Showing posts with label premier. Show all posts
Showing posts with label premier. Show all posts

Voyons nous, ou le premier site de rencontres en ligne qui ne me fait pas fuir BEAUTÉ

  • 0



 


Vous l’avez sûrement remarqué, depuis quelques semaines, nous essayons de vous informer le plus possible des bons plans et des choses intéressantes qu’on découvre sur le net, soit parce qu’on nous envoie (comme à vous très certainement) sur les adresses mail de contact du blogzine (parfois/rarement/une fois sur mille – rayez les mentions inutiles) des communiqués de presse intéressants et dont on a envie de parler, soit parce qu’on tombe par moment nez à nez avec un site sympa.


 


Là, en l’occurrence, pour le site dont je vais vous parler aujourd’hui, il s’agit du premier cas. Oui, parce que bon, certaines d’entre vous le savent déjà, je me suis mariée il y a tout juste un mois et ça aurait quand même été bizarre que je traîne sur des sites de rencontres. Et en plus, j’ai rencontré mon mari durant mes études, en prépa, et j’ai toujours eu une sainte horreur de ces rencontres « virtuelles ».


 


Bref, nous avons reçu un communiqué de presse qui, étrangement, a attiré mon attention (même si, pour celles qui suivent, je n’étais manifestement pas une cible facile à convaincre) : en effet, le concept du site est de donner la priorité à la rencontre IRL (In Real Life). En vrai quoi, à l’ancienne, avec un vrai rendez-vous, de vraies mains moites, de vrais bredouillements, et surtout un vrai échange. L’unique moyen de savoir si cette « alchimie » nécessaire à toute relation est bien là, ou si, dès le premier coup d’œil, à cause d’une question de physique (« je me suis toujours jurée de ne pas sortir avec un mec qui prend ses ongles pour un double cheese burger, donc désolée mais ça ne va pas être possible »), on sait qu’on ne souhaitera pas poursuivre la relation plus loin.


 


Le site est tout jeune puisqu’il a été lancé en juillet dernier, mais il a manifestement beaucoup plu puisqu’il a attiré plus de 1300 inscrits et qu’il y a déjà eu plus de 200 propositions de rendez-vous envoyées via le site voyonsnous.fr. En gros, on s’inscrit sur le site, on remplit un questionnaire précis sur sa personnalité, ses centres d’intérêts, la relation qu’on recherche, etc. On peut ensuite faire une proposition de rendez-vous en précisant un lieu, une date et une activité, et l’algorithme du site envoie automatiquement notre proposition de rendez-vous à une petite dizaine de célibataires qui nous correspondent le plus. Et on peut alors choisir avec quel célibataire on souhaite partager cette activité (sachant qu’on reçoit nous aussi en parallèle des propositions de rendez-vous).
 


 


Ce que j’ai aimé avec ce site :


 


Le concept, car l’idée de passer beaucoup moins de temps à échanger sur Internet, et de favoriser la vraie rencontre autour d’une activité qu’on aime, moi je dis bravo : ça évite les déceptions, l’attente interminable, et ça permet de construire tout de suite une relation, amicale ou amoureuse (ou alors de savoir dans l’heure qu’on ne reverra plus cette personne – dans tous les cas, c’est du temps de gagné !).


 


La gratuité de l’inscription, car jusqu’au 2000ème inscrit, pas besoin de payer quoi que ce soit. Un bon moyen de tester ce nouveau service sans avoir peur de se ruiner… et nous permettre de garder nos sous pour sortir justement avec ces charmants célibataires rencontrés via Voyons Nous !


 


La confidentialité du service, car si j’étais célibataire et que j’étais en pleine recherche de l’amour sur les sites de rencontres, je n’aimerais pas du tout que mes collègues, mes copines, ma mère, mon patron, ou tous les autres membres de ma famille soient au courant. Et sur ce site-là, au moins, notre profil n’est pas visible pas les autres membres (il ne l’est que lorsqu’on envoie une proposition de rendez-vous et que notre profil correspond).


 


Donc si vous avez envie de tester le site, vous pouvez vous inscrire gratuitement sur www.voyonsnous.fr, et surtout, n’hésitez pas à vous exprimer ici pour nous dire ce que vous en pensez : quels sites de rencontres avez-vous déjà testé ? Les avez-vous trouvés utiles ? Est-ce qu’un site comme Voyons Nous vous paraît intéressant ?


 


Sur ce, on vous souhaite de passer une très bonne journée et on vous dit à très vite pour de nouvelles découvertes made in web ;)


 


Article rédigé par So busy.



 
 


Si vous avez aimé cet article, vous pouvez retrouver So Busy directement sur son blog.





Le match improbable : le premier tour VS le deuxième tour BEAUTÉ



Ca y est, c’est fini ! Deux petits tours et puis s’en vont. D’ailleurs, c’est une vraie particularité française mais c’est sympa, ça ajoute du suspense, ça fait monter la pression, une sorte de « la suite au prochain épisode ». Maintenant, est-ce qu’on rigole pareil à chaque tour, c’est pas dit.
 




 









































Le premier tour



Le deuxième tour



Caractéristiques : Détermine les deux finalistes du deuxième tour…tout en faisant la part belle à ceux qui ne sont pas élus.Caractéristiques : A lieu une semaine après le premier tour. A la fin, il n’en restera qu’un !


 



Particularité : Des tas de candidats tous plus rigolos les uns que les autres espèrent remporter la timbale. Ca doit être très sympa le premier tour vu que certains se présentent depuis près de 30 ans sans jamais gagner…


 

Particularité : Autant le premier tour tout le monde peut jouer, autant le deuxième se limite à deux personnes exclusivement. Presque systématiquement des mêmes partis (exception faite de l’UDF et le FN).



Cette année : le 22 avril. A vu l’explosion du FN qui s’est indirectement qualifié.



Cette année : le 6 mai. Hollande semble bien parti (oui, mais la France ?).



Tranches de rigolade : 70%. Forcément vu la multiplicité des candidats dont certains vraiment barrés.


 

Tranche de rigolade : 2%. Forcément vu les candidats prêts à tout pour gagner (y compris faire des promesses irréalisables).
Point fort : Le choix de voter pour pas mal de gens, plus de chance d’en avoir un qui vous corresponde.



Point fort : On gagne un président dès 20h



Point faible : Disperse les votes. Plus de chances que votre chouchou n’y soit pas surtout s’il foire les parrainages.



Point faible : Pas le choix, c’est l’un ou l’autre. Et si vous ne les aimez ni l’un ni l’autre il va falloir faire plouf plouf.



Mon avis perso : Je préfère ce tour car il y a plus de propositions parmi tous les programmes en cours et on entend plus  la voix de chacun.



Mon avis perso : Moins intéressant malgré l’enjeu final car on assiste souvent à une guerre d’ego et non de propositions.



Pourquoi il doit gagner ? : Parce qu’on a trop tendance à se focaliser sur la victoire finale et que c’est le seul tour qui peut changer quelque chose.


 

Pourquoi il doit gagner ? : Parce qu’il détermine l’avenir de la France pour 5 ans.

 




 
AND THE WINNER IS…
 
La démocratie non ?


 





 
 






Le jour où j’ai osé faire le premier pas BEAUTÉ



Il est beau, il est jeune, il sent le sable chaud (normal il vient de la Réunion)… Je l’ai rencontré au boulot, je le voyais régulièrement à la cantine. Je lui avais déjà souri, il m’avait rendu mon sourire, mais je n’osais pas l’aborder…


 




Source photo : www.aufeminin.com


 


En bonne modern girl, j’ai décidé de mener ma petite enquête. Merci l’intranet de la boîte, plus précisément le trombinoscope, grâce auquel j’ai pu trouver son nom. Un conseil : surtout ne refusez jamais qu’on mette votre photo sur l’intranet, c’est l’occasion de se faire connaître et peut-être même de se faire draguer. Une fois le nom en poche, je l’ai bien évidemment googlisé, facebooké et tout ce qui est possible de faire pour le retrouver. Miracle, il a un compte FB ! En plus, cerise sur le gâteau il est particulièrement beau sur sa photo de profil !


 


A ce moment, je me suis dit qu’il fallait que je prenne les choses en main. Je ne pouvais pas vraiment l’aborder au boulot (un peu la honte de s’afficher devant tout le monde, bonjour les ragots, etc…), j’allais donc lui envoyer un mail sur FB. Je remercie chaleureusement mes copines pour avoir participé activement à la rédaction de ce message ;)  Le mail étant désormais parfait, il ne me reste plus qu’à l’envoyer. Oui mais voilà, je n’ose pas… Combien de fois j’ai voulu cliquer sur envoyer puis je me suis débinée ? Combien de fois je me suis dis « t’es folle de faire ça »? Combien de fois j’ai regardé sa photo en me disant « il est vraiment trop beauuuu », histoire de m’encourager? C’est finalement la veille de mes vacances, que la main tremblante et des frissons dans le dos j’ai enfin osé appuyer sur ce fameux bouton envoyer…


 


24 heures plus tard…


 


Il y a des moments dans la vie qu’on ne peut pas oublier : alors que je me baladais dans Paris, devant le parvis de Notre Dame, je regarde mon téléphone à tout hasard (tu parles ! Je ne le lâchais pas et le regardais toutes les 2 secondes !), et là… mon cœur s’arrête, puis devient fou, fait même un double saut périlleux : IL M’A REPONDU ! Une très jolie phrase en plus : « il y a des regards et des sourires que l’on n’oublie pas ».


 


C’est alors le début de nombreux échanges de mails, puis par la suite de chat sur MSN (MSN que je n’avais pas touché depuis plus de dix ans), puis d’une rencontre, d’une deuxième, d’une troisième, de déjeuners ensemble, prochainement de footings ensemble… mais en tout bien tout honneur ! Non pas qu’on ne se plaise pas, juste qu’il a une copine, avec qui il est bien. Nous sommes simplement devenus amis. Ne soyez pas déçues, c’est déjà beaucoup !


 


 




Source photo : www.aufeminin.com


 


Mais je ne regrette aucunement ce que j’ai fait. Si je dois le refaire, je le referai. Je pense que parfois, il faut savoir prendre sa vie en main, forcer un peu le destin, ne surtout pas regretter d’avoir essayé. J’ai tellement apprécié ce moment de stress, d’excitation avant l’envoi du message, la joie d’avoir sa réponse. C’était tellement agréable ! Et puis je suis loin d’avoir tout perdu, j’ai gagné un ami que je prends plaisir à regarder ;)


 


Article rédigé par Steph 189



 
 


Si vous avez aimé cet article, vous pouvez retrouver Steph 189 directement sur son blog.





Ces petits trucs que j’aurais aimé savoir avant mon premier enfant BEAUTÉ




maman-qui-porte-son-bebe


 


Paris – Septembre 2004


 


Je me rappelle parfaitement la lumière de cette fin journée, ce doux soleil encore gorgé d’été, la promesse d’une belle soirée… dans ma voiture, même les tours de Noisy-le-Grand sur le bord de l’A4 avaient l’air de me sourire. Dans mon sac, un test de grossesse allait m’apporter la confirmation de ce que je sentais depuis quelques semaines, j’allais être maman… enfin, j’allais d’abord avoir un bébé, parce que malgré ce qu’on pense, on n’est pas Maman d’un coup de baguette magique au moment où la sage-femme coupe le cordon ombilical, non, non, on le devient…


 


Soyons claires : qu’on épargne aux primipares, en dehors des cours prodigués par les professionnelles de la naissance, certains détails de l’accouchement, je peux le concevoir. Parce que chaque accouchement est différent et terriblement intime ; parce que ce n’est pas un examen et qu’il ne sert à rien de bachoter ; parce que ça ne se passera de toute façon pas comme vous l’avez imaginé… Par contre, il y a quand même des choses pour lesquelles j’aurais bien aimé pouvoir me préparer, histoire ne pas me retrouver dépourvue, au bord de la dépression post-partum, une fois que le petit bout, en chair et en couches, fut venu.


 


 
 


1. J’aurais aimé savoir que le coup de foudre, c’est comme les antibiotiques, c’est pas automatique


 


Bébé me regarde, je le regarde. Des deux côtés, le même étonnement : « Alors c’était toi ? Je t’imaginais plus ronde, souriante, avec des fossettes et moins de cheveux… et puis t’es bourrée de tics, c’est quoi ces mimiques permanentes ?


 


- du calme ma Grande, t’avais qu’à pondre tout de suite un bébé de 6 mois, comme dans les séries télé ! et toi, je ne voudrais pas te faire de peine, mais autant tu devais être magnifique il y a quelques jours, autant là, t’as l’air plutôt tapée… »


 


Un peu déboussolée, voire honteuse, je me demande pourquoi, moi, je ne suis pas immédiatement frappée par l’amour maternel inconditionnel dont on m’a tant parlé. Ou peut-être ne sais-je pas encore le reconnaître : serait-ce cette nouvelle peur qui m’étreint à chaque fois que je ne l’entends plus respirer ? Ce sentiment un peu angoissant que je ne pourrais plus prendre de risques inconsidérés (faire de la chute libre, de la moto les cheveux au vent, partir dans un pays fortement déconseillé par le ministère des affaires étrangères…) parce que quelqu’un dépend de moi ? Cette chaleur au fond du ventre… ah non, ça ce sont les contractions d’allaitement…


 


Bref, si j’avais su qu’il fallait AUSSI laisser un peu de temps à une mère et son nouveau-né pour se découvrir, je n’aurais pas culpabilisé comme une folle en me disant que je n’étais pas faite pour aimer un enfant.


 


 
 


2. J’aurais aimé savoir que les premiers mois, ce n’est pas QUE du bonheur


 


D’abord, cette expression me hérisse les poils, ensuite, non, les premiers mois, ce n’est pas que du bonheur, c’est dur, voire super dur :


 


- un bébé, premier ou pas, il faut « qu’il se mette en place », les nuits, les biberons, les coliques, et toutes les autres petites choses qu’on ne soupçonne pas et qu’il ne pourra jamais nous dire… alors oui, un bébé pleure souvent, mais ce n’est pas pour ça que c’est grave ;


 


- passée l’euphorie du « on a fait un bébé ensemble, on est tellement bô tous les trois », le couple peut subir des petites crises dues à la panique (« Tu lui as donné un bib de 240 !!! Elle n’en est qu’à 120 mL, mais ça va pas ?! Tu veux la tuer ! »), à la fatigue (« Mais j’en sais rien moi, ce qu’on fait quand un bébé pleure plus de 2 heures d’affilée, j’en n’ai jamais eu avant non plus figure-toi ! »), aux différentes conceptions de l’éducation (« Laisse-la pleurer, sinon, on va en faire une enfant capricieuse – et tu as déjà entendu un nourrisson de 6 jours faire des caprices, toi ?! Pour quoi ? Pour qu’on la laisse regarder Gulli ?! »). Heureusement, ce qui ne tue pas un couple le rend plus fort, mais ce qui est certain, c’est que pendant ces premiers temps, il ne faudra pas compter sur une réconciliation sur l’oreiller… non, ça c’est sûr ;


 


- côté physiologique d’ailleurs, on ne reconnaît pas ce corps qui doit encore se contenter des vêtements de grossesse mais flotte dedans ; on a mal partout et surtout, on a les hormones dans les chaussettes, donc la larme à l’œil et la crise d’hystérie facile (en même temps, ça fait déjà 9 mois que ça dure !) ;


 


Bref, si j’avais su que ces premiers mois seraient si difficiles, j’aurais pu relativiser, ne pas pleurer tous les jours d’inquiétude pour la santé de mon bébé ou celle de mon couple, j’aurais pu tout mettre sur le dos de mes hormones et attendre que ça passe avant de jeter mes anciens jeans.


 
 



3. J’aurais surtout aimé qu’on me dise « Faites-vous confiance » beaucoup plus tôt


 


J’ai bien regardé, le truc qui braille dans son berceau m’a été livré sans mode d’emploi… alors oui, j’ai lu des tonnes de bouquins/magazines/forums avant qu’il n’arrive ; oui, ma belle-mère me donne des conseils, la cousine de ma tante me donne des conseils, cette charmante Maman épanouie avec ses trois bambins croisée dans la rue me donne des conseils, la Terre entière se sent en position de me donner des conseils… ET J’EN AI MARRE ! Tout se mélange, rien ne me convient et je ne sais plus quoi faire. Jusqu’au jour où la sage-femme qui m’avait préparée à l’accouchement me dit : « Faites-vous confiance, écoutez-vous ; c’est votre enfant et même si vous êtes persuadée du contraire, vous avez l’instinct maternel ».


 


Si j’avais su me faire confiance, je n’aurais pas suivi ce pédiatre, vieux comme Hérode, me dire que mon lait n’était pas bon et que ma fille criait trop. Telle la louve, la tortue ou la baleine, j’aurais vécu cette maternité comme un truc animal et naturel, en m’écoutant et en entendant mon bébé.


 



En même temps, si on m’avait vraiment dit tout ça, n’aurais-je pas pris mes ovules à mon cou avant qu’il ne soit trop tard? Peut-être bien… et je serais passée à côté du bouleversement le plus important de toute ma vie, mais ça, c’est une autre histoire…



 


Article rédigé par Ma vraie vie de MAF.


 
 


Si vous avez aimé cet article, vous pouvez retrouver Ma vraie vie de MAF directement sur son blog.





Cookit, le premier kit pour préparer de bons repas frais en un tour de main BEAUTÉ



le-burger-comme-chez-brice

 


Cookit, c’est un nouveau concept parisien très en vogue en ce moment. Pour celles qui ne connaissent pas encore, il s’agit en fait d’un kit prêt à cuisiner contenant tous les ingrédients frais et pré-dosés pour cuisiner rapidement et simplement un bon repas pour 2 à 4 personnes !


 


Légumes, viandes, poissons, tout est frais, ce qui permet d’obtenir un repas plus savoureux mais aussi beaucoup plus sain ! Les recettes sont sophistiquées et imaginées par des chefs, donc on va pouvoir facilement épater tous nos convives :) Tout ça sans avoir trop de peine à parvenir au résultat attendu – tu sais, pas comme dans les livres de recette où tu regardes désespérément la photo puis la tête de ton gâteau brûlé et flasque et que tu comprends qu’il y a une erreur quelque part – non, là, le résultat est garanti en moins de 30 minutes, et les fiches recettes sont expliquées avec des termes simples et vraiment faites pour des gens comme toi et (surtout) moi qui ne sont pas forcément très doués en cuisine.


 


En plus, si tu veux vraiment faire comme un pro de la cuisine et subjuguer tes invités, tu pourras retrouver directement sur le site tout plein de conseils de présentation pour faire un beau dressage digne des assiettes servies dans les grands restaurants.


 


Et combien ça coûte, cette affaire ?


 


Eh bien pas si cher que ça figure toi, surtout quand tu comptes que tu n’as pas à faire les courses, que tu n’as que des produits frais dans ton panier Cookit, que ça ne te demande aucune réflexion (pas la peine d’éplucher tous tes livres de recettes pendant des heures pour espérer trouver LA perle qui te sauvera) bref, pour résumer, temps de cuisine minimum, effet maximum ! Et pour tout ça, il ne faudra débourser que 8,5€ par personne (calculé par rapport au prix du kit Cookit pour 4).


 


C’est pratique


 


Cookit livre gratuitement à Paris dans l’heure qui suit la commande ou selon nos disponibilités.


 


Bref, vous l’avez compris, ce concept, c’est tout simplement de l’or en barre pour toutes les piètres cuisinières qui, comme moi, se sentent débordées rien qu’à l’idée d’aller acheter les ingrédients nécessaires puis de réaliser une recette toute bête de spaguettis bolognaise maison.


 


J’espère vous avoir mis l’eau à la bouche avec ce kit prêt à cuisiner car, vous savez quoi ? On lance un concours dans seulement quelques heures pour vous proposer de remporter un Cookit ! Restez dans le coin, ça va vous plaire, c’est sûr ;)



 


Article rédigé par So busy.



 
 


Si vous avez aimé cet article, vous pouvez retrouver So busy directement sur son blog





Suivi de grossesse en Angleterre – Premier trimestre BEAUTÉ



Comme Tout Petit Bout est en route et que je vais accoucher une fois de plus dans le public en Angleterre, je me disais que j’allais vous en dire un peu plus sur le suivi de grossesse ici.


 


Pour le moment, je suis en enceinte de 13 semaines et j’arrive donc à la fin du premier trimestre de grossesse.


 


En Angleterre, le suivi est beaucoup plus relax qu’en France d’après ce que j’ai pu constater avec ma précédente grossesse il y a deux ans (suivie en Angleterre) et ce qu’ont pu me dire mes amies qui ont été suivies en France.


 


Quelle est la marche à suivre ici en Angleterre et comment ça se passe ?


 


Grosso modo, une fois qu’on a fait un test de grossesse et que celui-ci s’avère positif, il faut prendre rendez-vous avec son GP (l’équivalent du généraliste français).


 


Les rendez-vous chez le GP sont assez minutés, même si ce n’est marqué nulle part. En général, on a 15 minutes pour parler de ce qui nous amène, être ausculté (si besoin est), et récupérer son ordonnance (si besoin est également, bien évidemment). Quand on le sait, ce n’est pas un souci. Sinon, on risque d’être un peu dérouté, car quand on attend un enfant, on a quand même envie de s’étendre un peu sur le sujet et de poser un milliard de questions, en particulier pour une première grossesse.


 


J’ai donc pris rendez-vous chez mon GP quand 2 tests de grossesse m’ont confirmé que nous attendions une heureuse nouvelle. Quelques jours plus tard, je me rends au cabinet et une généraliste que je n’ai jamais vue auparavant me reçoit (celle que je vois habituellement est en vacances, et comme je n’ai pas vraiment envie d’attendre une ou deux semaines, j’ai pris ce qu’il y avait). Je vous résume le rendez-vous :


 


Moi : « Bonjour, je viens pour une bonne nouvelle, j’ai appris la semaine dernière que j’étais enceinte »


Elle : « Très bien. C’était voulu ? »


Moi : (Je viens de te dire que c’était une bonne nouvelle, donc a priori, c’est que c’était voulu quand même). « Oui, oui, nous sommes ravis avec mon mari ».


Elle : « Bien ! Vous avez fait un test de grossesse ? »


Moi : (non, non, j’ai juste l’impression que je pourrais être enceinte donc je viens vous voir) « oui, j’en ai même fait deux : tous les deux positifs. »


Elle : « Parfait, toutes mes félicitations, je vous réfère donc à l’hôpital Truc pour l’accouchement et le suivi, ils vous contacteront pour le Booking appointment » (le Premier rendez-vous avec toutes les questions médicales et les tests sanguins). Je vous donne votre Pregnancy Pack (pack d’information sur la grossesse), ça devrait répondre à toutes les questions que vous pourriez avoir. Il y a également un petit papier à remplir et à renvoyer pour votre maternity exemption certificate. Et puis c’est votre deuxième grossesse et tout s’est bien passé la dernière fois, donc il n’y a pas de raison que ça se passe autrement cette fois-ci ! Mais si vous avez le moindre doute, n’hésitez pas à nous appeler et à prendre rendez-vous ! »


Moi : (vous me croyez sur parole alors, on ne vérifie pas que je suis bien enceinte hein… pas de prise de sang juste au cas où je ne saurais pas faire pipi correctement sur un bout de papier et compter le nombre de lignes de couleurs dans la petite fenêtre…) « Parfait ! »


 


En ressortant, je jette un petit coup d’œil au Pregnancy Pack que le docteur m’a donné. Un petit bouquin qui explique le déroulement de la grossesse et les étapes majeures du suivi, les aliments à éviter, les choses à faire / ne pas faire quand on est enceinte.


 



baby-on-board-mind-the-bump


 


Je trouve également le papier à renvoyer pour obtenir mon maternity exemption certificate. A faire absolument, ça permet de ne pas payer les médicaments ni le dentiste jusqu’au premier anniversaire de l’enfant. Facile à remplir sauf une case… Date prévue d’accouchement… hmmmmm… la généraliste a complètement oublié de me  donner ma date prévue d’accouchement, bien qu’elle m’ait demandé la date de mes dernières règles… Je suis tout aussi fautive, je n’ai même pas demandé… Déjà une mère indigne ! Mais maintenant que je me suis rendue compte de l’oubli, il faut que je sache ! Je passe donc au secrétariat. La gentille réceptionniste passe un coup de fil au médecin, et hop, c’est bon, j’ai ma date pour mi-août.


 


En Angleterre, on calcule la date d’accouchement un peu différemment : on prend le jour des dernières règles et on rajoute 40 semaines. On ne parle jamais de semaine d’aménorrhée, ni de semaine de grossesse. Il n’y a qu’un seul type de semaine, c’est bien plus simple à mon goût !


 


Toutefois, le calcul du terme pouvant être faux en raison de la longueur du cycle et de la période d’ovulation de la femme, la première échographie, appelée d’ailleurs dating scan, permet de donner une date prévue d’accouchement beaucoup plus fiable, en fonction de la taille du fœtus (tous les fœtus se développent exactement de la même manière durant les premières semaines).


 


Voilà donc pour le premier rendez-vous de suivi. Il peut être un peu déroutant, car très rapide, et ne donnant lieu à aucune vérification / auscultation. Il faut donc patienter véritablement jusqu’à la première écho pour voir que tout va bien, ce qui peut paraître atrocement long.


 


Je voulais également recommander un site très bien fait qui m’avait bien aidée lors de ma première grossesse et auquel je me réfère toujours d’ailleurs. Il s’agit de Babycenter www.Babycentre.co.uk. Une mine d’information pour les futures mamans. Le site propose même de recevoir chaque semaine une newsletter pour en savoir plus sur le développement du bébé et les changements survenant dans le corps de la femme enceinte.


 


Prochain épisode : le Booking appointment.


 


Article rédigé par Le monde de petit bout.


 
 


Si vous avez aimé cet article, vous pouvez retrouver Le monde de petit bout directement sur son blog.





Je couche le premier soir BEAUTÉ



Qu’on se rassure, je n’écris pas cet article pour faire de la propagande et je n’ai pas été payée par la gent masculine. Je trouve qu’il y a un tabou sur le sujet, même en vieillissant, et toujours autant de jugement moralisateur, venant autant des femmes que des hommes.


 


Je couche le premier soir.


 


Selon l’expression consacrée, je suis une fille facile. Ou une traînée. Une chaudasse. Une salope. Une pétasse. Une pute. Une fille de petite vertu (bizarrement, je ne suis pas sûre qu’on ait droit à un vocabulaire aussi détaillé pour les hommes).


 



les_images_ceci_insulte_des_femmes_et_pisse_les_u_autocollant-p217497522572149702enqyb_216


 



Je couche le premier soir. Quand j’en ai envie. Pas à tout les coups, pas avec tout le monde. Et non, un premier rencard ne donne pas forcement lieu à une coucherie salace.



 


Il paraît que ça envoie un mauvais message. Que l’on tue toute l’attirance, tout l’intérêt, qu’il n’y a plus de mystère, et que donc, l’homme n’a plus vraiment de motivation à nous revoir. Dans ce cas, ça voudrait dire que l’intérêt, le mystère, l’attirance, se trouvent dans notre culotte. Et qu’une fois celle-ci ôtée, boum ! Plus rien. Donc, ça voudrait dire que :


- soit coucher le premier soir implique une absence de sexe le deuxième soir, le troisième soir… et pour le reste de la relation. Plus de mystère, plus d’intérêt. On peut passer à autre chose, comme apprendre à jouer au rami corse  (mais sérieusement, sauf grosse découverte dégoûtante lors de l’acte, pourquoi l’homme ne voudrait-il pas continuer à faire l’amour avec nous ?)


- soit l’homme ne cherche que ÇA. Mais qu’UNE fois. Donc, au lieu de nous larguer au premier rencard (parce qu’on est une fille bien qui gardent ses cuisses bien serrées), il nous larguera au sixième ou au dix-huitième rencard, en gros dès que l’on aura cédé (oui, l’homme est un gros pervers, la femme, une pauvre chose qui couche à contre cœur). Dans ce cas-là, improbable certes, j’aurais quand même envie de dire, autant y aller direct, ne pas perdre du temps et ne pas prendre le risque de s’attacher. De toute façon, il va nous larguer au petit matin.


 



Il paraît aussi que niveau respect, c’est pas terrible, le mec garde de nous une image de fille pas très nette, un peu slutty sur les bords. Comme tous les hommes, il recherche une sainte qui ressemblerait à sa mère (autant aller à fond dans les clichés), et donc, même si on se trouve être la femme parfaite, il ne pourra jamais envisager quelque chose de vraiment sérieux (c’est-à-dire la présentation à papa et maman) et sur le long terme. Dommage pour nous, on avait déjà repéré un super ensemble chez Anne Weyburn.


 



Il paraît aussi qu’on n’a pas assez d’estime de soi, qu’on s’est bradée. Il n’a pas eu à faire d’effort, il ne nous a pas assez courtisé, on ne l’a pas fait mariner, comme dicté par les sacro-sainte règles du Jeu. Mais comment ça se passe s’il nous a plu dès le premier regard ? Est-ce qu’il faut vraiment lui faire croire qu’il doit nous emmener dans ce grand restaurant 3 étoiles, et que c’est mieux s’il porte une chemise ? Et aussi s’il nous envoie des roses ? Est-ce qu’il faut vraiment faire l’indifférente, l’inaccessible ? Même si on est allergique aux fleurs et au chocolat et qu’on a juste envie de lui rouler une pelle monumentale ?


 



Je couche le premier soir, parce que j’écoute mes envies. Parfois, je suis en manque. Parfois, je suis amoureuse. Parfois, je suis tellement en manque que je crois que je suis amoureuse.


 


Savoir résister à ses pulsions, c’est ce qui différencie l’homme de l’animal. Ça tombe bien, je suis une femme !


 


Article rédigé par La fille H.


 
 


Si vous avez aimé cet article, vous pouvez retrouver La fille H directement sur son blog.





Chouette. J’ai signé mon premier CDI… BEAUTÉ



cv-entretien-d-embauche-cdi-cdd


 


Je croyais que quand je signerais mon tout premier CDI, je sauterais partout, hystérique, à appeler toutes mes copines pour « fêter ça ». Que je serais tellement enthousiaste, que je le dirais à qui veut l’entendre « Eh oui ! Moi à 23 balais j’ai déjà un CDI ! », que je serais fière de parler de mon boulot et de ce fameux contrat tant attendu après cinq années d’études réussies du premier coup, de stages mal payés et pas toujours intéressants et de jobs étudiants moins enrichissants, mais bien rémunérés.


 


Oui, mais ça, c’était avant. Avant que ce CDI n’ait un goût amer. L’amertume de s’être fait tromper depuis plusieurs mois, l’amertume des promesses non tenues et de savoir qu’on n’a pas le choix.


 


Attends, la nana elle gueule alors qu’elle a un CDI quoi ! 


 


Ouais, c’est sûrement se plaindre la bouche pleine que d’oser dénoncer le contrat que tout le monde attend, surtout quand la France compte près de 25 % de chômeurs chez les moins de 25 ans.


 


C’est égoïste et pourtant c’est vrai : je n’en veux pas de ce CDI rémunéré au SMIC pour des horaires de misère aux heures supp’ non payées et non récupérées.


 


Non pas que mon employeur soit un tyran, un gros méchant ou quoi que ce soit dans le genre. Non. Il pense juste que, lui aussi ayant été au SMIC au début de sa carrière, c’est une case normale et logique par où il faut passer.


 


Il pense juste que ne pas me donner tout de suite un salaire qui explose les plafonds, ça me motivera à travailler. Ah oui… Je suis vénale, attirée uniquement par l’argent. Je ne peux pas être animée par l’amour du travail bien fait et du sentiment d’avoir accompli quelque chose de bien. Non, pas en 2013. Ce sont des valeurs du passé sûrement…


 


Il pense aussi qu’en me mettant au bout de la carotte une prime ridicule tous les mois, ça me motivera à me défoncer (encore) plus pour sa boîte. Et surtout, en « m’offrant » des primes qui n’égalent même pas le montant des heures supp’, il pense me faire LE cadeau sur ce contrat en CDI que je ne pourrais pas refuser.


 


Il est tellement gentil mon employeur que pour me faire peur et m’inciter à signer rapidos, il m’a dit que « bon, je me suis vraiment demandé s’il fallait ou non te garder… Au final, je n’ai pas envie de reformer quelqu’un d’autre tout de suite. Donc si tu veux, tu restes ».


 


Aaah !! Merci employeur ! Merci ! À genoux je te baiserais bien les pieds pour ta bonté, mais l’amertume m’en empêche encore. Ou serait-ce le peu de fierté qu’il me reste ?


 


Et maintenant ?


 


Me voilà donc à 23 ans, bac + 5 dans un secteur plutôt porteur, CDI en poche payé au SMIC. Il y a bien plus triste comme parcours de vie.


 


Pourtant, j’ai toujours un goût amer dans la bouche, parce que ce CDI, je n’ai pas eu le choix de le signer ou de le refuser. La conjoncture étant ce qu’elle est, difficile de dire non quand on vous propose un poste, qui plus est quand vous n’avez pas encore droit au chômage.


 


Mais ce qui me laisse le goût le plus amer, c’est le manque de reconnaissance… Comment se sentir valorisé quand on vous fait comprendre que n’importe quel passant dans la rue pourrait très bien prendre votre relève du jour au lendemain ? Après tout, si mes compétences ne valent pas plus que le salaire minimum, c’est que même ma mémé est capable de faire ce que je fais. Je me demande encore pourquoi j’ai fait cinq années d’étude pour ça


 


À se demander pourquoi je persiste dans une voie qui me dégoûte de plus en plus. Non pas que mes activités quotidiennes soient inintéressantes, mais j’en viens à me poser des questions sur mon avenir, sur mes choix professionnels et d’aller voir ailleurs, si l’herbe n’a pas meilleur goût.


 


Cet article a été rédigé par une So Busy Girl