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Marre de l’obsession des gros seins BEAUTÉ

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Aujourd’hui c’est une maman Geek agacée, énervée, vexée, presque honteuse de ce qu’elle est que vous allez avoir. Aujourd’hui je jette un pavé dans la marre, je parle nichons !


 


Mon constat est simple : tous les hommes qui m’entourent sont tout bonnement obsédés par les gros seins. Pourquoi ? Qu’on m’explique ? Qu’est-ce qui vous attire autant les mecs ?


 


Alors oui, évidemment c’est sûr qu’un décolleté bien fourni est plus joli qu’une poitrine plate. Comme beaucoup de femmes, j’use et j’abuse des bienfaits de la mode, des push up et compagnie, pour m’aider dans cette ingrate tâche qu’est celle de devoir paraître plus « bombée ». Cela dit, j’ai cette vision « habillée ». Quand je vois, compare même, ma potrine à celle de femmes qui ont de plus belles mensurations que les miennes, je les jalouse habillées, mais je ne les jalouse pas si je vois ce que ça donne au « naturel ». Désolée, mais c’est la logique même, plus le sein est gros, plus il pèse et donc… plus il va pendre ! Je fais un « sympathique » 105C. Allez-y, vous pouvez rire : « qu’est-ce qu’elle a à râler, c’est génial 105C ! ». Et bien non ! Le 105, c’est tout bonnement parce que j’ai un dos de nageuse olympique avec un peu de gras par dessus ! Oui, super sexy d’un coup le 105C, pas vrai ?


 


Alors maintenant, essayez d’imaginer comment les femmes avec de petits seins se sentent quand on voit que vous, les hommes, vous n’avez d’yeux que pour les gros seins ? Imaginez comment, alors que nous avons en plus des complexes liés à notre poids, à de la cellulite ou autres cadeaux empoisonnés de la nature à supporter au quotidien et que nous voyons qu’ »en plus », nous n’avons pas droit de cité dans vos fantasme. Non, les petits seins c’est le mal, c’est presque avec honte parfois que nous essayons d’arranger les choses… enfin, les seins, ces seins qui nous complexent tant.


 


Quand, en plus, ils nous pondent des études de M… qui démontrerait que les fortes poitrines auraient un Q.I supérieur, je me dis que c’est le pompom ! Des connes à gros nichons, j’en ai croisé pas mal ! Bizarrement, les plus intelligentes que j’ai rencontrées dans ma vie n’étaient pas spécialement des femmes à forte poitrine. Il y en a eu, comme il y en a eu avec des seins de taille moyenne, voire presque inexistants! Ce genre d’étude me révolte, me révulse, me dégoûte du genre humain…


 


Je vais vous dire, messieurs, imaginez deux secondes que vous portiez votre sexe sur votre front. Imaginez qu’il soit de taille moyenne, voire petite. Imaginez maintenant que nous, les femmes, ne parlions que de notre intérêt pour les grosses verges ! Comment vous sentiriez-vous ? Vous y voyez plus clair ? Bien. Maintenant, une derniere chose qui me réconforte quand même : dans quelques années, nous auront encore des seins qui ne nous tomberont pas sur les genoux. Parce que oui messieurs, les gros seins qui tiennent bien en l’air… Sont faux ! Sachez-le.
 
Il n’en reste pas moins qu’’après tout ce que j’ai dis, je reste déçue de la taille de mes seins, et même si mon complexe me pousse à prévoir une légère augmentation, je suis fière de leur aspect, de leur tenue… ils sont petits mais ils sont fiers et tiennent bien ! Et puis, comme dit mon mari : « ça tien bien dans la main, c’est très bien ! »


 


Article rédigé par Maman Geek.



 
 


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La Playlist pour dire qu’on en a ras le bol [Attention, gros bruit inside] BEAUTÉ



Vous avez passé une journée épouvantable, le temps s’est refroidi, l’automne est arrivé sans prévenir avec la rentrée, la reprise du rythme, résultat : vous êtes d’une humeur exécrable, et pour mille autres raisons. Vous vous sentez trop seul(e), il n’y a rien à faire. Ou bien votre patron vous fait sentir que vous ne valez rien. Vous avez l’impression de tourner en rond, ça vous rend dingue. Tout ça vous met très en colère, et vous vous jurez de tenir le coup. Vous vous libèrerez de vos ondes négatives, c’est promis. La prescription ? Suivre l’ordonnance ci-dessous.


 


1. Anastacia & Ben Moody – Everything Burns (vous vous sentez seul, ras le bol, ignoré de tous, trop enfermés dans leurs superficialité, personne ne vous remarque ? Solution : chantez jusqu’à ce que tout s’embrase…) :


 

 
 


2. Linkin Park – Numb (il y a une personne dans votre entourage qui vous fait toujours sentir que vous êtes de la merde ? Qui essaye toujours de vous changer de ce que vous êtes ?) :


 

 
 


3. The Offspring – Staring At The Sun (Le beat est tel qu’il donne l’impression de se taper la tête contre les murs quand bien même vous ne seriez pas en train de vous taper la tête contre les murs. Pratique, non ? Après tout, Baby, life is like a ride on freeway.)


 

 
 


4. Thousand Foot Krutch – The Art Of Breaking (vous n’allez pas trop bien, mais vous vous promettez de faire face ? Dans cette chanson, j’aime l’énergie qui se dégage, à chaque fois, c’est comme une catharsis de ma colère – When I’ll feel numb / I’ll let you know/ You cannot kill what’s not your creation / This is the art of breaking)…


 

 
 


5. Queen – I Want To Break Free (Bon, maintenant que vous êtes un peu calmé, vous allez pouvoir hululer votre ras le bol avec Freddy. Don’t you want to brrreak frrree ?


 

 
 


6. Beethoven – 7ème Symphonie, 2ème mouvement (il va bien falloir remettre un peu d’harmonie dans tout ça, mais vous êtes toujours énervé, or comme vous allez bientôt avoir affaire au reste du monde, vous ne pouvez pas rester irrité, et pour ça, une seule solution : un bon shot de classique. Alors merci Ludwig !).


 

 
 


Allez ! N’oubliez pas de…


 

 
 


Article rédigé par Emmzie



 
 


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Survivre à une rupture en 13 chansons (de toute façon, c’était un gros con) BEAUTÉ



vie-de-couple-faut-il-envisager-la-rupture


 

 
 


Barbara – Dis quand reviendras-tu ?


 


Il faut y aller en douceur, on l’aime encore (ce gros con), ça fait partie du processus, de toute façon, de crier « s’il te plaît, reviens », puis avant la fin de la chanson on aura compris que non, pas cette fois, on n’est pas de « celles qui meurent de chagrin »


 


The Strokes – Trying your luck


 


On s’énerve un peu, toujours la voix un peu tremblante, au bord des larmes, mais l’amour quand ça ne veut pas marcher, ça ne veut pas marcher. «I’m sorry that I said :  » That we were just good friends » »



 


Kelis – I hate you so much right now


 


Tout est dit dans le titre. Je crois que cette étape s’appelle la colère.


 


Soko – I’ll kill her


 


S’il y a une autre fille. « She’s a bitch, you know »


 


Archive – Fuck U


 


De toute façon, il nous sortait par les yeux ce mec. « So fuck you anyway »



 


The Long Blondes – là, c’est dur de faire un choix, parce que tout dans l’album Someone to drive you home est un souffle girl-power-j’ai-pas-besoin-d’un-mec, mais disons Once and never again


 


Parce qu’on a besoin qu’une fille nous dise « I know how it feels but you don’t need a boyfriend » tout en nous faisant bouger.


 


Mano Negra – Mala vida


 


On ne s’arrête pas en si bon chemin, on a réussi à se lever du canapé, alors on reste debout, et on saute sur place. De toute façon, on allait le quitter. « Tu me hablas como a un cabrón, yo pronto me voy a escapar »


 


Stockard Channing – There are wose things I could do.


 


On se calme un peu, ça fait mal mais on respire. Et parce que de toute façon, on va bien finir par verser une petite larme, autant le faire en écoutant cette chanson rétro. « But I can feel, and I can cry, a fact I bet you never knew, But to cry in front you, that’s the worse thing I could do»


 



Nina Simone – I got life


 


Ok, on n’a peut-être plus de mec, mais encore une fois, est-ce qu’on en a vraiment besoin ? Surtout de celui-là, je veux dire. « I’ve got my life, and nobody’s gonna take it away »


 


Petula clark – Ciao ciao (Downtown)


 


Parce que c’est terriblement démodé et qu’on s’en fout, on est une fille libre. Et c’est encore plus kitsch en version italienne, alors pourquoi se priver de lui dire « Ciao, ciao ! »


 


Amy Winehouse – Stronger than me


 


Décidément, on ne le regrettera pas. «Feel like a lady, and you’re my lady, boy »


 


Nada surf – Blanskest year


 


Ca va presque déjà mieux. C’était pourri, on ne pourra pas faire pire. Puis on a enfin une bonne raison de crier « I had the blankest year [...] Oh fuck it ! I’m gonna have a party ! ». Et c’est encore mieux si on le fait !


 


Billy Idol – Dancing with myself


 


Pour finir en beauté, on sort son popotin de son appart et on va danser avec myself. Et quelques copines !


 


C’était pas si dur que ça finalement !


 


Article rédigé par La fille H.


 
 


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