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Comment survivre aux 0800 ? BEAUTÉ

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Ah, les appels de trente minutes à votre SAV électro-ménager / la CAF / la mutuelle truc, vous en avez soupé. Ca vous sort par les trous de nez, vous avez envie de jeter votre téléphone contre le mur et de revenir au bon vieux système des pigeons voyageurs, avouez!


 


Vous en êtes à la huitième minute, vous avez envie de mordre, courage, ne raccrochez pas, nous allons donner suite à votre appel… avec deux ou trois astuces pour survivre aux 0800 et peut-être (soyons fous) amorcer une histoire d’amour avec votre télé-conseiller.
 




Comment gagner du temps ?
 


- Même si ce n’est pas facile, évitez d’appeler à 9h, 11h, 14h, 16h. Les heures auxquelles tout le monde appelle en arrivant ou en quittant son boulot, quoi ! C’est comme à la boulangerie, il y a les heures d’affluence.


 


- Téléphonez (dans la mesure du possible) d’un endroit calme. Parce que dans le métro / la rue / un tunnel / sur un chantier… ça coupe, on vous fera répéter dix fois parce qu’on n’entend rien, ça vous énervera, le conseiller aussi et ça se terminera avec des noms d’oiseaux.


 


- Préparez votre numéro de contrat, vos références client, toute les informations qui peuvent vous être demandées. Certaines bases de données ne permettent pas de vous retrouver avec votre nom (oui, c’est primitif, on est d’accord mais autant accepter ce qu’on ne peut changer). Il arrive aussi que vous soyez enregistrée sous un nom que vous ne pensez pas à donner (celui de votre conjoint, votre nom de jeune fille, les deux noms accolés, avec les accents, sans les accents, avec EURL devant ou derrière votre nom si c’est payé par votre entreprise perso, bref, c’est comme au loto, on peut jouer longtemps et on n’est pas sûr de tirer le bon numéro).


 


- Et préparez aussi votre numéro de téléphone, au cas où vous ne le connaîtriez pas et qu’on vous le redemande… ce qui arrive 99 fois sur 100.


 


- Si possible, notez tout ce que vous avez à demander ; ça vous évitera de rappeler trois fois et de subir trois fois la Valse de Strauss. Et puisque vous y êtes, notez aussi les réponses qu’on vous donne.


 


- N’hésitez pas à épeler les noms propres : les S, F, D, T, P… passent très mal au téléphone, dites « T comme Thérèse, D comme Daniella », etc.


 


- Si on vous redemande quinze fois votre adresse, ce n’est pas pour vous casser les pieds mais parce que là encore, c’est parfois une manip informatique indispensable pour accéder à votre dossier et imposée au conseiller. Qui s’en passerait bien lui aussi, hélas !
 




 


Pour le mettre dans votre poche (et ça marche avec tous les appels téléphoniques)


 


1. Souriez même si vous n’en avez pas très envie : le sourire s’entend au téléphone. On a toujours plus envie de se décarcasser pour un client aimable (ça s’appelle la communication miroir)


2. Pour être à l’aise, imaginez que vous êtes avec votre boulangère ou votre garagiste. Parlez-lui comme si vous étiez face à lui.


3. Faites le rire. Ca égaiera sa journée. Ben oui, quelqu’un aura supposé qu’il a de l’humour et des sentiments, mine de rien, quand on est un homme-tronc avec un casque, c’est drôlement valorisant. Et quand on est valorisé, on n’a pas envie de passer ensuite pour un incapable, donc retour à l’item 1 : le conseiller va se décarcasser pour vous.
 




 


Les phrases qui vont tuer votre future histoire d’amour avec votre télé-conseiller :


 


- Vous êtes la troisième personne que j’ai en ligne


- C’est pas compliqué pourtant!


- Vous ne comprenez rien


- Je l’ai déjà dit aux cinq personnes que je viens d’avoir


- Vous pourriez faire un effort


- Ce n’est pas contre vous, mais…


- A quoi ça sert que je paye!


- J’ai jamais droit à rien…


 


Ca va le mettre hors de ses gonds et il fera alors le minimum syndical (c’est lui aussi est un être humain). Evitez les phrases du type « vous ne pouvez pas comprendre ! » parce que le télé-conseiller vit exactement les mêmes situations que vous… Sa femme l’a peut-être largué la veille ou il s’est peut-être fait pirater sa CB, il peut revenir de l’enterrement de sa mère, avoir subi une fuite d’eau apocalyptique ou bien lui aussi souffrir d’une migraine niveau 7 !


 


Même si le conseiller est particulièrement désagréable, voire odieux, essayez de vous imaginer un monde rempli de serveurs vocaux… Ca serait bien pire (personnellement, je hais les serveurs vocaux, je préfère dix conseillers débiles qu’une machine qui refuse de m’orienter correctement parce que j’ai l’accent du Sud) ! Et le maître mot : la communication miroir (et là, vous comprenez pourquoi j’ai bifurqué vers un blog mode…).


 




 
Je suis bien entendu partie du principe que vous aviez affaire à un employé normal. Si vous tombez sur un incapable / un boulet / un hargneux (ça arrive, hélas), ne perdez pas de temps à discuter. Dites « excusez-moi, ça va couper, je n’ai plus de batterie ». Raccrochez. Et rappelez. Les cons sont légion, certes mais vous aurez une chance de tomber sur un plus futé. Ou qui a mieux dormi. Et vous offrira peut-être une réponse différente et / ou valable. C’est ce que je fais 99% du temps avec ma mutuelle et la Caf, héhéhé…


 


Dernier point : face à des clauses / des délais / des procédures… particulièrement ineptes, faites directement un courrier au service relation client et à votre agent / boutique / commercial. C’est un peu fastidieux, certes, mais c’est la seule façon de faire évoluer les choses.


 


PS : et j’ai profité de ces articles pour vous offrir un florilège de téléphones kitchos. Je ne pensais pas qu’on pouvait imaginer des trucs aussi laids… j’ai gardé le meilleur pour la fin.
 






 


Article rédigé par Stelda




 
 


Si vous avez aimé cet article, vous pouvez retrouver Stelda directement sur son blog.





Comment survivre au travail ? BEAUTÉ




 


Vous êtes une étudiante débordée ? Une businesswoman overbookée ? Vous avez forcément connu des petits passages à vide au travail. Des clients ou des supérieurs très exigeants, des collègues réticents au moindre changement ? Vous, au milieu de la pièce… Vous êtes agacées… Oui, eh bien c’est normal. Bienvenue dans le monde du travail !


 


Au boulot, il y a des hauts et des bas. Des petites victoires, entrecoupées de grandes déceptions. Ou l’inverse. Mais là n’est pas l’essentiel. Lorsque vous êtes au top, vous vous sentez pousser des ailes, rien ni personne ne vous fait barrage, les victoires sont nombreuses, mais le confort au travail inconstant.


 


L’intérêt de certains postes (dont le mien) réside dans l’existence de défis et challenges. Des petites missions de dernières minutes à réaliser dans l’urgence pour qu’un projet soit mené à bien. Il arrive que ces cas-là provoquent des pics de stress souvent suivis par de grandes satisfactions. Ce sont ces moments qui remplissent mon existence. Ces moments que je recherche avant tout. Pour cela, on nous demande de garder la tête froide et de nous investir à 100%. Ok parfait !


 


Quand le boulot vous possède, il est certain que, comme moi, vous savez que les périodes de confort au travail ne sont jamais pérennes. Je dirais même qu’elles sont annonciatrices de petits échecs, de difficultés, d’obstacles à surmonter ou encore de critiques à essuyer. C’est dans cette dernière situation que j’écris ces mots.


 


Forcément, à un moment vous allez vous dire que les échecs font partie de l’apprentissage. Pourtant, l’autre petite voix dans votre tête vous dira que vous avez failli quelque part ! Et puis, petit à petit vous arrivez enfin à prendre du recul sur les choses. Mais attention, le constat est une douche froide !


 


 Constat 1 :


 


- Qui dit boulot, dit satisfactions et échecs


- Qui dit poste valorisant, dit grandes responsabilités


- Qui dit travailler avec les autres, dit supporter les humeurs et les personnalités des uns et des autres


 


Constat 2 :


 


- S’investir autant dans le boulot révèle parfois le vide de notre vie personnelle.


- La place du travail dans notre vie s’accroît dans les moments de célibat.


Le cercle vicieux :


- Le risque de ne vivre que pour cela, donc de ce fait, s’isoler et ne plus profiter des plaisirs de la vie.


 


La solution pour parer aux coups de blues liés au travail – Comment évacuer ?


 


Choisir la bonne personne avec qui parler. Celle qui n’ira pas répéter vos confidences une fois votre dos tourné. Il faut avoir un ou une alliée au travail, et de préférence une personne d’à peu près son âge. Il demeure des problèmes ou des ressentis au travail, propres aux générations. Attention, pour faire durer une telle relation, vous devez écouter votre alliée autant que partager vos préoccupations. Car elle aussi aura besoin de se confier à un moment ou un autre.


 


La règle de base lorsque vous parlez boulot à votre alliée :


 


La confiance. Si jamais vous avez des doutes là-dessus ou si vous venez de connaître votre alliée, veillez toujours à ne pas vous mettre dans une position délicate. Évitez donc de critiquer vos supérieurs, les personnes que votre alliée apprécie… Veillez également à parler des faits dans vos confidences tout en exposant vos sentiments. En effet, vous devez toujours prouver votre bonne foi pour rester crédible. Une alliée qui écoute vos histoires doit comprendre le contexte dans lequel vous êtes actuellement. Si vous confiez vos sentiments sans parler des faits, et vice-versa, vous aurez vite fait d’ennuyer votre alliée. À la longue, il se pourrait que vous obteniez l’effet opposé à votre objectif de départ.


 


Sur ce, au boulot ! Soyez fortes !


 





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Survivre à une rupture en 13 chansons (de toute façon, c’était un gros con) BEAUTÉ



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Barbara – Dis quand reviendras-tu ?


 


Il faut y aller en douceur, on l’aime encore (ce gros con), ça fait partie du processus, de toute façon, de crier « s’il te plaît, reviens », puis avant la fin de la chanson on aura compris que non, pas cette fois, on n’est pas de « celles qui meurent de chagrin »


 


The Strokes – Trying your luck


 


On s’énerve un peu, toujours la voix un peu tremblante, au bord des larmes, mais l’amour quand ça ne veut pas marcher, ça ne veut pas marcher. «I’m sorry that I said :  » That we were just good friends » »



 


Kelis – I hate you so much right now


 


Tout est dit dans le titre. Je crois que cette étape s’appelle la colère.


 


Soko – I’ll kill her


 


S’il y a une autre fille. « She’s a bitch, you know »


 


Archive – Fuck U


 


De toute façon, il nous sortait par les yeux ce mec. « So fuck you anyway »



 


The Long Blondes – là, c’est dur de faire un choix, parce que tout dans l’album Someone to drive you home est un souffle girl-power-j’ai-pas-besoin-d’un-mec, mais disons Once and never again


 


Parce qu’on a besoin qu’une fille nous dise « I know how it feels but you don’t need a boyfriend » tout en nous faisant bouger.


 


Mano Negra – Mala vida


 


On ne s’arrête pas en si bon chemin, on a réussi à se lever du canapé, alors on reste debout, et on saute sur place. De toute façon, on allait le quitter. « Tu me hablas como a un cabrón, yo pronto me voy a escapar »


 


Stockard Channing – There are wose things I could do.


 


On se calme un peu, ça fait mal mais on respire. Et parce que de toute façon, on va bien finir par verser une petite larme, autant le faire en écoutant cette chanson rétro. « But I can feel, and I can cry, a fact I bet you never knew, But to cry in front you, that’s the worse thing I could do»


 



Nina Simone – I got life


 


Ok, on n’a peut-être plus de mec, mais encore une fois, est-ce qu’on en a vraiment besoin ? Surtout de celui-là, je veux dire. « I’ve got my life, and nobody’s gonna take it away »


 


Petula clark – Ciao ciao (Downtown)


 


Parce que c’est terriblement démodé et qu’on s’en fout, on est une fille libre. Et c’est encore plus kitsch en version italienne, alors pourquoi se priver de lui dire « Ciao, ciao ! »


 


Amy Winehouse – Stronger than me


 


Décidément, on ne le regrettera pas. «Feel like a lady, and you’re my lady, boy »


 


Nada surf – Blanskest year


 


Ca va presque déjà mieux. C’était pourri, on ne pourra pas faire pire. Puis on a enfin une bonne raison de crier « I had the blankest year [...] Oh fuck it ! I’m gonna have a party ! ». Et c’est encore mieux si on le fait !


 


Billy Idol – Dancing with myself


 


Pour finir en beauté, on sort son popotin de son appart et on va danser avec myself. Et quelques copines !


 


C’était pas si dur que ça finalement !


 


Article rédigé par La fille H.


 
 


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Mes produits cosmétiques fétiches pour survivre pendant l’hiver BEAUTÉ




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Teint blafard, rougeurs, peau qui tiraille, visage fatigué, il devient difficile de garder une mine fraîche et lumineuse en hiver. Chaque année, c’est pour moi une véritable horreur ! J’ai le teint très pâle par nature alors les rougeurs dues au froid plus ma légère rosacée ne font pas très girly. Mais alors, comment je fais face à tous ces désagréments ? Eh bien c’est simple, je me munis de mes cosmétiques fétiches « spécial hiver » ! Ok, mais c’est quoi au juste ?


 



Je soigne ma peau et j’en prends soin



 


Pour commencer, les parties de notre corps qui sont les plus exposées au froid sont le visage et les mains. C’est pourquoi il est primordial de les protéger et d’en prendre soin le plus possible. Pour ça, j’ai une crème hydratante peaux sensibles pour le visage, une crème hydratante pour les mains et un baume à lèvres réparateur pour les gerçures et coupures dues au froid. Pour les poches sous les yeux, j’ai une eau florale de Bleuet qui est connue pour ses vertus décongestionnantes et apaisantes pour les yeux fatigués, gonflés ou irrités. Mais cette eau florale peut aussi être utilisée sur le visage pour un effet calmant et régénérant qui va rafraîchir votre teint, le stimuler et l’éclaircir. De plus, c’est naturel et sans produits chimiques. Mais attention de bien veiller à conserver votre eau florale au frais !


 



Je me maquille, mais pas trop



 


Pour ça, je prends un fond de teint adapté à ma carnation, surtout pas une teinte au-dessus ! Ensuite, si besoin, j’ai mon anticerne qui lui est plus clair que mon fond de teint, mais pas trop sinon ça se voit et c’est loin d’être le but recherché ! Pour une mine fraiche et pimpante, je mets un peu de blush, pour ma part avec mon teint pâle je mets soit un rose pétale pour le côté frais ou un corail pour le côté chaud. Ce sont mes cosmétiques fétiches pour survivre en hiver parce qu’une peau grise, un teint fade et un regard éteint, c’est loin d’être le summum de la beauty attitude à avoir en hiver.


Et vous, quels sont vos cosmétiques fétiches pour survivre en hiver ?


 


Article rédigé par Ashélia Chronicles.


 


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