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La So News du Jour : si j’existe c’est d’être fan ! BEAUTÉ

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Grâce à SBG, vous allez sans doute apprendre quelque chose concernant les pages Facebook (moi en tout cas, je découvre au moment où je rédige la news).


 


Saviez-vous que l’on pouvait acheter des « fans » pour gonfler ses chiffres ? Pour de vrai ! D’ailleurs la ville de Ris-Orangis, au cœur du buzz de la semaine ne s’y est pas trompée !


 


En effet, alors que la ville cherche à accueillir le projet du futur grand stade de la Fédération Française de Rugby, le nombre de fans sur la page Facebook du projet de la ville a soudainement triplé en une seule nuit. Passant  de 3 811 fans à près de 9 000 du 23 au 24 mai, tous les doutes sont permis. Doutes levés car la plupart des personnes qui se sont ajoutées au projet proviennent du Bangladesh (grande nation du Rubgy et forte communauté d’expatriés de Ris-Orangis donc) !


 


Thierry Mandon, le maire PS de Ris-Orangis déclare que le « site a tellement d’atouts qu’il n’y a pas besoin de faire des gamineries pareilles ». Stéphane Raffalli, chef du projet « regrette que les choses aient pris une telle ampleur. « Je trouve ce genre de pratiques très dérisoires et puériles. Le service de communication de l’agglomération Evry Centre Essonne, qui rassemble les administrateurs du groupe, va rétablir l’ordre des choses au plus vite ». Toutefois, la Fédération de Rugby a précisé que « la popularité Facebook n’entre pas en jeu […]. Le choix se fera à partir de données concrètes ».


 


Apparemment, on nous ment, on nous spolie, ce genre de pratique serait monnaie courante avec des sites tels que afency.fr, usocial.net, fanslave.com ou encore acheterdesfans.com  qui proposent ce type de services. Mais pour la blagounette du jour, sachez que d’après  fanslave.com « aucun utilisateur ne deviendra fan d’une page sans décider auparavant s’il tient vraiment à devenir fan de la page en se basant sur son contenu« .


 


Désormais, pour devenir fan de votre page Facebook, il va falloir mettre la main au porte-monnaie !


 




 
 






Richard Armitage ou l’art d’être sublimement british ! BEAUTÉ






 


Dans un précédent article, je vous citais les quelques films romantiques que j’aime vraiment (je ne reviendrai pas sur le fait que je suis pathétique, merci !) et j’évoquais un acteur anglais que j’adore : Richard Armitage. Comme promis, voici un éloge en bonne et due forme !


 


Je sais que, vous aussi, vous l’avez sûrement déjà repéré (en fait, une d’entre vous l’a avoué !). Bon, d’accord, il faut aimer les britanniques,  mais il est grand, brun, avec des yeux bleus et un sourire à se damner, sans parler de son allure à faire fondre la banquise. Bon, j’exagère un peu, mais si peu.


 


Je suis l’exemple type de celle qui craque littéralement (et ce depuis l’enfance. « C’est inné ! », comme dirait ma meilleure amie) sur les britanniques (anglais, écossais, gallois, irlandais, je ne fais pas de sectarisme, j’aime toutes les régions !).


 


Alors, mes copines vous diront que je leur rabats les oreilles depuis 1993 avec Jude Law (le deuxième homme de ma vie, le premier étant, pour l’éternité, River Phoenix), que je craque « bizarrement » sur Ben Whishaw (que certaines de mes copines surnomment, à tort, « la crevette insipide » !), que je m’évanouis à la seule vue d’Ewan McGregor, que je soupire (depuis peu) sur James McAvoy, j’admire Jamie Bell et Eddie Redmayne, sans compter sur le fait que je me pose de sérieuses questions sur la béatitude que j’éprouve quand je vois arriver devant mes yeux le sexy Clive Owen. Bref, vous avez bien compris toute mon admiration pour les sujets de Sa Gracieuse Majesté…


 


Alors, il est vrai que d’autres me plaisent (vraiment) beaucoup (citons au hasard… Le Prince Harry –une autre obsession –, Damon Albarn, Graham Coxon, Rupert Penry-Jones, Max Brown, Andy Murray, Jenson Button, et consorts), mais il y en a un qui rassemble, à mon humble (mais néanmoins expert) avis, la quintessence de la beauté masculine britannique : Richard Armitage.


 


Remarqué par mes soins dans SparkHouse en 2002, j’ai dû lutter pour ne pas baver devant les yeux ébahis de mon chéri de l’époque. Alors, pour celles (et ceux, évidemment !) qui ont loupé le plus joli british de ces dix dernières années, voici un petit récapitulatif des films ou séries où vous pouvez combler vos lacunes (en cette période de chaleur, la température va assurément augmenter de quelques degrés, croyez-moi !)…


 


Je vous épargne les deux séries britanniques (Cold Feet et Ultimate Force) pas si mémorables que cela, mais où j’ai apprécié la vue (je suis toujours incapable de me souvenir des thèmes principaux… C’est dire mon intérêt pour ces séries !).


 


Nord et Sud : dès qu’il apparaît en haut des escaliers de l’usine (sa première scène), j’ai défailli (en essayant de cacher mon trouble à ma moitié… qui, depuis, se méfie un peu de mes « chéri, si on regardait ce film ? ») et j’ai eu de la peine à ne pas accélérer le visionnage pour ne me focaliser que sur lui (vous connaissez maintenant ma propension à fuir le romantisme). Alors, oui, il est hautain, un peu coincé cependant on lui sauterait bien dessus immédiatement (contrairement à cette débile d’héroïne !). Je ne suis toujours pas remise de la scène près du cottage vers la fin…. *soupirs*


Bon, après cela, je suis passée par tout et n’importe quoi (Golden Hour…) pour atterrir à une interprétation de Claude Monet Jeune (je hulule encore !), en 2006 dans « The Impressionists ».


 


2006, justement. Comment oublier ? Le début de (ma) fin (faim ?). Non seulement, je n’ai pas résisté aux nouvelles aventures de Robin des Bois (un type en collants affublés de bras cassés ? Eh bien, non, un joli garçon, irlandais, – Jonas Armstrong – avec des braves types sympas et assez jolis aussi…) ! Et là, que vois-je (alors que je me morfondais) ? Le méchant de l’histoire (outre le Shérif de Nottingham), le type jaloux, mesquin, fourbe et un brin taré… Sir Guy de Gisborne interprété par Richard – OhmyGod – Armitage. J’ai crié « Lâchez-tout ! Venez voir ! » à mes copines. Et je me suis vautrée devant les trois saisons. Je n’ai toujours pas compris ce que Marianne attendait pour l’épouser, lui, au lieu d’attendre son Robin (deux saisons, car, heureusement, elle dégage vite !).


 


A peine remise de cette vision sublime (mal rasé, cheveux un peu longs, tout en cuir et en œillades à faire frémir un régiment d’infanterie), j’ai passé la dernière année à zapper entre Robin des Bois et la meilleure série depuis X-Files (oui, je suis assez vieille pour avoir connu Fox Mulder, hors rediffusion !) « MI-5 » (Spooks pour la version anglaise. Série qu’il faut impérativement visionner en V.O !). Son apparition voyait le départ d’un autre acteur sublime (Rupert Penry-Jones) mais son rôle de Lucas North en fera chavirer plus d’une (ah les mauvais garçons !) jusqu’à l’épisode final de la saison 9 (visible le 2 juillet en France sur la chaîne cryptée) où je n’avais pas autant été émue depuis la chute de Sherlock (dans la série du même nom). Il est vrai qu’il passe la moitié des saisons soit torse nu, soit avec une fille dans les bras, soit à faire des choses pas catholiques et donc…. Hum… Que du bonheur !


 


Procurez-vous aussi la dernière série anglaise « Strike Back » (visible aussi sur le replay de la Chaîne Cryptée) où son rôle de SAS mal embouché et mitraillant à tout-va le met tellement à son avantage que l’on dirait une pub pour le vendre sur eBay (qui a crié « J’achète ! » ?)!


 


Quid du cinéma me direz-vous ? Eh bien, il est apparu dans un film romantico-nul « Mariage à l’anglaise – This Year’s Love », à jouer un pilote dans « Star Wars Episode I » (où campe Ewan McGregor !), un type bizarre dans « Captain America : The First Avenger » et sera à l’affiche de « Bilbo le Hobbit – Partie 1 » l’année prochaine (il est évident qu’affublé de fausses oreilles et de je-ne-sais-quoi d’autre, il ne sera pas à son avantage, mais l’habit ne fait pas le moine, n’est-ce pas ?).


 


Ah, oui, j’oubliais, il faut aussi que vous puissiez l’écouter parler avec cette voix d’un sexy à réveiller ma Grande Tante de sa sieste éternelle !


 


Et vous ? Quel british vous fait de l’effet (à part Jude Law, qui est hors compétition, puisque MON homme !) ?


 


Article rédigé par ItemLiz Girl.



 
 


Si vous avez aimé cet article, vous pouvez retrouver ItemLiz Girl directement sur son blog.





10 (bonnes) raisons d’être célibataire ! BEAUTÉ



 


Voilà une semaine maintenant qu’est passée la St Valentin, cette fête romantico-gélatineuse qui, contrairement à ce qui se dit, reboute beaucoup de monde, des gens casés ou célibataires – vous savez ces célibataires, ceux qu’on regarde avec pitié à l’approche de chaque 14 février…


 


La fête des couples passée depuis une semaine, nous pouvons maintenant arrêter l’hypocrisie, arrêter de dire que la St Valentin c’est cool, et enfin dire tout haut ce que beaucoup pensent tout bas, à savoir qu’être en mode solo c’est quand même bien !


 


Voilà donc 10 bonnes raisons d’être célibataire par ordre décroissant d’importance à mon sens (moi qui suis en couple et qui parfois me dis que j’aimerais bien ne pas l’être… c’est bien connu, on veut toujours ce qu’on n’a pas) :


 


Number 10 : Ne pas être jalouse


 


Définition : La jalousie, c’est ce sentiment d’insécurité ou de peur concernant une perte possible (selon Wiki).


 


Exemple : On a donc peur de perdre l’être aimé. Peu importe la raison, justifiée ou non, on se ronge les sangs à se demander pourquoi il ne répond pas au téléphone, pourquoi il est rentré 10 minutes plus tard que la veille, etc…


 


Moralité : Quand on est seule, on n’a pas à s’en faire pour ça : pas de jalousie, pas de prise de tête (justifiée ou non)


 


Number 9 : Pas besoin de partager


 


Définition : Le partage, pour moi, c’est lorsque qu’on a quelque chose et qu’on en fait profiter autrui.


 


Exemple : Pas besoin de partager son pop-corn micro-ondable quand on regarde un film sur le canapé, ou le dernier Granola. Là, on est tranquille, on peut tout bouffer ! AHAHAHAH


 


Moralité : Quand on est seule tout est à soi, et on n’a plus faim (accessoirement, on prend un peu de poids…)


 


Number 8 : Ne pas avoir froid la nuit


 


Définition : On se réveille en pleine nuit parce qu’on se pèle le cul


 


Exemple : On a beau dire qu’un(e) chéri(e) ça permet de se réchauffer l’hiver, ben moi je dis NON ! Un grand NON même, parce que bon, l’autre il prend toute la couette quoi, et puis comme on est en couple, on doit soi disant pas dormir avec le combo jogging/chaussettes, alors on a vite froid aux fesses


 


Moralité : Quand on est seule, on évite d’attraper la crève en pleine nuit et on dort comme un bébé dans sa couette douillette J


 



Number 7 : Ne pas se ruiner le squelette


 


Définition : Certaines circonstances font que nous pouvons souffrir, avoir mal à certaines parties de notre corps


 


Exemple : On se fait toute pimpante pour aller à un rendez-vous galant, on enfile pour l’occasion ses plus hauts talons, pour paraître plus grande et plus élancée, quitte à se défoncer le dos, la plante des pieds, ou se tordre la cheville en marchant sur des pavés !


 


Moralité : Quand on est seule, on épargne à son petit corps des tas de souffrances


 


Number 6 : Nous épargner d’autres souffrances


 


Définition : Il faut faire des tas d’efforts lorsque l’on est en couple


 


Exemple : L’une des choses essentielles pour une nana en couple, c’est d’être toujours épilée. Oui, le rasoir c’est bien pratique mais tout le monde sait que c’est plus qu’éphémère ! Alors on va chez l’esthéticienne ou on utilise des bandes de cire, et on va le dire, oui, on va le dire, ça ne se passe pas comme dans les pubs, on ne se marre pas en le faisant, on ne danse pas non plus et ce n’est pas de la super musique funky qu’on a dans la tête mais plutôt des « putain de merde, ça déchire sa race ce truc à la con »


 


Moralité : Quand on est seule, on peut plus facilement rester en mode yéti, éviter de s’arracher la peau et accessoirement, économiser quelques pépettes !


 


Number 5 : Ne pas claquer son blé


 


Définition : Claquer son blé, pour moi, c’est dépenser de l’argent pour autrui


 


Exemple : Pas de cadeau de St Valentin à faire, ni de Noël, ni d’anniversaire, ni même le petit cadeau pour rien, juste parce que ça fait plaisir.


 


Moralité : Quand on est seule, on économise une petite somme rondelette, oui car généralement Monsieur, est intéressé par le high-tech … Pactole à dépenser dans un joli sac à main ou un petit voyage !


 


Number 4 : Profiter de ses copines


 


Définition : Faire tout et n’importe quoi entre meufs


 


Exemple : Avec les sous de son cadeau qu’on a économisé, on se paye donc le petit voyage dont on parlait avant, entre copines, un chouette week-end à Londres partagé entre shopping et fiesta banana


 


Moralité : Quant on est seule, on laisse plus de place à l’amitié, et ça c’est quand même bien. On peut dire ce qu’on veut, mais l’amitié est bien plus constante et fiable que l’amour !


 


Number 3 : Ne pas se prendre la tête à la maison


 


Définition : Se prendre la tête à la maison, c’est penser aux tâches ménagères


 


Exemple : Même si le partage des tâches entre dans les mœurs, et qu’on se dit qu’à deux ça en fait moins à faire pour soi, il n’en demeure pas moins qu’à deux, on salit plus. Plus de vaisselle, plus de linge sale, etc…


 


Moralité : Quand on est seule, on fait tout toute seule mais au moins on ne nettoie que ses propres cochonneries.


 


Number 2 : Ne pas culpabiliser


 


Définition : Se sentir coupable et donc mal d’avoir fait quelque chose


 


Exemple : On culpabilise souvent de parler à un autre mec, de flirter sans même que ça aille plus loin, parce qu’on se dit que le pauvre chéri à la maison est triste et n’attend qu’une chose, c’est que l’on rentre (mon cul, on n’est pas chez les Bisousnours).


 


Moralité : Quand on est seule, on peut continuer à se regarder dans un miroir en rentrant de soirée, parce qu’on a rien fait de mal !


 


And Number 1 : Ne pas se priver


 


Définition : on fait ce qu’on veut


 


Exemple : Quand on est en couple, on ne se permet pas (normalement) de tromper son conjoint, de partir du jour au lendemain en vacances, de parler à son ex (oui, c’est du vécu).


 


Moralité : FREEDOM, FREEDOOOOM, FREEEDDOOOOOOMMMMMM. Quand on est seule, on fait ce qu’on veut, comme on veut, quand on veut, EN MODE FREESTYLE !


 



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Allez, c’est pas mal d’être en couple, mais c’est quand même plus funky d’être seule ! Alors celles qui l’êtes, ne déprimez pas et profitez-en, c’est là que vous vous ferez vos meilleurs souvenirs !


 
 


Article rédigé par Mutxita Banana.


 


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Pourquoi je mérite tout autant d’être admirée qu’Adriana Karembeu ! BEAUTÉ




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L’autre jour, j’observais mon homme regarder Pékin Express, langue pendante, regard figé et souffle un peu court : Adriana Karembeu était le « passager mystère ».


 


Je me suis alors dit que s’arrêter à l’apparence, c’était vraiment un peu juste comme argument pour justifier cette attirance presque universelle !


 


Parce qu’Adriana, certes, est une des plus belles femmes du monde, elle a fait des études de médecine, elle a défilé sur tous les podiums pour les plus grands couturiers, elle a des mensurations à faire pâlir toutes les femmes, et tous les hommes, elle a monté son entreprise et est désormais propriétaire d’un sauna ou quelque chose dans ce genre…


 


Mais…


 


Elle n’a pas enduré les maux de dos, de bassin, les nausées, les fringales, les kilos, les consultations gynéco mensuelles, la fatigue.


 


Elle n’a pas supporté 8 ou 10h d’accouchement, l’épisio, les douleurs, les seins lourds, les tee-shirts trempés de lait maternel.


 


Elle n’a pas eu à faire de rééducation périnéale et à essayer de retrouver une vie intime à peu près satisfaisante et épanouissante.


 


Elle  n’a pas à se demander tous les matins comment mettre au mieux en valeur les petites rondeurs persistantes de ses grossesses pour continuer de plaire à son mari.


 


Elle ne répond pas à 390 sollicitations de sa fille de 4 ans par jour (c’est une étude et un chiffre très sérieux, je vous jure, ils l’ont dit dans l’émission Les Maternelles).


 


Elle ne court pas tous les jours pour aller à l’école à 16h30, en espérant ne pas avoir oublié ni le jus de fruit, ni le pain au chocolat, ni la compote ou la petite bouteille d’eau !


 


Elle ne sait pas ce qu’est de donner le biberon tout en coachant son aînée pour qu’elle mange à peu près correctement son repas.


 


Elle n’imagine même pas ce que peut-être l’état d’une salle de bain après une séance toilette de deux enfants en bas âge.


 


Elle n’a pas à mettre les mains dans le caca 3 à 4 fois par jour (avec 2 enfants, il y a les couches, mais il y a aussi les « maman, j’ai fini ! »)


 


Elle ne se réveille la nuit que pour attraper un avion, moi c’est pour retrouver un doudou perdu, consoler un bébé qui fait ses dents ou qui a fait un cauchemar, c’est pour donner un verre d’eau ou veiller une fièvre coriace !


Bon, OK, je ne défilerai jamais pour les plus grandes marques ! Mon podium à moi, c’est le salon, et j’vous jure, parfois, ma démarche pourrait ressembler à celle des mannequins sur les podiums tellement je dois me faufiler et poser me pieds entre les jouets !


 


Bon OK, je ne fais pas du 95 C ! Mais quand j’allaite, je fais bien plus ! Et puis mes seins, ils ont nourri 2 enfants.


 


Bon OK, je ne ferai jamais 1m80. D’ailleurs, je risque même avec le temps de rapetisser. Mais franchement, je suis étonnée que les hommes puissent aimer une femme bien plus grande qu’eux, ça vous inspire pas un complexe d’infériorité ?!


 


Bon OK, je ne monterai jamais une entreprise telle qu’un hammam. Je gère deux enfants, une maison, bientôt je reprendrai le boulot, et rien que de gérer tout ça à la fois, cela ressemble bien à une petite entreprise, non ?!


Alors ?! Est-ce que tout cela ne mériterait pas que mon homme me regarde langue pendante, regard figé et souffle un peu court, et le cœur plein d’admiration ?! Parce que je le vaux bien !


 


PS : Ne vous méprenez pas, j’adore sincèrement Adriana !


 


Article rédigé par Ma Vie A La Maison.


 


Si vous avez aimé cet article, vous pouvez retrouver Ma Vie A La Maison directement sur son blog.





L’art d’être heureuse BEAUTÉ



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Je suis en train de taffer en robe de chambre, posée sur le canapé, devant de vieilles rediff’ de Sex & the city.  Mes multiples carnets de notes chéris s’étalent autour de moi et je les noircis au gré de mes inspirations soudaines. Un croquis par-ci, quelques lignes par-là…


 


Je me sens incroyablement vivante. Epanouie. Je commence tout juste mon nouveau job d’illustratrice / auteure / blogueuse freelance ; pour le moment, je n’en tire aucun revenu… et pourtant ! Ce que j’aime ça ! J’ai beau retourner la question des dizaines de fois, je ne comprends pas pourquoi je n’ai pas continué sur cette voie plus tôt ! Comment j’ai pu, durant toutes ces années, me tenir aussi éloignée de ce que je suis vraiment ?


 


J’ai le sentiment de retrouver une vieille amie. Vous savez, cette nana perdue de vue avec le temps et avec qui pourtant on partageait pleins de bons moments. Cette nana, c’est moi.


 


Je me retrouve enfin. Cette nana qui, malgré des expériences enrichissantes et stimulantes, n’a jamais en 10 ans, réussi à trouver sa place dans le salariat ; n’a jamais réussi à rentrer dans les cases du 9h-18h si confortables de la vie d’entreprise. Tout ça est tellement éloigné de la vraie moi !


 


Comprenons-nous bien, je suis une très bonne employée ; mais je n’y trouve pas autant de joie qu’en étant à mon compte dans des domaines qui me passionnent.


 


LA JOIE. Je crois que c’est un bon indicateur, la joie. Le signe que l’on se trouve sur la bonne voie. Pas nécessairement sur la meilleure voie, ni sur une voie parfaite, mais sur une voie faite pour soi, celle qu’il nous faut, celle qui nous est utile à cet instant présent.


 


J’ai toujours trouvé curieux que les gens, notre société en générale, prennent en compte bien souvent la seule rentabilité pécunière d’une activité  pour la classer, ou non, parmi les professions sérieuses dignes de ce nom, parmi les hobbies créatifs, le bénévolat, loisirs en tout genre, ou bien même parmi les actions totalement stériles et implacablement étiquetées de « perte de temps » !


 


Ainsi, salaire = activité noble, qui mérite d’être exercée, productive et utile car génératrice de rentrée d’argent. Tout ce qui n’est pas rémunéré est d’office déclassé.


 


Et s’il existait une autre forme de rétribution ? Si la passion que l’on mettait dans une activité non rémunéré mais exercé avec cœur nous nourrissait au centuple ? Qu’est-ce qui au final impacte le plus dans nos vies ? Bien sûr, loin de moi l’idée de me nourrir d’air pur et d’eau fraîche, mais tout de même ! La seule réception d’un bulletin de paye ne devrait pas à lui seul définir ou non la raison d’être d’une activité. C’est une notion que j’intègre de plus en plus et de façon concrète dans mon quotidien.


 


OUI. La joie est un bon indicateur. Je suis même convaincue que c’est un signe de bonheur. Toute tâche peut être merveilleuse si elle est faite avec joie. Et contrairement à un salaire, qui peut être très variable, mérité ou non, suffisant ou non, la joie impacte directement l’Âme, elle ne déçoit jamais. Elle laisse, même après son passage, l’empreinte légère et tendre d’un moment heureux. De l’argent ou de la joie, seule la joie a la capacité de créer un souvenir.


 


Un salaire permet de survivre, de manger. La joie permet de vivre. Vivre en tant qu’être humain. Je ne pourrais pas vivre sans vibrer. Et c’est ce que me procurent mes nouvelles activités. Ou devrais-je dire, le retour à ce que je suis ! Car la reprise de ces activités, c’est la reprise de ma vie. Une réconciliation avec moi-même ! Non pas que nous étions en froid, mais c’est fou comme avec le temps et la course des évènements qui jalonnent une vie, on arrive à oublier qui on est, ce qui nous fait vibrer, ce vers quoi notre cœur se dirige spontanément.


 


La (re)découverte de cette immense partie de moi me remplit de joie, et grâce à ça, je sais que je suis sur le bon chemin. LE MIEN !


 
Source photo : www.jardinfleuri.centerblog.net
 


Article rédigé par Mademoiselle Jo.


 


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