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La So News du Jour : c’était le BAC de philo ! BEAUTÉ

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Eh oui, comme chaque année, le bac revient faire une apparition dans l’actualité (d’un autre côté c’est bien, ça veut dire que les grandes vacances ne sont plus très loin). Le coup d’envoi a été donné par les sujets philo aujourd’hui, souvent la hantise des lycéens (j’ai détesté pour ma part et plus encore la note qui a suivi).


 


Cette année, les futurs bacheliers auront eu à plancher sur :


 


En L


- Que gagne-t-on en travaillant ? (j’aurais adoré le faire, j’ai un tas de choses à dire)


- Toute croyance est-elle contraire à la raison


- Un texte de Spinoza


 


En S


- Serions-nous plus libres sans l’Etat ?


- Avons-nous le devoir de chercher la vérité ?


- Un texte de Rousseau


 


En ES


- Peut-il exister des désirs naturels ?


- Travailler, est-ce seulement être utile ?


- Un texte de Berkeley


 


Espérons qu’ils auront tous réussi !


 




 




Vous avez aimé cet article ? Alors faites tourner !






Le Calendrier de l’Avent, en fait, c’était pas une bonne idée BEAUTÉ



Je me disais que ce serait sympa de faire un petit calendrier de l’Avent pour Petit Bout. Vu qu’il n’a que deux ans, j’étais un peu limitée dans mes choix :


 


- Il y a les calendriers « classiques » de mon enfance avec un chocolat à manger tous les jours ; c’est sympa, mais vu que j’ai réussi à lui épargner les sucreries jusqu’à présent, je ne vais pas tout gâcher en lui donnant 24 chocolats à manger en 24 jours.


 


- Mes préférés, c’était les calendriers Lego, avec des petits Lego en cadeau tous les jours. Petits… c’est bien le problème, vu que je n’ai pas envie qu’il s’étouffe avec une lumière du sapin Lego, je me suis abstenue et j’attendrai encore quelques années (apparemment, c’est à partir de 5 ans, j’ai du temps devant moi)


 


- J’avais également vu plein de calendriers de l’Avent faits maison, ou en bois avec des petites surprises à mettre dans chaque case. Mais le problème est un peu le même, j’étais un peu limitée niveau petites surprises. Ou alors je n’ai pas trouvé l’inspiration.



 


(Led wooden Advent house, John Lewis)


 


Donc j’ai pris mon courage mes ciseaux à deux mains et j’ai fabriqué à petit bout un petit calendrier de l’Avent rien que pour lui :


 


Une carte avec une case pour chaque jour, des petites enveloppes avec les numéros des jours, contenant des stickers à coller dans chaque case.



 


Pas calorique, pas dangereux, ludique… mais quelle idée de génie ! (oui, j’y ai cru, je vous assure…)


 


Sauf que…


 


Bah Petit Bout, le concept du calendrier de l’Avent, ça lui passe complètement au dessus. Petit Bout, quand il colle, il colle. Il ne colle pas juste un ou deux stickers et il s’arrête parce qu’aujourd’hui, on colle que les stickers d’aujourd’hui. S’il pouvait, il ouvrirait toutes les enveloppes le même jour, histoire de tout coller d’un coup.


 


Et le concept de la case de 6 cm² pour coller un sticker, il n’aime pas troptrop si vous voyez ce que je veux dire… En plus, il ne peut même pas choisir sa case. Il faut qu’il colle le sticker dans la case que je désigne… Bref, ça ne lui va pas du tout. Monsieur est un artiste, Monsieur aime la liberté.


 


Je ne parle pas des jours où Monsieur n’a aucune envie de faire des collages… Donc votre calendrier de l’Avent, il reste sur la cheminée.


 


Bref, ma petite idée de calendrier de l’Avent, histoire de commencer à expliquer tout en s’amusant le sapin de Noël, le Père-Noël, les cadeaux et compagnie, c’est un petit fiasco. En général, ça se termine en pleurs.


 


Donc l’année prochaine, ce sera un calendrier de l’Avent avec du chocolat, et puis c’est tout !


 


Source photos : Led wooden Advent house, John Lewis


 


Article rédigé par Le monde de petit bout.


 
 


Si vous avez aimé cet article, vous pouvez retrouver Le monde de petit bout directement sur son blog.





C’était mon meilleur ami BEAUTÉ




homme-femme-amitie-entre-homme-et-femme


 


J’ai longuement hésité à écrire cet article et puis, ce blog, c’est mon défouloir, un petit coin de liberté et comme j’ai coutume de le dire, ma thérapie personnelle. Bien sûr que je me censure sur énormément de choses, que je modère très souvent mon propos, que je ne dis que ce que j’ai ENVIE de dire mais dans l’ensemble, je reste honnête. Il y a juste des parts que je garde pour moi. La dérive du blog étant tous ceux qui lisent dans l’ombre et n’ont l’art de retenir que ce qui leur convient. Mais ce sujet me tenait à coeur. Je tourne et retourne les mots dans ma tête afin qu’ils soient interprétés tels que je le souhaite.


 


Cet ami est désormais quasi inexistant de ma vie et surtout géographiquement éloigné. En fait, il l’est depuis ma rencontre avec l’homme. Il s’est petit à petit estompé, lui tout seul, pour me laisser la chance d’avancer sur le plan personnel et se laisser lui aussi la chance d’avancer. L’amitié était si forte, si vive, si exclusive qu’on se court-circuitait tous les deux sur les domaines les plus importants de notre vie.


 


Quand je l’ai rencontré, j’étais en couple. Un couple qui fonctionnait relativement bien mais je ressentais des manques affectifs énormes. Je n’avais pas l’impression d’être « portée aux nues » comme peuvent l’être beaucoup de femmes… J’avais l’impression d’avoir une importance toute relative. Mon meilleur ami comblait merveilleusement ce vide par sa présence affective et son intérêt immense à mon égard. En quelques sortes, il m’a permis de réaliser que mon couple prenait l’eau et que le navire allait couler. Et il a coulé.


 



 On dit que l’amitié homme femme n’existe pas, que c’est trop ambigu pour fonctionner. Je ne peux pas nier cet aspect-là, l’ambiguïté a été présente des années. Dire qu’on n’a pas essayé serait mentir, mais le « passage à l’acte » a été désastreux. Comme si cette équation ne fonctionnait plus comme ça, qu’elle ne devait rester qu’amitié. Ce qui marchait en amitié amoureuse ne marchait pas en relation amoureuse. Des exigences de l’un ou de l’autre et l’éloignement géographique.


 


Disons que les choses avaient tant trainé qu’au moment où, chacun, nous n’avions plus d »obligation », nous étions désemparés par cette nouvelle liberté. Et ça n’a pas marché. J’ai réalisé que nous ne devions rester qu’amis, que certes, il m’apportait une joie constante, des moments de complicités énormes, le coeur réchauffé par ses paroles mais il ne me donnait pas la sécurité dont j’avais besoin. Il était jeune. Trop jeune, trop impétueux, trop tout, dans l’exacerbation constante. Il était formidable comme ami, comme meilleur ami. Il écoutait mes peines sans flancher, se tenait disponible n’importe quand, à n’importe quelle heure, nuit et jour quand j’étais seule à Paris ma première année d’IUFM. Un garçon à fleur de peau, d’une sensibilité si grande que tout en lui résonnait en moi, à ce moment. Comme une amie fille, il riait à mes blagues à la seconde, d’un regard nous riions des mêmes situations. Une complicité presque fraternelle. Une amitié intense, sûrement trop, et si colorée, si riche comme on en a rarement et qui rend la vie si douce.


 


Il a été mon meilleur ami des années durant. Quand j’ai rencontré mon mari, il s’est effacé.


 


Il ne me donnait plus de nouvelles. C’était pour le mieux. Je le savais. Mais j’étais triste. C’était pour le mieux… Il ne l’a pas dit, on s’est compris à demi-mots. Il n’y avait pas de place pour lui dans ma nouvelle vie, il fallait que j’apprenne à me construire en tant qu’adulte, sans cet ami si cher.


 


Mon mari est un homme qui regroupe toutes les qualités que je cherchais. Il n’a pas le romantisme exacerbé mais lui aussi a une sensibilité immense, un peu cachée, mais bel et bien là. Nous avons un bel équilibre. Il sait tout des rapports que j’avais avec mon meilleur ami. Je lui ai tout raconté. Il sait qu’il est important pour moi. Il sait que nous avons très peu de contact. Il sait que ça n’a pas marché. Il sait que c’était mon ami.


 


Parfois, il reparait de manière très brève, ponctuelle, un petit coucou ou une attention pour montrer qu’il est là et qu’on ne s’oublie pas. Nous aurons toujours une affection profonde et sincère l’un pour l’autre. Je crois qu’il ne pourrait jamais me trahir. Je pense que je ne pourrai jamais oublier un tel ami. Depuis 5 ans que je suis avec l’homme, je ne l’ai vu que 3 fois, et au moins autant de messages…


 


Oui, je suis triste de ne plus l’avoir dans ma vie, il me manque. Les relations humaines sont si complexes.  Les amis, les vrais, ceux qui déplaceraient des montagnes pour toi sont si rares… Il aura fallu qu’il soit un homme pour rendre les choses compliquées.  Il aura été pour moi un frère, un ami, presqu’une âme-soeur.  Oui… Il me manque… Faire le deuil d’une amitié est très douloureux, et je trouve que cela s’apparente presqu’à un chagrin d’amour (amitié).


 


Mon cher ami…


 


Article rédigé par Les tribulations d’une Poulette


 
 


Si vous avez aimé cet article, vous pouvez retrouver Les tribulations d’une Poulette directement sur son blog.





Survivre à une rupture en 13 chansons (de toute façon, c’était un gros con) BEAUTÉ



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Barbara – Dis quand reviendras-tu ?


 


Il faut y aller en douceur, on l’aime encore (ce gros con), ça fait partie du processus, de toute façon, de crier « s’il te plaît, reviens », puis avant la fin de la chanson on aura compris que non, pas cette fois, on n’est pas de « celles qui meurent de chagrin »


 


The Strokes – Trying your luck


 


On s’énerve un peu, toujours la voix un peu tremblante, au bord des larmes, mais l’amour quand ça ne veut pas marcher, ça ne veut pas marcher. «I’m sorry that I said :  » That we were just good friends » »



 


Kelis – I hate you so much right now


 


Tout est dit dans le titre. Je crois que cette étape s’appelle la colère.


 


Soko – I’ll kill her


 


S’il y a une autre fille. « She’s a bitch, you know »


 


Archive – Fuck U


 


De toute façon, il nous sortait par les yeux ce mec. « So fuck you anyway »



 


The Long Blondes – là, c’est dur de faire un choix, parce que tout dans l’album Someone to drive you home est un souffle girl-power-j’ai-pas-besoin-d’un-mec, mais disons Once and never again


 


Parce qu’on a besoin qu’une fille nous dise « I know how it feels but you don’t need a boyfriend » tout en nous faisant bouger.


 


Mano Negra – Mala vida


 


On ne s’arrête pas en si bon chemin, on a réussi à se lever du canapé, alors on reste debout, et on saute sur place. De toute façon, on allait le quitter. « Tu me hablas como a un cabrón, yo pronto me voy a escapar »


 


Stockard Channing – There are wose things I could do.


 


On se calme un peu, ça fait mal mais on respire. Et parce que de toute façon, on va bien finir par verser une petite larme, autant le faire en écoutant cette chanson rétro. « But I can feel, and I can cry, a fact I bet you never knew, But to cry in front you, that’s the worse thing I could do»


 



Nina Simone – I got life


 


Ok, on n’a peut-être plus de mec, mais encore une fois, est-ce qu’on en a vraiment besoin ? Surtout de celui-là, je veux dire. « I’ve got my life, and nobody’s gonna take it away »


 


Petula clark – Ciao ciao (Downtown)


 


Parce que c’est terriblement démodé et qu’on s’en fout, on est une fille libre. Et c’est encore plus kitsch en version italienne, alors pourquoi se priver de lui dire « Ciao, ciao ! »


 


Amy Winehouse – Stronger than me


 


Décidément, on ne le regrettera pas. «Feel like a lady, and you’re my lady, boy »


 


Nada surf – Blanskest year


 


Ca va presque déjà mieux. C’était pourri, on ne pourra pas faire pire. Puis on a enfin une bonne raison de crier « I had the blankest year [...] Oh fuck it ! I’m gonna have a party ! ». Et c’est encore mieux si on le fait !


 


Billy Idol – Dancing with myself


 


Pour finir en beauté, on sort son popotin de son appart et on va danser avec myself. Et quelques copines !


 


C’était pas si dur que ça finalement !


 


Article rédigé par La fille H.


 
 


Si vous avez aimé cet article, vous pouvez retrouver La fille H directement sur son blog.





Avant je brillais mais ça c’était avant BEAUTÉ



Je parle de ma peau pas en société, je brille toujours autant en société <fin du melon>


J’ai comme beaucoup de filles sur cette terre une peau mixte, genre grasse en zone T et normale ailleurs.


L’hiver tout va bien mais l’été je suis sensible à la chaleur.


Pour éviter l’effet boule à facettes en public j’ai donc plusieurs trucs.


Le premier une crème matifiante et là j’en ai retenue que 2


Absolue Matité d’Esthederm, cette crème c’est un peu la Rolls des crèmes matifiante. Elle contient des poudres matifiantes  qui atténuent rapidement les brillances et absorbent l’excès de sébum. C’est un fluide léger qui s’applique facilement et qui ne colle pas au visage, c’est important parce que je déteste avoir la peau qui colle. Mais elle a un prix, elle coûte 34€ tu peux la trouver moins chère sur certains sites.



 


La deuxième c’est le fluide hydratant Sève Originelle d’Edenens à l’extrait de Phyto-Natif (qui stimule les mécanisme naturel de la peau) et de nénuphar blanc.  Là la crème est moins fluide, elle s’applique aussi facilement et tu sens un fini un peu poudré sur le visage. Elle est très agréable. Et en plus elle ne coûte de 14.70€ ce qui ne gâche rien bien au contraire, un vrai bon produit à prix correct. Edenens plus je teste leurs produits plus je les aime.



Ensuite en cas de coup de chaleur dans la journée, genre à midi si tu grilles au soleil en prenant ton café …. j’ai toujours dans mon sac des papiers matifiants. J’en ai testé 2 ceux de Séphora Keep Matt qui sont pas mal, je t’avais fait un article dessus ici,  mais après dans ma pharmacie préférée j’ai découvert ceux là  Matte Perfect


 



Ils sont composés de soie de kimono et de lin selon une recette héritée des rituels de beauté traditionnels japonais.


Le truc c’est qu’il n’y a pas de poudre sur ceux là donc ça absorbe super bien l’excès de sébum un peu comme un buvard. La pochette je l’ai tuée quand j’étais à New York l’année dernière et crois moi il faisait trèèèès chaud là bas. Je les aime d’amour  comme dirait Soso ! ♥


Pour finir afin d’éviter l’effet plâtre pour la journée, j’allège mon maquillage au niveau du visage, j’utilise ma Mineralize Skinfinish de Mac en tant que fond de teint je l’applique au kabuki, elle est parfaite.


J’aime aussi alterner avec mon fond de teint mineral bareMinerals Matte, lui aussi il est top.




 


Voilà tu sais tout pour rester au frais cet été !


Et toi c’est quoi tes astuces ?


 


Bonne journée !


Mme beauté


 


 




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