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Bonne année (et Joyeuses Pâques ?) #1 BEAUTÉ

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SMALA
 
« Mes enfants, il va falloir être mieux préparés que l’année dernière ! » a lancé GAT le 27 décembre au saut du lit – pour certains – (7 heures 07 !).


 


Il faut dire que l’année dernière avait vu la fête la plus naze de l’histoire familiale pour une Saint-Sylvestre. Entre Deux, Quatre et Bibi qui avaient joué les filles de l’air (Deux à Paris, Quatre à Biarritz et Bibi à Londres), Lord of the Rings qui avait déclenché la rougeole vers 18 heures et Trois qui avait vomi la nuit précédente, GAT avait un peu peur de la nouvelle édition.


 


« Vous quatre » (Deux, Quatre, Bibi et Lord of the Rings) « êtes priés de ne PAS festoyer ailleurs qu’ici, merdus ! » nous a assené gentiment Un, soutenu par Suprême, GAT, Trois et Cousine Sidonie.


 


GAT nous a expliqués que nous serions tous chargés d’une « animation fantastiquement rigolote » pour nous faire tenir « éveillés et joyeux » jusqu’à la nouvelle année et que Cinq-et-Demi se joindrait à nous. Ce qui n’a pas réjoui des masses Deux et encore moins, Bibi ! « Toujours à taper l’incruste, ton ex ! » a-t-elle dit, jalouse.


 


« Une quoi ? » m’a demandé Quatre rayonnant. J’ai ressenti tout de suite ce côté Oh-je-vais-encore-faire-une-connerie-monumentale qui lui sied à merveille. Deux l’a alors averti que c’était hors de question de réitérer le « bordel de 2003 » et les conséquences « neurologiques qui avaient suivies ». Lord of the Rings a posé la question qui nous brûlait les lèvres : « Deux, es-tu sûre de l’emploi du bon terme en disant neurologique ? ».


 


Comme il ne faut jamais demander à Deux de s’expliquer sur ses choix de mots (car elle part avec le Petit Robert dans la salle de bains pendant deux heures), Quatre a calmé le jeu en lui répondant un doucereux « Mais, oui, Deux, bien sûr, mon poussin ».


 


« Quel poussin ? » a dit Lord of the Rings.


« Ta gueule, petit con ! » a lancé Quatre entre les dents.


 


Quant à Bibi, je me remettais difficilement du coup du sort qui m’avait été réservé : la venue de Cinq-et-Demi ! Pourquoi fallait-il que GAT l’invite à chaque fois pour le 31 décembre….


 


Trois était ravie, « il est siiiiiiii choupinet, ce Cinq-et-Demi » et me demanda si je n’avais pas « changé d’avis sur la bestiole ». Au vu de la réponse (NOOOOOOOOOOOOOOOOOON), Trois repartit dans le salon en grognant à Suprême que « non, décidemment, on n’est pas prêts à la caser celle-là ! ». Côté soutien parental, on repassera !


 


Quand Cinq-et-Demi est arrivé, il a sauté sur Bibi à grand renfort de « la feeeeeemmmmmeeeee de ma viiiiiiiiiiiiiiiiiie » qui a fait s’évanouir Pétunia et Tante Dinde de bonheur. Elles voyaient déjà les fleurs, l’allée centrale, les alliances et les bans à la mairie. Heureusement, Quatre qui avait suivi, pour une fois, lui a asséné un « dans une autre vie, alors, mec ! » qui a glacé d’effroi les cousines et GAT.


 


Trois l’a alors embarqué dans le jardin pour lui expliquer la situation : « GAT fait des caprices, tout le monde est à cran et les quatre débiles – Bibi, Quatre, Lord of the Rings et Deux – sont en train de fomenter quelque chose de louche ! ».


 


Cinq-et-Demi s’est drapé dans une espèce d’humeur croisée entre un dogue allemand et un cerbère de la porte. Un bonheur.


 


Lord of the Rings a choisi ce moment propice aux échanges sentimentaux pour annoncer son intention de « se retirer dans un monastère à sa majorité » et, par-là, faire s’évanouir les FlowerPower.


 


GAT le félicita tout en demandant s’il savait où « il s’aventurait ».


« Plus de sexe » lança Quatre, mort de rire.


« De quoi ? » répliqua Lord of the Rings


L’hilarité se propagea à toute la maisonnée et même Cinq-et-Demi esquissa un sourire.


 


Je vous passe les détails de réapprovisionnements pour le réveillon de la Saint-Sylvestre (« Le chaaaat » hurla Trois, très fière d’elle ! « Elle est pathétique ! » glissa Pétunia à Bibi) et le délire sur le saumon fumé « irlandais, sinon RIEN ! » avec le responsable du rayon du Super U, puis la discussion sur les probabilités que l’arrière-arrière-arrière-grand-mère ait « fautée » avec le bel irlandais de Cork « hors mariage, merdus ! ».


 


A 21 heures, le 31 décembre, tout le monde était dans la salle à manger, habillés comme pour aller danser (au bal du coin) et jouait des coudes pour atteindre la table centrale (celle où trônait déjà GAT tout en dentelle rose pâle).


 


 


Article rédigé par ItemLiz Girl.



 
 


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Vous suivez vos résolutions cette année ou vous faîtes comme l’année dernière ? BEAUTÉ




photo-humour-chat-qui-regarde-la-television


 


Ça y est! « This is it », on y est, on a réussi à arriver en 2013 en vie,  »Bonne année! Bonne santé! Tous mes voeux… » J’espère cela dit que vous avez passé d’excellentes fêtes de fin d’année, et que vous n’êtes pas en train de vous dire que la soirée de la veille du 31 sera à l’image de cette année, que celle-ci ait été bonne ou maussade.



 


J’ai décidé d’aborder cette année 2013 différemment des autres années. C’est en discutant avec une collègue que je me suis conforté un peu plus dans ma démarche. Comme elle me l’a si bien dit, « cette année je ferai tout pour que 2013 soit l’année de ma réussite« , là où l’année dernière elle s’abandonnait à la chance, en disant « j’espère que 2012 sera meilleure que 2011 !« .


 



Faut pas se leurrer, 2012 a été une année comme toutes les autres années, pas terrible, on se le dit depuis des années. Et ce n’est pas les statuts Facebook qui diront le contraire, « ah ouf, 2012 est fini ! », « Après 2012 l’année de la loose, 2013 l’année de la b…, biaise? » (ça va je sais, j’ai déjà fait mieux).



 


Traditionnellement c’est la période des résolutions. Pourquoi d’ailleurs faire des résolutions à l’époque de l’année où l’on souhaite le plus rester chez soi à regarder la pluie et le vent souffler dehors (Signé Jordane N. voir ci-dessous). Je pars tous les ans avec plein de bonnes résolutions, et chaque année je ne les respecte jamais ou je les oublie au bout d’une semaine.


 



Je ne comprenais pas pourquoi j’étais chargé à bloc au moment de mes résolutions, et le lendemain déchargé de toute motivation aussi vite qu’on vide un sachet de M&M’s. Après maintes réflexions, j’ai enfin découvert et accepté la réponse : ce doit être parce que je suis une sorte de « schizophrène ». Nous sommes plusieurs en moi, je suis leur victime à tous les deux, et ils me hantent d’hallucinations auditives (et vous aussi sûrement).



 


Il y a le Jordane positif, et il y a l’autre, le malin celui qui est le plus fort pour se faire entendre, le Jordane négatif. Le premier, c’est l’initiateur des bonnes résolutions, celui qui exige de moi que je passe à l’action. L’autre, c’est celui qui exige que je me repose, celui à l’origine de toutes les opportunités manquées. Il y en a un qui me fait avancer et me tire vers le haut, et l’autre me freine en se ravissant de me voir dans l’inertie.


 



Le Jordane Négatif est balèze, il a toujours d’excellentes raisons de rester dans la passivité. C’est un prodigieux philosophe de l’inaction, il a toujours l’alibi en or pour me faire croire au hasard et que je ne suis pas responsable de ce qu’il m’arrive. C’est de sa faute si j’attends que la chance frappe à ma porte pendant que je geeke devant ma console à m’empiffrer de chips comme une truie en chaleur. Il ne m’encourage qu’à rêver, sans me laisser croire au pouvoir créateur de la volonté.


 



Chaque fois que je suis sur le point de suivre une idée du Jordane positif, l’autre s’interpose en me susurrant à l’oreille des motifs à l’inaction : « repose-toi mon pote tu es fatigué kakakaka (rire maléfique) ». Il est vraiment fort celui-là ! Il y a une chose marrante que j’ai remarquée : On ne s’est jamais autant reposé qu’à notre époque, et on a jamais été aussi fatigué.


 



J’ai donc décidé de passer à l’action et de réagir comme CERTAINES filles le font naturellement avec leur mec, en développant mon esprit de contradiction (c’est pas vrai peut-être ?). Puisque le Jordane positif a une plus petite voix que le Jordane négatif, j’ai donc décidé de laisser s’exprimer ce dernier, et de faire tout le contraire de ce qu’il me conseille de faire.


 



« Tu le feras demain, va regarder la TV, c’est mieux » : Je le fais dans la foulée, et j’expédie ce que j’ai à faire


 



« Repose-toi, tu es fatigué« : Je mets mes baskets et je pars courir



 


« Reste à la maison ! N’y va pas ! Tu vas te faire chier la nouille !« : Je ne fais plus mon rabat-joie, et si je m’ennuie, j’essaye de faire en sorte que ma soirée prenne une tournure plus fun.



 


« Allez croque juste un bout de ce magnifique cupcake, tu feras du sport plus tard« … que dalle !!!


 



Le but de cette technique est de me forcer la main, en mettant fin aux tergiversations inutiles de mes deux compères et de supprimer toute hésitation liée à la réalisation d’une résolution.



 


LA meilleure façon de terminer quelque chose est de la commencer ;)


 


Article rédigé par Mon bon pote.



 
 


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Tout ce que je ne veux pas voir au pied du sapin cette année BEAUTÉ



Noyeeel, j’adore, c’est la famille qui se retrouve, on se fait aussi des Noël entre potes en s’offrant des petits cadeaux, on mange bien et beaucoup (trop), on attend avec impatience le cadeau de chéri et on est pressée de lui offrir le sien en espérant qu’il va sauter de joie avec les yeux qui brillent, on mets des trucs débiles sur la tête de nos animaux (mes chats ont dû se faire aux chapeaux et aux colliers à paillettes), bref, les bons moments arrivent bientôt et je suis pressée…


 


Mais il y a bien des objets que je n’ai absolument pas envie de voir sous le sapin cette année, sans vouloir faire ma psychorigide relou… Des choses que je trouve moches, inutiles, encombrantes, que j’ai déjà… bref, voici un aperçu de ce que je ne veux absolument pas voir cette année :
 




 


Un pull en tricot, avec motif Aztèque.
 
Un pull en tricot, oui, avec grand plaisir, mais j’ai un peu du mal à comprendre l’engouement pour les motifs Aztèques qui me semblent vieillots à souhait, ça me fait d’ailleurs penser aux vêtements des copines de mon grand-père dans sa maison de retraite… Les couleurs ne sont pas folichonnes, les coupes sont trop grandes alors sur une petite comme moi, j’ai l’impression de perdre 10 cm, de prendre 10 ans de plus… Pourtant c’est la mode, on en voit partout, mais cette année, visiblement, je ne serai pas fashion.
 




 


Des livres pour arrêter de fumer.
 
Une année sur deux, on me fait le coup, entre les patchs, les cendriers avec le fameux sens interdit, les bouquins qui tournent autour des bienfaits de l’arrêt de la clope. Plus on me force à stopper, et moins j’ai envie de le faire. Ma propre motivation sera le meilleur élément déclencheur pour stopper cette addiction terrible. En plus de ça, avec mes tendances hypocondriaques, c’est de le genre de cadeau qui peut me faire badtriper en moins de deux secondes en remettant en cause mon état de santé. D’ailleurs, plus j’y pense, et moins j’oublie… 2013 sera la bonne année  ;-)
 



 
Des cadres photos. J’en ai des tonnes et des tonnes, dans toutes les pièces de mon appartement, d’ailleurs certains ont encore les photos publicitaires à l’intérieur ! La blague… lorsque l’on me demande « qui c’est ? », je réponds « une meuf que je ne connais pas et qui mets parfaitement en valeur ces cadres »… Ce genre de cadeaux, chaque année, je les retrouve sous le sapin, et en règle générale, c’est ma mère qui me les offre, alors certes, j’adore les attentions de ma mamoune, mais s’il te plaît Mam’, arrête ton obsession pour les cadres photo, tu es placardée partout à la maison, je ne risque pas d’oublier de penser à toi !
 



 
Des cartes cadeau (H&M, Séphora etc). Non pas que je n’apprécie pas d’acheter ce qu’il me plaît avec une carte créditée, mais j’oublie tout le temps de l’utiliser, elle fini par traîner dans le fond de mon sac et se noyer dans le bordel que je porte à l’épaule… Oui, j’admets pleinement être une bordélique chronique. Alors mieux vaut directement m’offrir des vêtements ou du Make Up, au moins, cela ne se perdra pas et puis je ne suis pas difficile (sauf pour les pulls motif Aztèque ah ah)… Bref, j’ai déjà du mal à garder la main sur ma CB, les cartes de fidélité et autres chèques cadeaux sont dispatchés dans chaque recoin de ma maison, j’ai même des cartes sur mon porte-clés qui commence à peser bien lourd, alors carte cadeau, non merci je passe mon tour.
 



 
Des objets qui ont rapport avec l’astrologie.
 
Certes, je suis scorpion ascendant scorpion, donc plutôt difficile au quotidien, alors pas la peine de me le rappeler pour Noël, je suis déjà au courant. J’ai tout eu : porte-clés, mugs, livres sur la description et le comportement des signes, sur les compatibilités amoureuses, sur les horoscopes à l’année, des bracelets à l’effigie du scorpion, les tatouages temporaires de la bestiole, j’en ai même eu deux vraies à la maison pendant quelques années dans un terrarium (trop de contraintes, je ne le ferai plus).


 


Donc pour résumer, si cette année je retrouve ces choses sous le sapin, peut-être qu’une personne de ma famille aura lu cet article et que, pour me chambrer, elle m’aura pris tout ce que je ne voulais pas (mon oncle, ma tante et ma cousine sont les premiers visés, pas grave je les aime quand même !).


 


Et toi, qu’est ce que tu ne voudrais absolument pas voir au pied du sapin cette année ? 


 
 


Article rédigé par Art Vintage Gallery.


 
 


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Bonne année (et Joyeuses Pâques ?) – deuxième round BEAUTÉ



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Quatre arriva donc en jaune fluo de la tête aux pieds (histoire de réveiller les morts ?) sous l’œil humide de Cinq-et-Demi qui s’était pris une claque par Bibi après une tentative de baiser dans l’escalier en vis !


 


Trois et Suprême avaient décidé de jouer un « revival » des années 70 et s’étaient vêtus en conséquence : un brin de Ringo et de Sheila multiplié par Abba… Voyez le genre !


 


Deux était encore plus court vêtue qu’à l’accoutumée et Bibi s’était drapée dans un noir velouté du plus bel effet (« Manque que la voilette, Bibi » précisa Tante Dinde avec respect pour le total look très austère qu’elle affectionne tant !).


 


Un regardait déjà son iPhone avec tendresse et avait pré-écrit tous les messages de « bonne année » à ses quatre cents contacts « et amis ». Lord of the Rings informa discrètement Bibi, Deux et Quatre que le Wifi « ne fonctionnerait plus avant le 1er janvier à 13 heures 17… Histoire de faire râler Un » (visiblement, l’explication sur l’abattage du noisetier ne passait toujours pas).


 


GAT était en super forme, Pétunia aux anges, les cousines au top de la cuisine, Cousin Edmond tout endimanché, Tante Dinde aux fourneaux et les FlowerPower à la sono.


 


Le repas commença sous les meilleurs auspices avec un discours d’introduction de Suprême dont le ridicule pantalon à pattes d’éléphants avec des paillettes sur les côtés faisaient rire tout le monde. Le texte fut bref, concis et particulièrement désespérant. Imaginez-vous dix minutes de « cours magistral sur l’ascension au trône de Childéric 1er » en version Monty Python. Ah, oui, petite précision, le 31 décembre, dans la Smala, c’est introduction « Historiquement vrai » par Suprême. On remonte doucement dans la chronologie des Rois de France…


 


Après un apéritif très affligeant (soufflés de courgettes ratés) et innovations diverses de Pétunia (irracontable !), GAT a remercié largement Tante Dinde pour le saumon au beurre roux et les roulés au saumon fumé « Irlandais, je le précise à nouveau ! ». Vu la vitesse à laquelle tous les plats ont été mangés, on aurait pu penser que Noël n’était pas encore passé… et qu’ils n’avaient pas mangé depuis trois mois (minimum quand on voit les quantités hallucinantes de petits fours, saumon et pommes dauphine engloutis par Quatre et Lord of the Rings !).


 


A minuit moins dix, GAT a lancé l’idée fumeuse d’aller « se dégourdir les papattes » dans le jardin. Trois a émis un avis défavorable avec un léger « Il fait – 15° quand même ! » mais qui n’a pas été suivi d’effet. Toute la troupe est donc sortie, bon gré mal gré, dans le jardin, emmitouflée comme un seul homme et soufflant devant le froid perçant.


 


La promenade a duré trois minutes chrono. Le temps que Pétunia glisse sur une plaque de verglas et entraîne dans sa chute GAT, Trois, Deux, Flower et Cousin Edmond. Devant le nouveau « jeu » lancé par Pétunia, ordre a été donné de « regagner la casbah, fissa ! ».


 


On a mis environ trente minutes à se remettre de la sortie débile et on a loupé la nouvelle année. Quand Lord of the Rings s’est aperçu de « l’horreur de minuit », il a commencé à pleurnicher dans les bras de Cinq-et-Demi qui ne tenait plus debout depuis une heure à cause de son taux d’alcoolémie largement au-dessus du seuil moyen britannique.


 


Quatre, à fond après son verre de Cognac, lança l’animation de la nuit : le Cluedo. En temps normal, le Cluedo est un jeu inoffensif et drôlement sympathique… En temps normal, pas avec la moitié des membres d’une famille engourdie par le froid, et l’autre par les vapeurs d’alcool. Le jeu a vite tourné en faveur des plus jeunes qui ont réinventé les règles. En deux temps trois mouvements, on se serait cru dans les Experts croisé avec NCIS et 24 heures Chrono… Lord of the Rings a même pensé que Walking Deads pouvait aussi « entrer dans la danse ».


 


A trois heures, les vieux s’étaient tous assoupis sur leurs chaises et Deux soupirait devant la bûche au chocolat. Lord of the Rings se battait avec Quatre pour savoir qui avait tué « GAT dans la buanderie avec le couteau à pain » (les sources proches du dossier indiquent que c’était Trois dans un moment d’inattention), Bibi somnolait la tête posée sur l’épaule d’un Suprême qui relisait « Clovis 1er ».


 


A cinq heures, tout le monde était couché.


 


A cinq heures dix, Lord of the Rings a hurlé à plein poumons un « BONNE ANNNEEEEE » qui s’est soldé par un « TA GUEULE, PETIT CON ! » venant, bizarrement, de la chambre de GAT…


On enquête… On enquête…


 


Article rédigé par ItemLiz Girl.



 
 


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Tout ce que je ne m’arrêterai surtout pas de faire cette année avec mes enfants BEAUTÉ



Je faisais, il y a peu de temps, ma liste de bonnes résolutions pour cette année. Des tas de choses sur lesquelles j’ai envie de progresser, que j’aimerais commencer ou arrêter. Mais il y aussi des choses qui, j’en suis certaine, ne changeront pas, et en particulier avec mes enfants.



 


Cette année, je ne m’arrêterai pas de…



 


Changer des couches. Avec un bébé qui a aujourd’hui 7 mois, impossible de passer au travers !  A raison d’environ 200 changements de couches par mois… Je pense qu’à la fin de l’année, je le ferai les yeux fermés.


 



couches-lingettes-pour-bebe


 


Rendre visite à notre pédiatre. Régulièrement. Très régulièrement. Si souvent en fait que je regrette vivement qu’il ne fasse pas une petite carte de fidélité (Doc, si tu me lis…). Imagine,  au bout de 10 visites, un beau cadeau pour maman ! (Ben quoi… qui joue les infirmières et ramasse les vomitos, a mal au crâne à force d’entendre les « ouinouin », se lève la nuit pour donner le médoc qui doit être pris à 3h du mat’ « c’est obligé », cajole et câline son petit monde malade ? Bon alors hein !)


 



Partager avec ma fille, tous les week-ends, un petit déjeuner à base de tartines beurrées qu’on trempe dans le bol de Nesquick pour finir avec de belles moustaches de chocolat… Un vrai retour en enfance et c’est juste TROP bon !
 
table-du-petit-dejeuner


 


Etre ridicule à faire tous les bruits des animaux de la ferme avec imitation de l’animal en question en bonus, juste parce que ça fait mourir de rire mon bébé et que, du coup, tant pis pour la honte en plein resto – centre commercial – salle d’attente du pédiatre – supermarché et j’en passe…


 



Retourner en moyenne section, quand ma fille du haut de ses 4 ans veut jouer à la maîtresse et décide de faire de moi et de sa sœur, ses élèves. Je réapprends les lettres de l’alphabet (ben, des fois que… on ne sait jamais) et les chiffres. Je me fais gronder parce que je papote et que je n’écoute pas (tiens, ça c’était pareil il y a quelques années). Bref, ça me permet d’avoir une idée assez claire de la façon dont se passent ses journées et c’est précieux !


 



Faire des gâteaux et autres pâtisseries avec mon aînée… juste pour le plaisir de la voir mettre son doigt dans le bol où l’on a préparé la pâte du gâteau au chocolat et se régaler ensuite avec le gâteau itself !



 


Emmener la grande voir des spectacles, et un peu plus tard dans l’année sa petite sœur aussi. Voir les enfants émerveillés par une jolie pièce de théâtre, rire aux bêtises de Guignol ou participer à un spectacle de magie… c’est tellement chouette.


 



Mettre mes deux puces dans le lit de la grande pour l’histoire du soir et lire de façon très théâtrale pour que toutes les deux soient captivées.


 



Les voir rire, pleurer, bouder, crier, râler, courir, chanter, chahuter, danser, jouer… grandir tout simplement et profiter de chaque instant passé avec elles.
 
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Article rédigé par Une maman blogueuse.


 
 


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2013 année de la biaise BEAUTÉ




2013
 


Cette année, c’est promis, c’est juré, je ne ferai pas de rimes foireuses avec l’année.


 


Non et non, je ne dirais pas que 2013 sera l’année de la B….


 


Je sens que je vais y arriver à l’aise, mais il va falloir faire preuve de noèse…  (Noèse ? Allez-y voir dans le dico, c’est ce que j’ai fait !), il suffit dans un premier temps que je ne pas croise mon voisin Blaise. Même si je ne suis pas certaine que le fait que je l’évite pendant un an, cela lui plaise.


 



Et puis, c’est fastoche, les vœux, c’est en janvier, ce n’est pas la saison des fraises.



Oh ! Punaise, faut que j’arrête la mayonnaise, ce qui m’évitera peut-être de devenir obèse et du coup, aucune obligation à ce que je me pèse.


 



Allez, je suis super balèze, je continue.


Je n’ai absolument pas l’intention d’investir dans une prothèse, ni même de terminer (ou d’entamer) une thèse sur la Genèse.


 



Et puis, une chance pour moi, je ne suis pas antillaise, anglaise, camerounaise, bordelaise, ardennaise, albanaise, camarguaise, basquaise, béarnaise, boulonnaise, cingalaise, calabraise, maltaise, havanaise, javanaise, milanaise, hollandaise, irlandaise, islandaise, javanaise, japonaise, dijonnaise,  mâconnaise, martiniquaise, finlandaise,  lyonnaise, nantaise, landaise, thaïlandaise, pakistanaise, sénégalaise, soudanaise togolaise, marseillaise, népalaise, nivernaise, rouennaise, navarraise, néerlandaise, polonaise, ponantaise, portugaise, piémontaise ni même groenlandaise …


et je ne suis pas non plus parisienne, ça me gêne, ça me gêne…



 


Bon, il va falloir que je biaise, parce que c’est indéniable, je suis française… alors, je ne vais pas me cacher derrière mon petit doigt, ni derrière un mélèze (encore que je serai plus à l’aise), on va dire que je suis nordiste, ou lilloise ou européenne…


 




Bon, je résiste, je suis aussi sage qu’un curé en tournée dans son diocèse.


Non, je ne dirais pas que 2013 sera l’année de la…



 



Et puis non ! Je ne vais vivre non plus dans l’ascèse et je ne vais plus à la catéchèse depuis longtemps. Je ne suis pas trop niaise non plus.


 


Allez, hop ! Je me lève de ma chaise, je vire mes charentaises.


Je me sens comme au bord de la falaise, je dois me jeter à l’eau.


Il faut que j’apaise ce feu qui me rend chaude comme la braise.


J’ajuste l’alèse, je sens qu’il faut vraiment que je me déniaise, je vais être une fille mauvaise :


 


Oh oui !


2013 sera l’année de…


de…


de…


de la…


de la biosynthèse ? Ou de la biogenèse…


Enfin, c’est une hypothèse…



 


(J’ouvre une parenthèse : grâce à ce billet où je m’empêtre comme dans de la glaise, je sais maintenant ce qu’est un diérèse, je suis incollable sur les systèmes de cymaise, je ne souffre pas de diapédèse, je ne suis pas sûre d’investir dans un tire-braise. En revanche, l’idée de m’offrir un chasse-punaise m’a traversé l’esprit, jusqu’à ce que je comprenne qu’il s’agit d’une « plante montagneuse malodorante, de la famille des renonculacées », alors, j’ai renoncé aussi)



 


Allez, j’arrête les fadaises, en fa dièse je ne vous chanterai rien. Vaut mieux d’ailleurs que je me taise.


 



Hé, vous savez quoi ?


Vivement 2016 !


(Parce que pour cette année-là, je ne promets rien et je pourrai hurler que ce sera l’année de la baise… oups… je l’ai dit, zut)



 


Hû ! hû, suis presque aussi drôle que Louis de Funèz !



(et au passage, je vous en souhaite une bien bonne !)


 


Article rédigé par Marie-Poulette.



 
 


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Eh ouais, comme chaque année, il y a le fameux 14 février… BEAUTÉ



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…et on s’en passerait bien volontiers ! Non pas que je sois contre ce jour, dégoulinant d’amour, mais faut dire que ça fait 2 ans que je le passe seule (ou mal accompagnée) et que celui d’avant, mon cher ex et tendre m’a lâchement abandonnée. Ouais, là vous vous dites, plutôt classe le mec, j’espère pour elle que c’était au moins du face to face. Raté, vive la technologie, Internet et autres réseaux sociaux :)



 


A l’ère du web 2.0, on se rencontre sur des sites prévus à cet effet, Meetic et autres Adopte un mec, on expose notre amour au grand public, en twittant des « Je pense à toi #love », on like mutuellement nos statuts « J-5 mon chériiiii », on poste sur Food Reporter notre récent passage en cuisine, un beau gâteau en forme de cœur, on se check-in sur Foursquare au ClubMed « So good to be here with my Valentin ! »…



 


Bref, on est heureux et on le fait savoir à la terre entière. Et puis un beau jour, on l’est un peu moins… Alors, on se Skype (normal, car on est à des kilomètres l’un de l’autre, merci Erasme) et on se dit les choses. Notre relation était peut-être un peu trop… virtuelle ?
 
Non, ce n’est pas un article d’une vieille fille célibataire qui ne comprend rien à Internet et qui finira seule avec ses chats. Je crois en l’amour, figurez-vous, mais je dis juste qu’à l’époque de nos parents et grands-parents, purée, tout avait l’air si léger et si simple…


 



Mais heureusement, il y a ce plaisir qui ressurgit lorsqu’on fait de nouvelles rencontres, cette petite joie qui nous fait sursauter à chaque nouveau message, à chaque appel entrant. Oui mais, cela va t-il durer ?


Tais-toi et profite du moment présent ! Le « oui, mais » est à bannir les girls, résolution 2013 :)


 



Pour revenir à nos moutons, on a beau dire : on s’en fiche du 14 février, c’est un jour comme un autre et ben… être seule le jour de la St Valentin, c’est un peu comme rentrer chez soi, avoir le frigo vide et s’apercevoir que le kebab d’en bas est fermé pour raison exceptionnelle, autrement dit ça fait chier, car on avait bien envie d’un bon kebab.



 


Article rédigé par Laura.

 
 
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En Mai, fais le point sur ton année BEAUTÉ




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Grandir est une des choses les plus dures, les plus effrayantes qu’il nous est demandé de faire dans la vie. A partir du moment où l’on naît, on est inévitablement propulsé à pleine vitesse vers l’âge adulte sans qu’on ne puisse rien faire. On ne lutte pas contre le temps qui passe. C’est comme être pris dans les rapides : plus on se débat, plus vite on se noie.


 


Grandir, ça fait peur parce qu’on ne sait pas ce qui nous attend et que par bien des aspects, il est plus facile d’être enfant. Quand je suis sortie du lycée il y a un an, je me sentais invincible, je n’avais peur de rien et j’avais des certitudes. J’allais être écrivain, vivre à New-York, sortir diplômée de Columbia et avoir quatre enfants avec un homme qui m’aimerait et me donnerait toute la tendresse que je souhaitais.


 


Je pensais savoir qui était mes amis, mes alliés, ceux qui se battraient toujours de mon côté quoi qu’il arrive.  Je pensais que tout serait simple, que tout était tracé. Nous le pensions tous, je crois. En tout cas, la photographe, l’étudiant en médecine et moi on était sûrs de notre coup. Durant un an, on est tous les trois  allés de défaites en déceptions : BTS raté, première année raté, permis raté, report de départ, traitement dévastateur pour le corps et le moral, remise en question, absence de vie sociale, dépression, impression de n’avoir de place nulle part…


 


Les mois ont défilé à une allure folle déchirant en lambeaux  rêves et espoirs. C’est dur, surtout quand les autres autour de vous ont ce qu’ils souhaitent en travaillant deux fois moins ou en choisissant la solution de facilité. Et ça fait mal quand on voit deux des amis qu’on aime le plus dans le même état que nous alors qu’on sait qu’ils méritent cent fois mieux.


 


Alors, on se serre les coudes. On peste contre le karma, ensemble. On se téléphone quand on n’a pas le moral. On s’épaule, on se soutient. On fête les petites victoires du quotidien comme un nouveau copain ou la fin du traitement. J’ai grandi cette année, mûri, perdu en candeur et en naïveté.


 


 Tout n’arrive pas à point à qui sait attendre. Quand on veut une chose dans la vie, on travaille pour l’avoir, on le prend, on prouve qu’on le mérite. On admet qu’on crève de jalousie qu’une telle soit partie et pas nous, ou que machine ait eu la formation qu’elle veut pendant que nous, on rame. On apprend à patienter, aussi. On comprend que tous nos désirs ne peuvent pas être satisfaits immédiatement qu’ils soient d’ordres matériels ou autres. On grandit, en somme.


 


La fin de l’année scolaire approche et je suis encore formatée sur ce rythme-là. L’année commence en septembre et finit en juin. C’est l’heure des bilans. L’heure des remises en questions aussi. Et la semaine prochaine, on va se retrouver tous les trois. Nous n’avons plus été réunis depuis un an. Nous, les trois mousquetaires, trio un peu étrange à l’alchimie bizarre. Ma photographe et mon futur médecin, mes deux alliés de toujours. J’ai fait du tri dans mes contacts, perdu des relations que je croyais éternelles mais eux, ils sont encore là.


 


Aujourd’hui, je suis encore un bébé, ça c’est sûr mais j’ai moins peur de grandir. La photographe a eu un deuxième entretien pour le BTS et je suis prête à aller briser personnellement les genoux de tous ceux qui oseront dire qu’elle n’a pas de talent. Le futur médecin va rempiler sa première année de médecine parce qu’il est comme ça et qu’il ne lâche rien. Je lui souhaite également d’enfin pouvoir parler du secret qui le ronge depuis un bon moment.


 


Quant à moi, je suis amoureuse, ce qui en soit et une des choses les plus merveilleuses du monde. Je ne sais pas si je serai à New-York l’année prochaine ou en IUT mais ce que je sais, c’est que j’avance pour arriver à mes fins. Ce que je sais aussi, c’est que je ne leur ai jamais assez dit à quel point ils comptent pour moi, combien leur avis et leur soutien m’ont été précieux ces dernières années. J’apprends à grandir un peu plus chaque jour et j’ai moins peur qu’avant. Parce que je partage ça avec eux. Et j’en suis fière.


 


S’il y a une leçon à retenir de tout ça, c’est qu’il ne faut pas craindre de grandir ou de vieillir. La seule chose qu’il faut craindre, c’est de le faire seule.


 


Article rédigé par Mademoiselle A.



 
 


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Bonne année BEAUTÉ




Tu le sais nous on est toujours à l’ouest surtout vu la soirée du 31 !


Avant de reprendre notre train train nous tenons à vous souhaiter une


MERVEILLEUSE ANNEE, DOUCE ET BELLE !



Très glamour la photo ;)


Gros bisous et bon dimanche


Miss tête en l’air & Madame beauté


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