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Tom Waits est mauvais comme moi (« Bad as me ») BEAUTÉ

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… et moi chuis bonne, donc Tom Waits est bon (syllogisme, cher à Socrate). CQFD. Dans ma vie, comme Joséphine Baker, j’ai deux amours. Mais moi, c’est pas mon pays et Paris, mais Bruce Springsteen et Tom Waits.


 





Ils vieillissent, mes chouchoux…


 


Et autant le dernier album du premier (à droite sur la photo) m’a déçue (va voir ma déconvenue ), autant le dernier album du second (à gauche, donc) m’a emballée. Certes, il n’est pas très récent, car sorti en octobre 2011, mais je ne l’ai eu que récemment. Ce dernier opus s’appelle “Bad as me”, et je me le suis payée dans sa version Deluxe, à savoir avec un CD bonus de 3 titres.


 





 


J’avais entendu d’excellentes critiques, mais comme je ne suis jamais en phase avec les experts musicologues (que je ne suis pas), j’attendais de me faire une idée (on a vu ce qui s’est passé avec le dernier album du Boss…). Ce n’est donc pas sans une certaine appréhension que j’ai enfourné la galette dans le mange-disc…


 


Et là, j’ai été immédiatement conquise. Le premier morceau, « Chicago« , ouvre fort le bal ! On retrouve tout l’univers de Tom Waits en une chanson : sa voix grave nasillarde et éraillée, les rythmes syncopés, les percussions, les bruitages divers, les instruments improbables, et un morceau d’Amérique. Le tout sur un tempo frénétique, on entre de suite dans le vif du sujet.


 


Suit « Raised Right Men« , au rythme jazzy bluesy de cabaret à la sauce Waits, ambiance film de Jim Jarmuch, réalisateur avec lequel Tom Waits a tourné d’ailleurs, notamment dans « Coffee and Cigarettes », un autre thème récurrent dans ses chansons. Sa voix caverneuse se fait suppliante, c’est un régal…
 




 


Tom Waits, troisième en haut à partir de la gauche


 


Puis dans « Talking at the same Time« , la voix de Tom se fait méconnaissable, claire et aigüe, enveloppée de nappes de guitares à la Ry Cooder dans « Paris Texas », sur un rythme lancinant de night club davidlynchien où on viendrait s’encanailler, ambiance  »Jack n’a qu’un oeil » dans Twin Peaks, où on pourrait croiser Sailor et Lula…
 




 


Le rythme s’accélère alors avec « Get lost » : rythme de rock 50’s avec des arrangements à la Tom, complètement atypique, entrainant, j’adore ! Et toujours cette voix suppliante, si sexy…


 


Suivent trois balades : « Face to the Highway » : lancinante, typique ;  »Pay me » et le retour de l’accordéon, ça calme le jeu (un peu trop à mon goût), puis  »Back in the Crowd » qui donne l’impression d’être dans un épisode de Zorro. Bof, pas un style que j’apprécie.


 


Sur cette galette, Tom Waits est peu inspiré pour ses balades, contrairement à d’habitude, où il nous en fait des poignantes, déchirantes… Celles-ci sont plates, ce que confirme malheureusement le titre n°11  »Last Leaf« . Toutefois, la plage 13, « New Year’s Eve« , sauve le bal ; c’est LA balade de l’album, très tendre et caressante.


 


Revenons-en au cours logique de l’album avec « Bad as me », le morceau qui donne son titre à l’album, et à raison car c’est le morceau de bravoure de l’album, celui qui synthétise tout l’univers de Tom Waits. Sa voix suppliante quand il dit “If you cut me I bleed…”, sa voix nasillarde, et éraillée, puis d’un seul coup caressante et grave, narquoise, des éclats de rire, des éructations… il passe par tous les registres de son talent vocal. Au niveau des paroles, on retrouve Jésus, des nonnes, du sang, du café et de la bière… Tout son monde ! Ma préférée de l’album.


 


Dans  »Kiss me« , on opère un « retour aux sources » ambiance bluesy de l’album “Blue Valentine”, pas trop ma tasse de thé (ou de café pour être raccord) (j’aime Tom Waits dans sa deuxième période, qui démarre justement après « Blue Valentine », avec l’album de transition « Heartattack and Wine », et puis surtout « Rain Dogs » en 1985).
 




 


Me voici de nouveau « Satisfied » avec ce titre de mouture classique mais efficace. Mais que j’aime l’entendre brailler, éructer… On dirait que mon coeur vibre sur la même fréquence que sa voix, qu’on entre en résonnance (d’ailleurs, question mec et attirance sexuelle, je suis hyper sensible à la voix, je pense que ce n’est pas un hasard…) Ah là là, sa voix, cette fameuse voix, un jour décrite par le critique Daniel Durchholz comme trempée dans un fût de Bourbon, séchée et fumée pendant quelques mois, puis sortie et renversée par une voiture…


 


Voici la vidéo officielle, réalisée par Jesse Dylan, le fils de son père (Bob, quoi !) :


 


Sur « Hell Broke Luce« , Tom renoue avec l’univers bruitiste, expérimental qu’il affectionne tant, comme sur l’album “Black Rider”, qui fait la part belle aux percussions et aux voix, ainsi qu’aux guitares bien saturées, avec un saxo qui vient se perdre au milieu… Ambiance stressante, j’aime bien.
 




 


Sur le disc bonus, on trouve 3 morceaux : She stole the Blush » (qui « parlera » aux blogueuses Beauté, avec ce titre !) : typique, syncopée, bruitiste, sec ;  »Tell me » : belle balade mélodieuse, un peu girls’band des 60’s, genre the Supremes (à part pour la voix bien sûr !). C’est doux, ça fait sourire… Et enfin, en clôture, « After you die » : sympathique, du Tom Waits tout craché ! En conclusion, cet album est un excellent cru, qui l’eut cru !!!


 


Il s’est classé illico parmi mes albums préférés (de lui et de tout le monde) dès la première écoute, même si j’ai une légère tendance à zapper les balades que je trouve assez peu inspirées contrairement à d’habitude.  C’est un album qui regroupe vraiment toutes les capacités, les styles, les inspirations, les univers de Tom Waits, un peu comme un best of mais qu’avec des nouveaux titres ! Sa voix me transporte toujours autant, et je voyage systématiquement grâce à son univers musical très visuel, cinématographique.


 


On notera également la présence de la Pierre qui Roule Keith Richards sur 4 morceaux, ainsi que la présence du bassiste des Red Hot Chili Peppers, celui de Canned Heat, et de Charlie Musslewhite à l’harmonica.


Cet album est vraiment une porte d’entrée royale dans son univers si particulier, une excellente entrée en matière pour qui voudrait le découvrir.


 


Alors, Lecteurtrice, qu’attends-tu ?


 


Sources :


 - article « Tom Waits » sur Wikipedia


- article « Bad as me » sur Wikipedia


- site officiel tomwaits.com
 


Ecoute intégrale de l’album sur You Tube : clic !


 


Article rédigé par Arsinoe la Crapaude



 
 


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La rose a l’épine comme amie BEAUTÉ





 


Illustration réalisée par Madame Chouchoute.



 
 


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Viens comme t’es BEAUTÉ






 


Ce sont deux passés composés à conjuguer, c’est à prendre ou à laisser. Ce sont ces sourires qui n’ont pas fui nos souvenirs, les bouts d’enfance qu’on enjolive, parce qu’on a oublié une journée, une année : il devait y avoir avait une tache dessus. C’est d’où on sort et les langues qu’on parle sans en parler et ces portraits de famille qu’on dresse par bribes, sans occulter celui ou ceux qui dessinent une ombre au tableau. Ce sont les petites choses qui nous révoltent depuis toujours ou depuis hier, livrées à l’état brut ou par petites touches, parce qu’on aime l’impressionnisme. Ce sont deux « il était une fois » qui n’ont pas dit leur dernier mot.


 


On n’est pas venu sans bagages. On ne voyage pas léger, il y a toutes ces valises à trainer. Celles qui gardent les traces violacées des fois où on a aimé avec l’audace de ceux qui sautent à pieds joints sur un lac gelé, et qui coulent, persuadés de ne pas la voir se fissurer. Celles qui sont déchiquetées, trouées par ces quelques coups de poings bien placés qui ne laissent des bleus qu’à l’intérieur et que l’on tente de rafistoler. Celles toutes intactes, témoins de ces fois où on n’était pas chiches de se mouiller, où on ne pouvait plus se mettre à nu ; trop peur de s’acoquiner avec un déjà vécu qui nous avait bien eu. On s’est fait manger par un cynisme à qui on hurle ta gueule.


 


Et pourtant sans ces passés composés on serait autres ; cette délicate force d’aujourd’hui et celle de notre futur simple ou compliqué, on l’aurait à peine frôlée. Pourtant on se retrouve à aplatir vigoureusement, lorsqu’elles déboulent, nos chairs de poule qui font de nos peaux des reliefs de peur. Des riens, une phrase surinterprétée, une impression givrée, une conversation avortée, fabriquent des tempêtes dans la tête. Le vulgaire coup de flippe qu’on s’est juré de maîtriser mais qui s’invite tel un de ces souvenirs qui fiche un haut le cœur. C’est mon silence qui tape du poing sur la table et le bleu du fin fond de mes yeux rivé sur un objet invisible qui a tout l’air d’une pensée à tuer. C’est ton regard gris comme un bout de ciel en hiver, là et perdu à des années lumières, tes lèvres qui sans un mot ont l’air d’articuler une histoire puis ton sourire éclair qui repousse le nuage. C’est notre incapacité à dire tout haut ce qu’un geste traduira presque mot pour mot.


 


Ce sont deux passés composés à conjuguer, pour mieux les adoucir. Viens comme t’es,  j’apporterai dans ma valise trouée cette faculté d’aimer presque à découvert, même à-demi terrorisée.


 


Article rédigé par Petite Voix Off



 
 


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« L’amour s’en va comme cette eau courante… »* BEAUTÉ



Allez-vous les en empêcher,
Ces rivières, de s’écouler ?
Prendre des grues, les retenir
Quand vous les voyez haut voler ?


 


Que de sots voit-on s’obliger
A perdre leur temps à ces choses :
Allez-vous les en empêcher ?


 


Laissez le temps ainsi passer
Que Fortune veut l’accepter,
Laissez les choses arriver
Que l’on ne peut pas détourner :
Allez-vous les en empêcher ?


 


 Charles d’Orléans, rondeau 144.


 


En écho, ma version préférée de la chanson « Avec le temps » de Léo Ferré, celle de Dalida. Toute la résignation et la souffrance des amours passées et oubliées sont dans sa voix.
 


 
 


Avec le temps, va, tout s´en va
Même les plus chouettes souv´nirs ça t´as une de ces gueules
A la gal´rie j´farfouille dans les rayons d´la mort
Le samedi soir quand la tendresse s´en va toute seule


 


* En deuxième écho, Apollinaire et son Pont Mirabeau, adapté par Marc Lavoine (même si on n’est pas fan de Marc Lavoine, son interprétation est tout simplement superbe et d’une diction juste et parfaite).
 


 
 


L’amour s’en va comme cette eau courante
L’amour s’en va
Comme la vie est lente
Et comme l’Espérance est violente


 




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Vous suivez vos résolutions cette année ou vous faîtes comme l’année dernière ? BEAUTÉ




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Ça y est! « This is it », on y est, on a réussi à arriver en 2013 en vie,  »Bonne année! Bonne santé! Tous mes voeux… » J’espère cela dit que vous avez passé d’excellentes fêtes de fin d’année, et que vous n’êtes pas en train de vous dire que la soirée de la veille du 31 sera à l’image de cette année, que celle-ci ait été bonne ou maussade.



 


J’ai décidé d’aborder cette année 2013 différemment des autres années. C’est en discutant avec une collègue que je me suis conforté un peu plus dans ma démarche. Comme elle me l’a si bien dit, « cette année je ferai tout pour que 2013 soit l’année de ma réussite« , là où l’année dernière elle s’abandonnait à la chance, en disant « j’espère que 2012 sera meilleure que 2011 !« .


 



Faut pas se leurrer, 2012 a été une année comme toutes les autres années, pas terrible, on se le dit depuis des années. Et ce n’est pas les statuts Facebook qui diront le contraire, « ah ouf, 2012 est fini ! », « Après 2012 l’année de la loose, 2013 l’année de la b…, biaise? » (ça va je sais, j’ai déjà fait mieux).



 


Traditionnellement c’est la période des résolutions. Pourquoi d’ailleurs faire des résolutions à l’époque de l’année où l’on souhaite le plus rester chez soi à regarder la pluie et le vent souffler dehors (Signé Jordane N. voir ci-dessous). Je pars tous les ans avec plein de bonnes résolutions, et chaque année je ne les respecte jamais ou je les oublie au bout d’une semaine.


 



Je ne comprenais pas pourquoi j’étais chargé à bloc au moment de mes résolutions, et le lendemain déchargé de toute motivation aussi vite qu’on vide un sachet de M&M’s. Après maintes réflexions, j’ai enfin découvert et accepté la réponse : ce doit être parce que je suis une sorte de « schizophrène ». Nous sommes plusieurs en moi, je suis leur victime à tous les deux, et ils me hantent d’hallucinations auditives (et vous aussi sûrement).



 


Il y a le Jordane positif, et il y a l’autre, le malin celui qui est le plus fort pour se faire entendre, le Jordane négatif. Le premier, c’est l’initiateur des bonnes résolutions, celui qui exige de moi que je passe à l’action. L’autre, c’est celui qui exige que je me repose, celui à l’origine de toutes les opportunités manquées. Il y en a un qui me fait avancer et me tire vers le haut, et l’autre me freine en se ravissant de me voir dans l’inertie.


 



Le Jordane Négatif est balèze, il a toujours d’excellentes raisons de rester dans la passivité. C’est un prodigieux philosophe de l’inaction, il a toujours l’alibi en or pour me faire croire au hasard et que je ne suis pas responsable de ce qu’il m’arrive. C’est de sa faute si j’attends que la chance frappe à ma porte pendant que je geeke devant ma console à m’empiffrer de chips comme une truie en chaleur. Il ne m’encourage qu’à rêver, sans me laisser croire au pouvoir créateur de la volonté.


 



Chaque fois que je suis sur le point de suivre une idée du Jordane positif, l’autre s’interpose en me susurrant à l’oreille des motifs à l’inaction : « repose-toi mon pote tu es fatigué kakakaka (rire maléfique) ». Il est vraiment fort celui-là ! Il y a une chose marrante que j’ai remarquée : On ne s’est jamais autant reposé qu’à notre époque, et on a jamais été aussi fatigué.


 



J’ai donc décidé de passer à l’action et de réagir comme CERTAINES filles le font naturellement avec leur mec, en développant mon esprit de contradiction (c’est pas vrai peut-être ?). Puisque le Jordane positif a une plus petite voix que le Jordane négatif, j’ai donc décidé de laisser s’exprimer ce dernier, et de faire tout le contraire de ce qu’il me conseille de faire.


 



« Tu le feras demain, va regarder la TV, c’est mieux » : Je le fais dans la foulée, et j’expédie ce que j’ai à faire


 



« Repose-toi, tu es fatigué« : Je mets mes baskets et je pars courir



 


« Reste à la maison ! N’y va pas ! Tu vas te faire chier la nouille !« : Je ne fais plus mon rabat-joie, et si je m’ennuie, j’essaye de faire en sorte que ma soirée prenne une tournure plus fun.



 


« Allez croque juste un bout de ce magnifique cupcake, tu feras du sport plus tard« … que dalle !!!


 



Le but de cette technique est de me forcer la main, en mettant fin aux tergiversations inutiles de mes deux compères et de supprimer toute hésitation liée à la réalisation d’une résolution.



 


LA meilleure façon de terminer quelque chose est de la commencer ;)


 


Article rédigé par Mon bon pote.



 
 


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Z comme… Zute ? BEAUTÉ



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Juste avant de me coucher, il m’a pris la folle envie de visionner le film documentaire au sujet de Zahia. J’imaginais le genre de doc ne dépassant pas la demi-heure avec pour grand axe : on la lui a mise. Finalement, je suis restée 1h15 face à la vie « trépidante » de cette jeune femme de 21 ans pour me dire que c’est elle qui l’a mise à tout le monde, à moi la première.


 


Avec mes a prioris franchement négatifs, image ternie, mentalité de fille facile, je percevais Zahia blonde platine comme la puta de service au corps « testostéroné » et passé moult fois sur le billard. Chez elle, tout est faux excepté son body, je reste dubitative. Algérienne de naissance, je lui trouve pourtant des airs de pop stars japonaises débridées.


 


Le réalisateur l’a suivie plusieurs semaines juste avant la présentation de son défilé de lingerie. Parce que oui, Zahia ne fait pas qu’enfiler des perles, Zahia est une créatrice (même que Karl en est fou). Elle débarque de nulle part avec un univers rose bonbon « le rose peut-être chic aussi », à l’inspiration cupcake et meringue « j’ai toujours rêvé de faire ça ». De quoi ? De ressembler à une meringue ? Chose faite ! Des créations fines, frivoles, importables aussi, mais qui ne valent pas celles de notre chère Victoria’s Secret.


 


L’argent c’est tabou. On apprendra seulement qu’elle est financièrement soutenue  par un bienfaiteur originaire de Hong-Kong. Il lui paie tout : son atelier, son staff, son maquilleur/coiffeur, son appart, sa bouffe (euh quoiqu’elle ne coûte pas cher à ce niveau-là), ses grands miroirs… Oui Zahia aime s’admirer, surtout dans  les tableaux qui la représentent, accrochés chez elle.


 


« Oui », « non », « oh c’est joli »,  « superbe » sont principalement les mots utilisés dans le documentaire. Une fille lunaire. Comme je suis méchante ! J’en avais presque oublié sa philosophie au sujet des hommes… Elle prône la galanterie comme un art et déteste les garçons qui ne respectent pas les femmes (notez le paradoxe avec ses aventures footballistiques, je dis ça je ne dis rien).


 


Alors quelques doutes m’habitent… Comment fait-elle pour ne pas avoir mal au dos ? Accentuer sa cambrure de la sorte est peu recommandée. Si le mec de Hong-Kong se fait la malle, que lui reste-t-il ? Est-ce qu’elle sait utiliser ses 10 doigts pour autre chose que… Ouh là, je vais me faire censurer ! Non honnêtement le délire de la créatrice, j’y crois autant que le coup de sa non chirurgie. Des fringues portent son blase. Point. Comme pour bon nombre de créateurs, on voudrait nous faire croire à leur fantastique implication. Mais non ! Merci les petites mains anonymes.


 


Le positif dans tout cela ? Une au moins qui ne vit pas sur le dos de l’Etat.


Bon, ce n’est pas le tout mais je vais m’atteler à donner un nouveau souffle à ma carrière, Zlatan m’attend !



 


Article rédigé par Camille G.



 
 


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Eh ouais, comme chaque année, il y a le fameux 14 février… BEAUTÉ



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…et on s’en passerait bien volontiers ! Non pas que je sois contre ce jour, dégoulinant d’amour, mais faut dire que ça fait 2 ans que je le passe seule (ou mal accompagnée) et que celui d’avant, mon cher ex et tendre m’a lâchement abandonnée. Ouais, là vous vous dites, plutôt classe le mec, j’espère pour elle que c’était au moins du face to face. Raté, vive la technologie, Internet et autres réseaux sociaux :)



 


A l’ère du web 2.0, on se rencontre sur des sites prévus à cet effet, Meetic et autres Adopte un mec, on expose notre amour au grand public, en twittant des « Je pense à toi #love », on like mutuellement nos statuts « J-5 mon chériiiii », on poste sur Food Reporter notre récent passage en cuisine, un beau gâteau en forme de cœur, on se check-in sur Foursquare au ClubMed « So good to be here with my Valentin ! »…



 


Bref, on est heureux et on le fait savoir à la terre entière. Et puis un beau jour, on l’est un peu moins… Alors, on se Skype (normal, car on est à des kilomètres l’un de l’autre, merci Erasme) et on se dit les choses. Notre relation était peut-être un peu trop… virtuelle ?
 
Non, ce n’est pas un article d’une vieille fille célibataire qui ne comprend rien à Internet et qui finira seule avec ses chats. Je crois en l’amour, figurez-vous, mais je dis juste qu’à l’époque de nos parents et grands-parents, purée, tout avait l’air si léger et si simple…


 



Mais heureusement, il y a ce plaisir qui ressurgit lorsqu’on fait de nouvelles rencontres, cette petite joie qui nous fait sursauter à chaque nouveau message, à chaque appel entrant. Oui mais, cela va t-il durer ?


Tais-toi et profite du moment présent ! Le « oui, mais » est à bannir les girls, résolution 2013 :)


 



Pour revenir à nos moutons, on a beau dire : on s’en fiche du 14 février, c’est un jour comme un autre et ben… être seule le jour de la St Valentin, c’est un peu comme rentrer chez soi, avoir le frigo vide et s’apercevoir que le kebab d’en bas est fermé pour raison exceptionnelle, autrement dit ça fait chier, car on avait bien envie d’un bon kebab.



 


Article rédigé par Laura.

 
 
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Tout l’art de parler anglais comme un (bon) français BEAUTÉ




rues-de-londres


 


First of all, I am going to review what this paper is about : French speaking english ! Oh  boy, that’d be entertaining !


 


Bon, si vous captez immédiatement, sans sortir votre dictionnaire franco-anglais (ou copier/coller la phrase dans Google… oui, je vous ai vu(es) !), passez votre chemin… pour les autres, restez un moment, histoire de faire quelques légères modifications dans votre pensée « in english ».


 


J’ai choisi des expressions assez usuelles et imagées afin de vous permettre de :


 



- Appréhender un peu les subtilités de l’esprit franco-anglais (oui, on aime bien les animaux dans les deux camps, vous verrez !),- De rire un bon coup avec la traduction mot à mot (ce que fait, en général, tout un chacun qui n’y connaît rien en langues étrangères !),
- Apprendre et retenir cinq expressions ou fausse prononciation histoire de pouvoir se distinguer.


 



La curiosité est un vilain défaut :


 


Oui, alors, mot à mot, cela donnerait « Curiosity is an ugly default ». J’en connais qui me l’ont dit sans rougir et sans s’étonner de la tête de notre voisin britannique ; et encore, je suis une gentille fille, j’ai corrigé l’erreur « a » en « an » devant une voyelle (sauf exception…) et je n’ai pas relevé le « default » en lieu et place de « flaw ». Ce n’est, a fortiori, pas une phrase que l’on sort tous les jours… mais de là à aller jusqu’à imaginer la version anglaise… Je vous le dis, personne n’y aurait songé… : Curiosity killed the cat. Quoi le chat ? Oui, le chat…


 


Donnez-moi un coup de main


 :
 


Très utile, surtout si vous portez vos paquets depuis le matin et qu’un gentleman vous regarde en souriant. N’allez pas lui dire bêtement « give me a helping hand » qui n’est pas totalement erroné, mais bon. Cela pourrait porter à confusion, non ? Usez plus du Give me a hand (et plus si affinités…) et mettez un joli sourire sur votre visage.- Quand les poules auront des dents : Très utile quand un grand crétin vous colle en soirée ! Bref, déjà en français, l’expression est complètement idiote. Quand certains la traduisent mot à mot, cela relève des guignols « when hens will have teeth ». Vous sentez déjà, rien qu’en le lisant, que cela ne peut pas être la bonne version. Alors, arrêtez là les poules et les dents et jetez des cochons en l’air… Say yeah… Oui, c’est idiot, mais c’est SOOOO British : When pigs fly. Bon, on reste dans la basse-cour, vous me direz !


 


Il tombe des cordes/des hallebardes 


:
 


Bref, il pleut comme vache qui pisse, sortez le canot et les rames. On peut traduire cela par un « it’s pouring »… mouais, du mot à mot… on peut dire « it rains hallebards », histoire de se la jouer « je sais ce que c’est une hallebarde, moi ! ». Mise à part de « hallebarde », ça se traduit par halberd… et que vous serez aussi obsolète que cette arme. Non, pourquoi faire simple ! Restons dans les animaux et jetons des chats et chiens des nuages : it’s raining cats and dogs… C’est tellement plus réaliste (pauvre chaton !) !


 


Fausse prononciation :


 


Evitez à tout prix (PITIE !) de dire « oui, oui » en français quand on vous parle. J’en connais qui possède cette manie de langage et qui sont hilarants de l’autre côté de la Manche… car prononcer à la française « oui, oui », pourrait se traduire par un « yes, yes » logique, mais à l’écoute, on entend (on… les anglais, pardon !) « wee-wee »…. Qui veut dire « zizi » ou « pipi »… Vous saisissez les malentendus possibles ?


 


Alors, bien sûr, nos accents, nos jeux de mots, nos règles grammaticales sont difficiles, mais la langue de Shakespeare (Sharpe, Dickens, Hardy, Orwell, et consorts) est nettement plus agréable quand on l’apprend avec quelqu’un du cru (de la comtesse… Référence à un livre de Tom Sharpe… je reste dans l’ambiance british !).


 


Mon intérêt et amour pour la culture britannique ne se sont toujours pas atténués… et les français à l’étranger sont toujours des plaies…


 


God Save the Queen !


 


Article rédigé par ItemLiz Girl.



 
 


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Mes cheveux ils sont comme moi…. BEAUTÉ











Ouais bon je sais je t’ai un peu abandonné ces derniers jours, m’en veux pas hein faut dire que j’avais un peu la tête ailleurs et que je me suis essayée à créer un autre bloug (sois indulgente je débute !)





Me revoilà donc !





Tu vois je voulais faire ma belle et retrouver c’te pub où la nana disait : ‘’mes cheveux ils sont comme moi, …’’ sauf que déjà je me souviens plus de la fin de la phrase et que j’ai raté l’option google à la fac donc point de pub (si tu la retrouves tu me l’envoies hein ?).







Bref de quoi je te cause ?





Je vais te causer des cheveux passque les cheveux c’est sacré pour beaucoup de filles et même que dans certains pays et certaines religions les cheveux ont une réelle symbolique.



C’est pas des bêtises, ne rigole pas pour une fois que je suis sérieuse !



D’ailleurs si ça t’intéresse tu peux aller voir ça sur l’Internet, je vais pas te faire une dissertation là tout de suite.





Mes cheveux je les aime et j’en prends soin sauf que je les ai coupés il y a quelques mois et que maintenant je tuerai pour qu’ils repoussent vite. Du coup la phase de repousse est assez chiante vu qu’il faut encore plus en prendre soin pour ne pas se retrouver avec des queues de rat à l’arrivée.





En plus si comme moi t’as pas le cheveu totalement raide et que t’es obligée d’utiliser des plaques (fer à lisser) ben faut drôlement faire gaffe…





Alors l’autre fois j’ai entendu parler d’un site qu’est super pour commander des produits pro pour les cheveux et forcément ça n’a fait ni une ni deux je m’y suis précipitée !





Et v’là ce que j’y ai commandé :






















Shampooing divalent super doux pour le cuir chevelu




Shampooing spécial entretien de la blonditude




Huile thermo-lissante impec’ pour le brush




Lait thermo-réparateur qui agit sous l’effet de la chaleur





























Soin de nuit qui discipline ta crinière








Comme d’hab’, pas de demi-mesure avec moi !



Pour tout te dire j’en suis super contente et comme ce sont des produits pro t’en utilises pas trois tonnes, ça fait presque trois mois que je les utilise et j’en ai encore pour un moment.





Ce site est sérieux, en fait il s’agit d’une école de coiffure qui a également ouvert cette boutique, donc pas de soucis de contrefaçons ou d’arnaque à l’achat et les prix ne sont pas excessifs.





Surprise lorsque j’ai commandé c’est que cette boutique se trouve à Marseille donc j’ai pu aller chercher mes produits sur place !





Tu y trouves aussi bien des shampooings que des soins en tout genre mais aussi des accessoires (fers à friser, à lisser, brosses, séchoirs, tondeuses…) et y’a même une gamme pour ton homme.





Le site propose régulièrement des promos et si tu t’inscris à leur Newsletter tu les recevras directement dans ta boîte mail !









Avec tout ça tu n’auras plus d’excuses pour ne pas t’occuper de ta crinière.



Fini le cheveu gras, terne, brûlé, la couleur pisseuse et j’en passe !













Sont comment tes cheveux à toi et tu fais quoi pour eux ?



Dis-moi tout, j’aime tout savoir !







Article totalement non sponsorisé







Miss tête en l’air



















Rendez-vous sur Hellocoton !




Rendez-vous sur Hellocoton !




Comme une envie de léopard BEAUTÉ



Cette année encore l’automne me donne envie de léopard. L’année dernière déjà j’avais succombé en achetant une veste qui fait bien souvent parler mon entourage et ça me fait rire. Tiens pour la peine je te recolle ici la photo.


 



 


Cet été j’avais aussi succombé, comme si désormais je n’avais plus peur de porter cet imprimé du moins en petites touches. Ben oui c’est comme pour tout faut sauter le pas et une fois que c’est fait on devient limite accro.


 


 


L’autre fois alors qu’on faisait un tour chez Zara avec mme beauté j’ai repéré de loin une paire de bottines plates, mon oeil aiguisé est attiré par cet imprimé, je ne vois que ça comme explication.



 Je les ai trouvées canons, sauf que presque 90€ je trouve ça un peu cher pour du Zara. D’ailleurs de manière générale je trouve que Zara se touche un peu sur les prix des chaussures. Oh j’avoue en avoir déjà acheté mais pas à ce prix là et de mon expérience pas tous les modèles sont confortables. Du coup j’ai passé mon tour. C’était sans compter que le week-end dernier j’ai vu une paire similaire chez Minelli… Je n’ai pas réussi à la retrouver sur le site Internet mais en gros c’est un mélange de ces deux modèles:


 




 


Ouais bon comme ça pas évident de s’en faire une idée… Il s’agit d’une paire montante comme la première photo, imprimée comme la seconde et toute en moumoute à l’intérieur (mais on la voyait pas autant dépasser que sur cette photo). Très jolies, elles avaient l’air confortables et chaudes, rien que de les voir j’avais envie de les avoir aux pieds. je ne les ai pas essayées car mon compte en banque est au plus bas et qu’elles étaient aux alentours de 100 €.
En fait je suis en proie à un gros dilemme. J’ai envie d’une paire de chaussures dans ce genre, plates pour une fois, où je me sens bien et que je peux porter tous les jours et l’imprimé léopard me plait. Sauf que je me dis que c’est pas forcément portable au quotidien selon les tenues. Du coup investir dans une paire que je ne porterais qu’occasionnellement est peut être un peu stupide…
En attendant je fais avec ce que j’ai dans mon placard (c’est pas non plus comme si je n’avais pas de chaussures) et j’attends de tomber sur la paire qui me fera vraiment craquer et qui remplira tous mes critères. Mais ce qui est sûr c’est d’une manière ou d’une autre le léopard sera de mise cet hiver !


 


Plus quelques jours pour participer à notre concours coquin, merci à tous les participant(e)s j’adore vos anedoctes !


 


Miss tête en l’air




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Une blogueuse comme égérie Make Up Forever BEAUTÉ



Depuis un peu plus d’une semaine on a découvert la nouvelle égérie de la campagne HD Make up Forever.


Alors peut être le sais tu déjà mais nous on voulait absolument t’en parler pour une seule bonne raison, c’est notre coupiiiiiiiiiiiiiiiineeeeeeeeeeeee !


Bon trève de suspens, la voilà !



Alors y’a rien là ?????? (oui c’est une façon de chez nous de dire qu’elle envoie du bois)


Bref nous on l’a presque vécu en live son parcours !


Faut dire qu’elle s’est inscrite presque à la fin du casting sans trop être convaincue.


Et bam 1ère sélection, elle m’appelle et me dit « ahhhhhhhhhhh mon dieuuuuuuu je suis sélectionnée pour MakeUp je réponds ahhhhhhhhhhhhh mon dieu c’est trop méchant fada fonceeeeeeeeeeeeeeeeeeee »


Bref je ne passe nos textos plein de hiiiiiiiiiiii hoooooooooooooooo haaaaaaaaaaaaaa


Plus elle passait les sélections, plus elle en revenait pas plus nous on lui disait « Obligé c’es toi!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! »


Faut dire qu’Emilie nous on l’a rencontrée lors d’une soirée Mac, c’était au départ une de nos lectrices, de suite on a accroché, forcement on a parlé maquillage maquillage maquillage, trucs de filles.


Puis elle a lancé son blog parce qu’elle a changé de vie, elle a fait l’école Make Up Forever pour être maquilleuse pro, comme quoi c’était un signe.


Tu vois on ne pouvait pas, ne pas en parler sur le blog ????


En plus bon Emilie c’est vraiment la gentillesse à l’état pur ! Et oui oui elle a une peau de fou comme ça, même sans maquillage elle a un grain à tomber (là on la déteste tu le sais).


Ché pas toi mais moi j’attends de la voir placardée partout dans les magazines !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!


Tu peux suivre toutes ses aventures ici http://www.kabukime.com.


Sur ce on te souhaite un bon dimanche, dernier jour pour jouer avec Edenens !


Mme beauté


 


 


 


 


 


 




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Comme un aimant BEAUTÉ



(Attention référence pourrie pour un titre d’article pourri ! )


Je ne pense pas en avoir déjà parlé ici mais j’ai un compte Instagram, ce réseau social de photos où les gens te suivent et toi-même tu suis les gens et où tu cliques sur les photos des gens, ça fait des ♥ et les gens savent donc que tu aimes leurs photos. Et bien je ne sais pas si c’est récent ou non, si c’est dû à l’engouement pour ce réseau social mais tu peux imprimer tes photos Instagram sur divers supports. Coque pour ifoune, papier photo type polaroïd, affiche, coussins (si, si), autocollants mais également aimants (on dit magnets non ?).


J’étais tentée par les autocollants mais les planches sont de 252 photos, au total mon compte n’en comporte que 314 (je dis que 314 car  je suis une petite joueuse à ce niveau là, mais j’avoue que je ne photographie pas non plus tous les instants de ma vie et à la limite tant mieux pour mes abonnés) et donc avoir des doublons d’autocollants ne me tentait pas surtout que même moi je trouve que nombre de mes photos n’ont pas grand intérêt.


Mon choix s’est donc porté sur des magnets, il suffit de sélectionner uniquement 9 photos ça rentrait dans le cadre de mes compétences !
J’ai essayé d’en choisir 9 qui me définissaient au mieux et je pense avoir réussi.






Les mains du fiancé et les miennes enlacées, un coeur d’amour issu d’un kit de Saint-Valentin à imprimer chez May il me semble et la bague de demande en mariage, je te rassure il ne m’a pas fait sa demande avec ce morceau de sucre.
Mes collants roses et mes bottines léopard, c’est vraiment tout moi ça !
L’apéro à la mauresque en bonne marseillaise, des bonbons bien régressifs et du papier bulle qui claque pour mon côté j’ai 4 ans.


Je suis vraiment contente de mes choix, bien sûr il manque tout plein d’autres choses que j’aime et qui me définissent mais pourquoi pas pour une prochaine fois.
En tout cas les aimants sont vraiment nickels, ils arrivent en planche prédécoupée et  je les ai reçus en 4 jours, c’était encore plus rapide que le délai annoncé.


Alors bien évidemment il faut un compte Instagram pour pouvoir faire ça, il suffit d’aller sur le site de StickyGram et de se laisser guider.


La planche de 9 magnets coûte 14.99$, les frais de port sont gratuits et en utilisant le code FRIEND9RV5 tu as 2$ de réduction sur ta première commande.


Et si jamais tu veux me suivre sur Instagram mon compte c’est just_blondie !


Miss tête en l’air




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Astuce déco pour les nulles (comme moi) BEAUTÉ



Autant l’avouer je ne suis pas une manuelle et je suis nulle de mes dix doigts à mon grand désespoir d’ailleurs. Je rêve de savoir faire plein de trucs, dessiner, coudre, créer mais c’est loin d’être le cas.
Alors lorsque l’autre jour j’ai eu une idée de génie (à mon niveau) et que je suis arrivée à la réaliser je peux te dire que j’étais fière, mais vraiment quoi.


Il y a peu j’ai réintégré mon appart après avoir eu quelques soucis là-bas et il s’avère que dans mon salon il y a des trous dans les murs. Et quand je parle de trous il s’agit vraiment de gros trous, j’ai du les faire pour une expertise et en attendant que mon salon soit refait j’en avais ras le bol de les voir. J’ai bien pensé à accrocher un truc devant mais le trou part du sol sur 15 cm de large et bien 60 cm de hauteur…. difficile à camoufler. Et d’un coup je me suis dit qu’accrocher un tissu au mur pouvait être chouette.
J’avoue que dit comme ça c’est pas top, que mon chéri était dubitatif et que moi-même je doutais un peu mais il fallait absolument que je tente. Me voilà donc partie chez Ikéa pour le tissu et Leroy Merlin pour le matériel dont j’avais besoin.



Jusque là rien de bien compliqué.
J’ai choisi un tissu noir et blanc avec des motifs bien que j’étais partie avec des envies de couleurs mais les tissus colorés faisaient trop enfantins ou trop chargés. Chez Ikéa tu fais ta vie, c’est toi même qui coupe ton tissu en fonction du métrage dont tu as besoin. Il était en largeur de 150 cm et j’en ai pris 2 mètres de long.



Ensuite chez Leroy Merlin j’ai acheté une baguette en bois plate et pas très épaisse, l’idée étant de clouer le tissu sur la baguette afin qu’il tombe bien droit.


Etape 1: découpe de la baguette à la bonne taille.
Etape 2: positionner le tissu dessus de manière bien droite, j’avoue que ça a été le plus dur mais à deux nous y sommes arrivés.
Etape 3: positionner la baguette au mur, là encore de manière bien droite et clouer.


Et voilà, c’est fini, j’ai juste rajouté des petits clous sur les bords pour que le tissu soit encore plus tendu et basta.



Résultat, c’est super joli et j’ai eu droit à de nombreux compliments ! Trop fière ! Et puis finalement c’est pas si choquant avec ces housses de coussins que j’avais choisies avant même de prendre le tissu.
C’est dingue comme ça a habillé ma pièce, tout de suite elle avait une autre allure, ça a aussi apporté un côté plus chaleureux.
Alors idéalement il aurait fallu faire des ourlets mais comme le tissu passe derrière le canapé ça ne se voit pas et à la base c’était une idée provisoire en attendant que mes murs soient remis en état (et puis j’ai dit que je ne savais pas coudre).


J’ai bien envie de le refaire pour une tête de lit avec à ce moment là un tissu plus épais et un cadre tout autour et pas seulement une seule baguette.


2 mètres de tissu à 6.99 € le mètre soit 13.98 €
1 baguette de bois à même pas 3 €


Montant total de l’opération: 16.98 €
Durée: 20 minutes à tout casser


Finalement je me suis dit que je ne suis peut-être pas si nulle et qu’en m’entraînant je deviendrais peut-être une pro (ahahah !)


Miss tête en l’air 




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Little Miss Beauty