourant les blogs « wedding » (et en bavant sur l’abondance + le débordement d’amour flagrant), je me suis rendue compte que la mode du mariage prout-prout coincé avec toute la smala qui braille dans tous les sens est définitivement has been.


 


mariage-champetre-bucolique-a-la-mode

 


Authenticité, romantisme, bla bla… Retour aux sources !


 


Ou l’art de faire des économies ! Désormais on ne jure que par le champêtre, le fait main et maison, les tenues à la fois légères mais habillées, les décors rustiques, la verdure, la simplicité en somme. Préférez une grange de ferme ou une étendue verte pour inviter vos convives. Des lieux insolites, curieux et si peu coûteux ! Tu m’étonnes que Mémé ne soit sur aucun champ visuel des photos de mariage ! Elle ne devait sûrement pas être conviée… On avait trop peur qu’elle ne chute dans un buisson et qu’elle plombe la soirée en se retrouvant aux urgences ! Imaginez le drame nuptial !


 


« J’avais réservé une somptueuse suite dans un palace haut de gamme… »
« WAHOOOOOOOOOOOOOO quelle classe ! »
« Mais j’ai passé la nuit à l’hôpital. »


 


Casser les codes, c’est tellement fashion


 


Le marié peut se ramener en jean basket avec le nœud papillon. Quant à sa dulcinée, elle débarque avec la robe courte blanche de chez Asos (ou autre site de shopping). Une robe à moins de 100 euros, vous y croyez ? Un marié en bermuda ? Tout est possible. Plus on est original et moins y voit du feu : nos jeunes mariés sont en fait fauchés et comptent sur la boîte magique prônant à côté du buffet pour amasser un max de pognon. Ni vu ni connu, j’en connais qui vont partir en voyage de noces à l’œil.


 


Le lancer de riz n’a rien de traditionnel ! Cela revient juste moins cher que d’ensevelir la mariée de pétales de roses (à moins de les piquer chez votre voisine ou sur les ronds points municipaux de villes riches). Nouvelle idée : le lancer de bouchons en plastiques. On en trouve partout ! Par exemple dans mon entreprise à 3 mètres de mon bureau se trouve une collecte de bouchons. En plus, on peut les peindre de toutes les couleurs ! Effet surprenant (et brutal) garanti.


 


Ton foie te remerciera


 


Entrée, digestif, plat, digestif, fromage, digestif, salade, digestif, dessert, digestif, café et digestif…
Terminés les repas interminables où l’on se coltine le gros beauf de voisin à notre droite et le plouc de service à notre gauche. Pour peu que tu n’aimes pas le foie gras aux épices sucrées servi en entrée… Tu peux être certaine qu’une personne de ta table va te regarder avec de gros yeux car tu n’y touches pas ! Et encore, je te passe l’épisode  tragique : quand ta table se situe juste à côté de celles des mariés, va essayer de faire semblant de manger pour ne pas les offusquer ! A 34 euros l’entrée, tu as plutôt intérêt à leur faire honneur !


 


Je dis STOP ! Place aux buffets à thème comme à la cafet ! Japonais, USA, indien… Choisir ce que l’on souhaite manger cela n’a pas de prix !  En tout cas pour vous, car pour les organisateurs…


 


Ah j’oubliais : les dragées on oublie ! C’est dégueulasse, c’est onéreux, pas franchement dans l’air du temps  et en plus cela fait grossir !
Vous ne croyez pas ?


 


Article rédigé par Camille G.



 
 


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