Showing posts with label amis. Show all posts
Showing posts with label amis. Show all posts

Marmite sociale #1 : Comment se faire des amis ? Les amis d’amis, pardi ! BEAUTÉ

  • 0






Source : Getty Images


 


Ami lecteur, souviens-toi. Dans mes précédents articles, j’étalais salement ma vie de globe trotteuse à la face du monde en tartinant discrètement le tout d’un encouragement subtil pour les âmes voyageuses en quête d’aventure. Du moins, j’ose espérer que ça peut donner le déclic à certains pour d’éventuels projets de voyages prolongés.


 


Mais, ma foi, ami lecteur, je ne vais pas te tromper, vivre à quelques milliers de kilomètres de chez soi n’est pas toujours chose facile. En effet, outre le fait qu’il est possible de faire de nombreuses syncopes par manque de vin et de fromage (ou simplement, quand il y en a, en constatant le prix exorbitant de ces denrées aussi rares qu’exquises), le voyageur doit également faire face à des difficultés inhérentes à notre nature humaine terriblement grégaire.


 


Ainsi, m’expatriant aujourd’hui dans une contrée lointaine, froide et hostile, j’aurais probablement dû te préciser que c’est une entreprise que je mène seule. Sans amis, sans famille, sans le support de vagues connaissances installées sur place. En d’autres termes, débrouille toi ma fille et crée-toi une vie sociale de zéro.


 


Marmite sociale


 


Qu’est-ce donc que cela ? The Scientist (moi-même mais j’aime parler de moi à la troisième personne) définit ce terme comme étant le bouillon macéré, mijotant depuis quelques semaine/mois/années, des relations sociales, qui embaume notre vie et dans lequel on se plaît à goûter de temps à autre, y tremper le gros orteil… quand il ne s’agit pas d’y prendre carrément un bain.


 


On peut y ajouter des ingrédients qui parfument la marmite de saveurs délicates et subtiles, délicieuses, voire succulentes… ou, au contraire, y mettre des ingrédients infects qui la pourrissent pour quelques temps. Le fait est donc qu’on y ajoute ce que l’on veut, mais que s’il s’agit d’en retirer ce qui ne nous plaît pas, ça peut laisser tout de même un goût amère.


 


Cessons-là cette métaphore filée, je crois que tout le monde aura saisi l’idée.


 


Partant donc de cette marmite vide, tandis que d’autres mijotent à feu doux en attendant mon retour, je me suis retrouvée seule sans sorties à me mettre sous la dent, sans ingrédients avec qui partager de bonnes blagues, sans rien d’autre qu’une marmite qui sonne creux et dont les échos terrifiants font prendre conscience de pas mal de choses.


 


Petites réflexions


 


1. Se faire des copains, c’est drôlement plus facile quand on est encore étudiant.


2. Bien qu’à mon sens, les collègues ne soient pas des amis (tout comme le faisait remarquer Reine des Licornes dans un article récent pour SBG), le travail apporte, en terme d’interaction sociale, le minimum syndical qui pourra empêcher beaucoup d’entre nous de parler aux plantes vertes.


3. Pour vivre totalement seul, mieux vaut s’entendre très bien avec soi-même.


 


Cas numéro trois


 


Oui, personnellement, je ne suis plus étudiante et j’ai débarqué ici sans travail, donc je vais parler du cas que j’ai connu récemment (et puis je pars du principe que tout le monde connait déjà plus ou moins les point 1et 2).
 
Donc voilà, parlons de cette solitude un peu particulière. Eh bien, par chance, je n’en ai gère souffert. Mon égo est tellement surdimensionné que mon esprit génial en fait un être (magnifique, drôle et ô combien brillant) à part entière avec qui, évidemment, je m’entends très bien. Mais, je dois t’avouer, ami lecteur que cela ne dure qu’un temps. Un temps agréable et qui ne m’a pas paru trop long pour ma part. Mais un temps au bout duquel l’envie de trinquer pour de fallacieux prétextes se fait sentir, au bout duquel on a envie de rigoler d’autre chose que les vidéos des petits chats de Youtube, au bout duquel on a soif de nouvelles rencontres et de bonnes surprises comme seule une vie sociale digne de ce nom peut en apporter.


 


Les amis d’amis


 


Partant du principe que les amis d’amis sont à l’image de mes amis et que mes amis sont à mon image, il y a de grandes probabilités pour trouver des intérêts communs voire certaines affinités avec les amis d’amis.


 


Cette phrase n’est pas claire, mais qu’importe.


 


Mes amis, ceux qui mijotent à feu doux dans diverses contrées, ont donc rédigé pour moi la liste de courses des denrées qu’ils me suggèrent d’ajouter à ma marmite vide.


 


« Tiens, Untel est l’un de mes meilleurs potes/mon frère/mon ancien colloc/… ! Je le préviens que tu es là par e-mail, tu verras, il est sympa ! ».


 


Pif, paf, pouf, en moins de temps qu’il n’en faut pour l’écrire, par l’intermédiaire de plusieurs amis, j’avais donc rapidement plusieurs personnes à rencontrer. J’ai rapidement sympathisé avec certaines qui m’ont-elles-même introduites dans leur marmite sociale faisant de moi un ingrédient parmi les autres, côtoyant donc les amis d’amis d’amis qui eux-mêmes m’ajouteront peut-être dans leur marmite sociale où je côtoierai probablement de nouveau ingrédients … etc, etc, etc, …


 


Inscrire sa marmite au guide Michelin


 


L’art de se créer une vie social est délicat, pas tant par les moyens mis à dispositions (dans un prochain épisode, je tâcherai de développer une autre tactique facile pour se faire des potes) car tous les moyens sont bons, mais pour la façon de gérer les choses à long terme et le degré de qualité que l’on souhaite obtenir de notre marmite.


 


En effet, s’il est toujours aisé de la remplir rapidement avec bien des choses prises au hasard, rien ne peut lui garantir une saveur digne de ce nom.


 


Pour cela, il faut choisir ses ingrédients avec soin, y goûter régulièrement accompagné d’une bonne bière locale dont les bocks s’entrechoquent bruyamment (ou autres spiritueux locaux à plus de 4%), et laisser du temps pour que tout cela mijote doucement, rendant le bouillon meilleur, rendant l’appétit peu à peu insatiable, générant la boulimie exquise, et créant le manque cruel, la faim, la famine quand on ne peut y goûter pendant trop longtemps.


 


Article rédigé par The Scientist.



 
 


Si vous avez aimé cet article, vous pouvez retrouver The Scientist directement sur son blog.





Un poster avec les photos de profils de tous ses amis Facebook, c’est pas la classe ?! (CONCOURS INSIDE) BEAUTÉ






 


Comme 99,99% des blogueuses, et même comme 99% des personnes normalement avides de réseaux sociaux et de révolution digitale (soit à peu près tout le monde se trouvant dans la tranche 15-45 ans), vous avez un profil Facebook. Et grâce à ce profil, vous gardez facilement le contact avec tous vos amis.


 


Car ce qui est pratique, avec Facebook, c’est que l’on peut consulter les photos de ces fameux amis d’un peu partout, et on a ainsi l’impression de les avoir avec nous à tout moment de la journée. Le seul souci dans l’histoire, c’est que si l’on veut se créer un petit album rassemblant des photos de tous nos amis, cela prend un temps fou.


 


J’ai voulu m’y coller récemment, et croyez-moi, ce n’est pas une partie de plaisir : sélectionner une à une les photos en parcourant les nombreuses galeries mises en ligne, c’est très chronophage, pour un résultat peu probant au final si l’on n’est très doué de ses mains. Et pour tout vous avouer, le pire, c’est que je n’ai jamais réussi à obtenir une présentation potable des photos, l’imprimante m’a lâchée, la qualité d’impression était pitoyable, et au final, mon « album » était tellement laid que je l’ai mis directement à la poubelle – après avoir tué un arbre et perdu trois heures de temps pour rien.


 


Si seulement j’étais tombée plus tôt sur ce site, j’aurais su qu’il était possible d’imprimer automatiquement un poster grand format avec toutes les photos de mes amis Facebook en deux clics. Alors, à toutes celles et ceux qui veulent se lancer dans l’aventure, ne faites pas comme moi et gagnez du temps !


 


Vous avez juste à vous rendre sur le site www.maphoto-facebook.com et à personnaliser votre poster en répondant aux trois questions posées (vous pouvez choisir l’emplacement des photos souhaité, les bordures du poster que vous voulez et même la couleur de fond du poster). Vous pouvez ensuite immédiatement générer votre poster et l’imprimer pour le recevoir par La Poste.


 


Le poster fonctionne dès 54 amis, et les photos apparaîtront sous forme de mozaïque d’images sur un papier de qualité photo grand format (60 x 90 cm, ça fait déjà du beau poster !). Et pour tout ça, il vous en coûtera la somme de 20€ – soit vraiment pas grand-chose quand on réfléchit à la situation que je vous ai décrite tout à l’heure, à savoir un gain de temps de plusieurs heures, un résultat professionnel et un arbre que vous ne tuerez pas pour rien :)


 


Si vous avez envie d’essayer, donc, c’est par ici. Et le responsable du site a gentiment accepté de faire gagner à l’un ou l’une d’entre vous un de ces magnifiques posters . Le concours aura donc lieu du dimanche 17 juin (8h00) au dimanche 24 juin (minuit).


 



 


Pour participer, rien de plus simple : il vous suffit de nous suivre sur notre page Facebook, puis de déposer un commentaire à la suite de cet article.


 



 


 Votre participation ne sera validée que si ce pré-requis est respecté. Et enfin, pour avoir encore plus de chances de gagner, vous pouvez :


- Vous abonner à notre page Hellocoton


- Nous suivre sur Twitter


Relayer le concours en mettant un lien vers cet article sur Hellocoton (+1 chance), Facebook (+1 chance), Twitter (+1 chance)


Faire un article sur votre blog pour présenter le concours et mettre un lien vers cet article (+2 chance)


 


Pour que vos « chances » supplémentaires soient validées, merci de nous indiquer tous les liens nécessaires à la vérification, et de tout préciser dans le même commentaire.


 


Bonne chance à tous et à toutes !


 


N.B. : si vous ne souhaitez plus entendre parler de Facebook ou que vous cherchez comment supprimer votre profil, voici un site très utile sur le sujet : http://www.supprimer-compte-facebook.com/





On peut rester amis ? BEAUTÉ




 


Quand tu es célibataire, tu cherches en général à quitter ce célibat. Parfois, par miracle, tu rencontres quelqu’un avec qui tu te vois bien. C’est suffisamment rare pour que tu te dises qu’il ne faut pas laisser passer ta chance, et que tu dois tenter quelque chose. Et même, si soit disant c’est à l’homme de faire le premier pas, il y a des fois où il vaut mieux ne pas attendre et prendre les choses en mains, du moins si tu veux vraiment savoir si ce jeune homme pense la même chose que toi.


 


Malheureusement parfois, le jeune homme il n’est pas vraiment sur la même longueur d’onde, et il ne s’est pas du tout imaginé en couple avec toi. Il finit donc par te mettre un râteau, une veste, un vent, enfin bref appelle le comme tu veux mais c’est un truc que tu sens bien passer !


 


Qu’il soit gros ou petit ce n’est pas franchement ce qu’il y a de plus agréable, ça fait drôlement mal à ton petit cœur, et surtout à ton ego !


 


« Mais pourquoi il n’a pas voulu de moi ? Je suis moche ? Conne ? Pas sexy ? Pas drôle ? Qu’est-ce que j’ai ??? On est fait pour vivre ensemble ! Je le sais ! Je le sens ! » Oui quand tu es désespérée, tu perds un peu toute notion du ridicule ;)


 


Après cette petite crise où tu auras appelé toutes tes copines, tu te dis que non, il n’a pas du bien comprendre, enfin il ne le sait pas encore, mais ça finira par coller entre vous.


 


Et c’est bien ça le plus difficile quand tu te prends un râteau : comprendre que NON c’est NON. Que si l’autre ne veut pas de toi aujourd’hui, il y a peu de chance qu’il change d’avis la semaine prochaine. Donc il faut que tu arrêtes de t’accrocher ! A part faire pitié, ça ne t’apportera pas grand chose…


 


« Oui mais quand même, peut-être que si je… » « NON ! » 


 


Bon sur ce je vous laisse, j’ai du jardinage à faire :)


 


Article rédigé par Steph 189



 
 


Si vous avez aimé cet article, vous pouvez retrouver Steph 189 directement sur son blog.





Mes nouveaux amis #1 BEAUTÉ



Je ne vais pas te mentir, j’ai cru mourir à New-York lorsque j’ai vu les rayons de vernis à ongles. Comme lorsque j’étais à Londres et que je faisais le tour de tous les magasins Boots et Superdrug, là-bas je rentrais dans presque tous les Walgreen et Duane Reade, des genres de Monoprix où tu pouvais aussi bien trouver des soins, de la bouffe que du maquillage et des vernis. Comme on te l’a dit les américaines ont pour la plupart les ongles faits, plus ou moins bien, plus ou moins écaillés, plus ou moins vrais. J’ai halluciné lorsque j’ai vu en plus des marques de vernis que je connaissais ou pas un rayon entier avec des tas d’accessoires et autres soins dédiés aux ongles. Capsules, patches (pas terribles, je voulais m’en rapporter mais mon degré de cagole a ses limites), déco pour nail art, vernis stylos pour nail art, brillants et autres bricoles à se coller sur les ongles, bref toute la panoplie pour se concocter des ongles en bonne et due forme.


Comme je suis encore dans ma période rouge/rose/corail je n’ai finalement pas succombé à grand chose, je me trouve raisonnable avec le recul, bien que certains vernis étaient vraiment à des prix dérisoires.


 



 


 


 


Dans l’ordre d’apparition Times Square Tangerine (NYC), Big Apple Red (OPI), Fith Avenue (Essie), Times Square (NYC), Dry Kwik (Sally Hansen). C’est bien simple je les aime d’amour et j’étais trop contente de retrouver les vernis NYC que j’avais découvert à Londres, que j’adore et qui sont à un prix dérisoire (2,49 $). Dans le lot un vrai rouge comme je les aime (Big Apple Red), un rouge légèrement orangé qui est juste une tuerie (Fifht Avenue), un rouge légèrement rosé (Times Square) et un corail orangé (Times Square Tangerine) qui n’a pas l’air hyper couvrant mais je rajouterais une couche supplémentaire s’il faut. Et puis forcément avec des noms pareils je ne pouvais pas passer à côté ! Ma quête s’est aussi portée sur le rose flashy que j’avais choisi lors de notre manucure (Pink Parka) mais impossible de mettre la main dessus, peut être était-ce un vernis d’une ancienne collection ?!?
Tu te demandes ce que c’est ce flacon transparent là ?! Il s’agit d’un produit pour faire sécher le vernis plus vite, pile le produit qu’il me fallait moi qui suis une impatiente du séchage, qui ne sait pas tenir en place et qui a toujours un truc à faire alors même que je viens d’appliquer mon vernis ! J’aurais l’occasion de t’en reparler très vite mais je tiens à te dire que ce produit est en passe de changer ma vie de vernis addict à tout jamais et je n’éxagère pas ! Et en plus il a une double fonction, oui, oui ! (teasing de la mort !) Si j’avais su j’en aurais rapporté des quantités industrielles d’autant qu’il doit coûter environ 5 $…


Trêve de bavardages, je reviens vite te parler de mes autres achats beauté, te montrer ces vernis en action, te parler de ce soin magique sans oublier qu’avant que je parte j’avais testé les nails patches Séphora vichy et qu’il faut que je te raconte et que je te montre cette expérience !


 


Miss tête en l’air




Rendez-vous sur Hellocoton !