Son parfum #1 : le baiser du matin BEAUTÉ

 

Chaque matin, bien avant que le jour ne se lève, il la sentait quitter le lit. Et chaque matin, il aurait souhaité la retenir, plus longtemps contre lui. La couette chaude et le confort du matelas avaient toujours raison de sa volonté et il la laissait donc, chaque matin, s’échapper de sa cage de douceur, sans que, lui, ne parvienne à s’en extraire. Dans son sommeil, il percevait le son lointain d’une douche qui lui semblait toujours interminable. Et dès l’instant qu’elle cessait, il se rendormait profondément.

 

Il était très tôt, quand elle partait travailler, et bien que chaque matin elle prenait mille précautions pour ne pas le réveiller, elle ne pouvait résister à la tentation de l’embrasser pour lui dire au revoir.

 

Chaque matin, à la même heure, un ange qui sentait la fraîcheur des agrumes et douceur de la vanille, posait ses lèvres douces sur ses lèvres endormies. Il s’éveillait dans un sourire tendre, dont la chaleur rayonnerait en lui jusqu’au soir, où il pouvait enfin la retrouver. Voilà ce qu’il se passait chaque matin.

 

Le temps passait, matin après matin, le même rituel, l’ange déposait un baiser d’agrumes et de vanille sur ses lèvres endormies. Lui, gardait en mémoire ce parfum comme un doux rêve quotidien.
 
Et puis avec le temps, l’amour s’est éloigné doucement. Tellement doucement qu’ayant imprégné le quotidien dans une danse d’habitudes orchestrée à la perfection, personne ne s’aperçut d’abord de son absence.
 
Jusqu’à ce matin-là. Exécutant sa chorégraphie soliste à la perfection, car elle la répétait, identique et immuable, depuis des années, elle se réveilla tôt et quitta le lit. Il la sentit partir mais il se réjouissait de l’espace qu’elle lui laissait pour terminer sa nuit. Il percevait, dans son sommeil, l’écho lointain de la douche qui lui semblait toujours aussi interminable. Et dès l’instant qu’il cessa, il se rendormit.
 
Il était très tôt, quand elle partait travailler, et bien que chaque matin elle prenait mille précautions pour ne pas le réveiller, elle ne pouvait résister à la tentation de l’embrasser pour lui dire au revoir, comme elle l’avait toujours fait.
 
Ce matin, très tôt, il perçut une femme qui sentait le parfum acre des agrumes et la vanille écœurante, imposer ses lèvres sèches sur ses lèvres endormies. Il s’éveilla, ce matin-là, dans une prise de conscience nauséeuse, dont la violence lui glaça le sang jusqu’au soir. Il pourrait alors avoir une conversation avec elle et cesser cette mascarade dont il ne connaissait que trop bien la chorégraphie absurde. Tout cela avait trop duré. Voilà ce qu’il se passa ce matin-là.

 

Article rédigé par The Scientist.

 
 

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Son parfum #3 : leur peau BEAUTÉ

 

Ce dont il se souvient de leur relation, ce qui lui manque le plus aujourd’hui, c’est son odeur. Ou plutôt leurs odeurs mêlées. C’est le souvenir le plus exaltant qu’il lui reste d’eux, de ce qu’ils étaient. Leur union formait une harmonie des sens, des courbes délicates et précises, des mouvements fluides, une douceur sans pareille, des sons rythmés aux variations parfaites dont le souvenir revenait encore à lui par vagues d’une douce nostalgie.

 

Il se souvient de sa retenue quand il déposait de tendres baisers dans son cou, elle frissonnait timidement. Il se souvient de sa peau sucrée qui avait la douceur et le parfum d’un fruit inconnu qu’il dégustait avec passion. Et de ses soupirs tandis qu’il parcourait son corps en explorateur patient.

 

Il se souvient de l’effet de ces parfums sur lui lorsqu’il plongeait sa tête entre ses jambes ouvertes. De son corps dédié aux plaisirs émanait tout ce qu’il désirait en ce monde. Puis des fragrances de leurs corps unis. La frénésie qui l’animait quand elle s’offrait à lui, le souffle court, son haleine tiède caressant son cou. De sa peau salée, ses muscles contractés, ses vocalises divines. Cantatrice à ses heures d’extases, elle lui offrait ses plus beaux airs, parfaitement guidés, temporisés et dirigés par le chef d’orchestre brillant qu’il était. Il se souvient du parfum de leurs sueurs. Non pas celle de chacun, mais celle de leur union qui l’enivrait de passion et d’amour.

 

Chaque conquête est unique, chaque union est unique, chaque parfum est unique.

 

Lire ou relire l’épisode 1 et l’épisode 2.

 

Article rédigé par The Scientist.

 
 

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Son parfum #2 : l’inconnu sans visage BEAUTÉ

 

Paris, La Défense, un matin comme les autres, où la terre accouche par nuées des cadres et employés, dopés à la caféine, venant trouver par tranche de huit heures leur moyen de subsistance. Leur devoir s’accomplira comme chaque jour dans cette termitière d’acier, de béton et de verre.

 

Bardant le ciel perceptible entre ces œillères bâties, les nuages s’amoncellent. Soudain, il pleut.

 

Abritée sous son journal, elle accélère le pas, prise dans le flux qui s’est brutalement pressé. Ses talons claquent parmi des dizaines d’autres talons, et forment avec l’eau sous les pas, une harmonie dissonante. Un flux contraire, souhaitant probablement trouver un abri, croise le premier avec violence et confusion. Elle esquive les parapluies, ces armes parisiennes de première catégorie, avec l’agilité et l’élégance d’une biche galopant en forêt. Les baleines meurtrières ne sauront la décoiffer de si bon matin. Concentrée sur ses parades d’escrimeur, au sein de ce ballet désordonné qui ralentit sa progression et dont elle cherche à s’extraire, elle oublie les gens ne voyant en eux que des obstacles à éviter avec grâce. La foule est plus pressante, les épaules se frôlent. Et soudainement, tout se fige.

 

Le temps s’arrête.

 

Parmi ces obstacles, elle vient de percevoir un homme, le visage invisible sous l’ombre de son parapluie noir, mais dont l’habit de fragrance laisse courir derrière lui le sillage familier d’un souvenir lointain. Comme un électrochoc, elle se souvient de ce coffret qu’elle lui avait offert il y a de nombreuses années. Ce parfum de bonheur, d’une idylle inoubliable, qui avait pu tenir dans ce petit flacon. Elle l’aimait tant, lui et ce qu’il portait sur son torse nu. Elle se souvient que, parfois, elle déposait à son cou quelques gouttes de ce précieux liquide, afin d’emporter, avec elle, un peu de lui. Ce parfum, c’était lui. Ca n’était pas cet inconnu sans visage, ni qui que ce soit d’autre dans cette ville peuplée d’anonymes. C’était Lui. Ce sera toujours Lui.

 

Voir l’épisode Son parfum #1 : le baiser du matin

 

Article rédigé par The Scientist.

 
 

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Une femme, des parfums. Quel parfum pour l’hiver ? BEAUTÉ

 

Sur son blog hébergé par le site de l’Express « Mon aparté beauté »,  Elodie Bousquet  parle souvent de parfums. Dans le post intitulé « Fragance Fixette », elle s’y décrit  comme « une sorte de perfume alcoholic », possédant « - au bas mot – une dizaine de flacons en permanence sur l’étagère de la salle de bain, lesquels subissent plusieurs aller-retour par an dans [s]a « boîte à parfums » pour être échangés avec d’autres. » J’avoue que, moi aussi, je suis depuis quelques (et même plus que ça) années déjà une « Madame Parfums » – c’est le petit nom donné à la blogueuse par sa mère ! L’idée même d’avoir le parfum de ma vie, le seul, l’unique, m’a toujours paru absurde.

 

Il y a des parfums d’hiver et des parfums d’été.

Ceux qu’on met quand on est déprimée, ceux qu’on met pour aller travailler.

Ceux qu’on met pour séduire, ceux qu’on met pour aller à un dîner en famille.

Bref, une femme, des parfums !

 

Comme tout le monde, j’ai commencé par en acheter en parfumerie, tout d’abord pour en offrir (à ma mère, ma grand-mère), puis pour en acheter pour moi. Jeune, j’aimais les parfums forts, les « orientaux » (j’ai vu la naissance du parfum Opium) et les vendeuses voulaient toujours me faire acheter des parfums légers « pour jeunes filles », comme l’Air du temps ou Anaïs Anaïs que je repoussais avec indignation ! Et je n’achetais que des eaux de parfum ou mieux encore des extraits qui tiennent mieux et sont plus sophistiqués.

 

Mais les parfums sont chers et il est parfois difficile de se décider à en acheter un dont on se lasse après quelques pschitts. Il y a quelques années, les nouveautés parfumées se sont multipliées, les marques sortant beaucoup plus de parfums qu’avant ou des variantes sur les parfums traditionnels (comme Opium, Shalimar, Coco, etc) et, pour la première fois, j’ai trouvé des parfums soldés dans les grands magasins. Finalement, les sites de ventes privées ont  accéléré cette addiction aux sillage en tout genre. Comme je connais mes goûts, j’achète des parfums en fonction de leur composition et le plus souvent des parfums en voie de disparition ou introuvables en magasins. C’est un petit risque à prendre mais j’ai rarement été déçue.

 

 

Quand les températures tombent, j’ai une préférence pour les orientaux ou les chyprés que je sens jusqu’à la fin du jour et même une bonne partie de la nuit ! M’accompagnent par exemple Pour une femme de Caron, créé en 2001, chypré floral (fleur d’oranger, rose et musc) ou Love in Paris de Nina Ricci, floral persistant ou bien encore Rykiel Woman, classé comme floral boisé (violette, jasmin, poivre, cuir) et dont l’approche est effectivement légère mais dont la tenue au fil des heures s’avère plus épicée, plus soutenue. En revanche, j’ai délaissé Shalimar, l’oriental par excellence (jasmin, iris, vanille, fève tonka), pourtant longtemps porté.

 

 

La boîte et le flacon du parfum de Caron  sont peut-être un peu un peu vieillots, le parfum ne l’est pas et d’ailleurs, la publicité de l’époque, plutôt sexy, nous raconte qu’avec ce parfum, non seulement on plaît aux (beaux) hommes (musclés) mais ils sont tout prêts à partager leur odeur avec nous ! J’aime aussi le flacon du Rykiel avec son bouchon à grosses pastilles dorées, très festif. Celui de Love in Paris m’évoque, je ne sais pas pourquoi, un aéroport des années 1970 ou un bateau de course, bref, plutôt un parfum pour homme que pour femme. Il est pourtant très féminin à porter.

 

Elodie de « Mon aparté beauté », elle, a en ce moment un gros faible pour « Nuit étoilée » d’Annick Goutal (les parfums d’Annick Goutal ne me parlent pas trop même si les flacons sont toujours beaux et les noms oniriques).

 

Et vous, quels parfums accompagnent votre hiver ?

Très bonne année 2013 en volutes et effluves !

 

Publicité pour Caron http://www.basenotes.net/

Publicité pour Rikiel http://www.thenonblonde.com/2009/12/

Publicité pour Love in Paris : http://www.amazon.co.uk/

 

Article rédigé par Colette du Net.

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Le bonbon parfum, une nouvelle façon de sentir bon ? BEAUTÉ

 

Oui oui, vous avez bien lu, les sociétés Beneo, spécialiste en nutrition, et Alpi, confectionneur, sont en train de lancer le bonbon parfum dans la plupart des pays d’Europe.

 

L’idée de ce bonbon parfum vient du Japon, où des experts ont montré que du parfum pouvait être relâché et exsudé par la peau suite à la consommation de géraniol. C’est plus ou moins le même principe qu’on retrouve lorsqu’on ingère de l’ail, qui ne peut être digéré et dont l’odeur finit par être excrétée par la peau. Manger de l’ail car il contient de nombreuses vertus antioxydantes, antiseptiques et luttant contre le cholestérol, ça paraît très vendeur. Mais l’haleine qu’on se paye ensuite pendant plusieurs heures l’est beaucoup moins…

 

Du coup, ce bonbon parfum pourrait par exemple être une bonne solution, car grâce au géraniol et à l’huile de rose qu’il contient, ces composants peuvent être ensuite exsudés à travers la peau et libérer ainsi une douce odeur de rose. Un moyen original de sentir bon tout au long de la journée !

 

Ce bonbon parfum qui répond au doux nom de DEO Candy Perfume est déjà disponible aux Etats-Unis, en Chine, en Corée, en Arménie et en Bulgarie mais aussi sur Amazon et devrait être bientôt disponible dans la plupart des pays d’Europe au prix de 3€ le paquet de 12 bonbons. Et il existe même en version sans sucre  Pour une personne de 65 kg, il suffirait de 2 bonbons pour sentir bon la rose pendant 6 heures.

 

Vous en pensez quoi, ça vous paraît tentant, un tel concept ? Pour venir à bout des odeurs désagréables de transpiration ou d’ail, ce bonbon peut vraiment sauver la mise ! Mais rassurez-vous : ce bonbon parfum n’est pas prêt de remplacer notre Chanel N°5 (parce que sous forme de bonbon parfum, tout de suite, ça ferait beaucoup moins classe ! Non ?)…

 

Article rédigé par So busy.

 
 

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Diorissimo, le parfum du muguet BEAUTÉ

Diorissimo est le premier parfum que j’ai acheté, pas pour moi, pour ma grand-mère. Cette odeur délicate et puissante du muguet était la plus originale que j’aie sentie à l’époque et dont je n’ai jamais trouvé l’équivalent depuis. Du flacon d’eau de toilette un peu ordinaire et lourd, presque masculin dans sa forme (je parle des années 1970 !) s’échappaient de ces clochettes qu’on n’offre qu’une fois par an le premier mai.

 

 

Créé par Edmond Roudnitska en 1955 pour Christian Dior dont c’était la fleur fétiche, c’est le quatrième parfum de la maison, présenté alors dans un flacon surmonté de fleurs ciselées en métal doré. Les premières affiches de publicité sont dessinées par René Gruau (1909-2004) qui a réalisé de nombreuses campagnes pour les parfums Dior.

 

 

En réalité, le muguet ne se laisse pas extraire sous sa forme naturelle et son parfum est construit à partir d’autres fleurs naturelles ou de synthèse (bergamote, rosemary, jasmin, amaryllis, ylang-ylang, boronia, sandalwood, civette…). Hélas, la version actuelle, diffusée par Dior, n’est pas celle d’origine. La réinterprétation des parfums par les marques est une vraie catastrophe pour les amateurs d’authenticité, comme l’écrit si bien Grain de Musc qui a eu la chance de rencontrer le fils de Roudnitska comme elle le raconte sur son blog !

 

 

La tradition de l’offrir le premier mai remonterait à Charles IX qui le distribua autour de lui comme porte-bonheur en 1561 avant qu’il ne devienne le brin offert pour la fête du Travail.

 

 

Mais rappelez-vous que le muguet est entièrement et violemment toxique, fleurs comme feuilles et même l’eau dans laquelle on plonge les brins. Retenez-vous de décorer un gâteau avec ses jolies clochettes sauf si vous voulez vous débarrasser du ou de la convive à qui vous offrirez une part en assurant que, bien sûr, tout se mange ! Et surveillez les petits enfants qui pourraient avoir envie de grignoter les fleurettes !

 

Affiches de Diorissimo : www.thenonblonde.com

Source photo du premier flacon : www.graindemusc.blogspot.fr

Source muguet et coccinelle : www.photos-animaux.com

 

Article rédigé par Colette du Net.

 
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Parfum moi ? jamais ….. BEAUTÉ

Ben voilà j’aurais mieux fait de fermer ma grande gueule un peu !!!!!

Je suis assez sensible aux odeurs, genre la fille ou le mec qui vident sa bouteille de parfum et que tu retrouves dans l’ascenceur ben moi le matin ça me donne la nausée tu vois !

Du coup je ne porte plus de parfum depuis des années voire des lustres !!!!

Sauf que ……

Ben chez Melle Gima (oui oui je me la raconte), y’avait Acorelle, tu connais toi ?

Moi je savais qu’il faisait de la cire chez Monop et qu’elle avait  bonne presse, c’est à peu près tout.

Et là qu’est ce que vois ? Du parfum ….

Tout de suite je me dis que non c’est pas mon truc en plus c’est bio donc non … mais comme je ne suis pas une si mauvaise fille que ça (tu ne rigoles pas stp !), j’ai quand même sentie quelques odeurs ….

Ah mais c’est pas mal en fait, c’est frais et léger ….. hummm pas mal je me suis dis.

J’ai un peu papoté avec les demoiselles bien sympathiques du stand puis je suis partie.

En rentrant chez moi, dans le « petit » bag qu’on avait eu je vois dans le lot un parfum.

Moué toujours aussi septique, je me dis, « je vais tester le soir, au pire si ça pue, y’a que juju qu’en profite » (oui je suis comme ça)

Et là pas du tout !!!!!!

J’ai reçu l’eau de parfum Orchidée Blanche , le parfum anti-stress, anti-anxiété (oh il me connaisse déjà chez Acorelle ou bien ????)

Dedans y’a ça :

- Huile essentielle d’orange : calmant et sédatif

- Huile essentielle de patchouli : anti-infectieuse et antiseptique

- Huile essentielle de santal : agit sur les émotions contre le stress, les insomnies

Et d’autres huiles essentielles.

Eux ils font de l’Aromatérapie : une méthode thérapeutique basée sur l’utilisation des  huiles essentielles pour vivifier, tonifier le corps et augmenter ses défenses naturelles. (non c’est pas le machin à boire le matin).

Bon je m’égare, c’était pour t’expliquer un peu.

En tout cas aromathérapie ou pas, moi j’aime beaucoup mon nouveau parfum, il est frais, floral et fruité à la fois et léger et ça c’est le plus important je sens pas la morue à 15 km à la ronde !

Voilà tu sais tout de mon nouveau parfum !

Et toi c’est quoi ton parfum fétiche ?

Bisous bisous

Madame beauté parfumée

Mon parfum, toute une histoire ! BEAUTÉ

Je t’ai déjà parlé de mon rapport au parfum et de cette marque que j’adore, Guerlain. Depuis un moment déjà je porte un parfum de cette marque, Chant d’arômes, que ma maman m’a fait découvrir et qui, je trouve, me correspond très bien. Il est frais, fleuri, subtil et surtout pas sucré.

 

 

J’adore ce joli flacon avec les abeilles dessus, j’avoue beaucoup aimer les flacons « anciens » de certains parfums Guerlain. Il y a quelques temps maintenant que mon flacon est terminé et je n’en ai pas racheté car le prix est assez élevé et que pour le moment ce n’est pas une priorité (malheureusement car pour moi le parfum est la touche finale beauté). En attendant je n’en porte pas d’autres, difficile que je suis et lors de mes périples à l’étranger j’ai bien entendu essayé de le trouver à moindre coût sur place ou en duty free mais il est tellement pas courant qu’il n’y était jamais.
Bref ce n’était pas tout à fait de ça dont je voulais te parler. Ce week-end entre deux dessins-animés et madeleines, je lisais Votre Beauté et voilà que je tombe sur une brève concernant Guerlain et les parfums.
Figure toi que la Maison Guerlain te propose de venir choisir ton parfum, il s’agit de l’Invitation du Parfumeur. C’est un rendez-vous privé et gratuit de 30 minutes qui permet d’être guidée dans la découverte d’un parfum qui correspond à sa personnalité. A l’aide d’une conseillère qui prend en compte les habitudes de chacun, les sensations et souvenirs liés au parfum et grâce à une sélection d’eaux et d’extraits de parfums, des accords olfactifs sont proposés afin de trouver le parfum qui nous correspond le mieux.
Je trouve ça génial ! J’aime d’amour mon parfum mais pourquoi n’en avoir qu’un ? Pourquoi ne pas changer en fonction des saisons ou simplement de ses envies ? J’aimerais vraiment pouvoir faire un rendez-vous de la sorte, et pourquoi pas d’ailleurs ?! Ca se passe dans les boutiques Guerlain Passy, Printemps et Le Bon Marché. Me reste plus qu’à aller à Paris et me prévoir ça (en plus du reste car j’ai tellement de copines à voir et à découvrir, de lieux où j’aimerais aller qu’il me faudrait une bonne grosse semaine pour tout faire !)

Alors si tu es parisienne et que ça t’intéresse n’hésite pas à prendre rendez-vous et en attendant le week-end du 15 et 16 octobre sont organisées les Journées Particulières autour, entre autre, des parfums mythiques de la marque à la Maison Guerlain des Champs-Elysées, plus d’infos ici et d’ailleurs ce week-end là bien d’autres événements sont organisées par LVMH dans diverses régions de France ainsi qu’en Europe que ce soit autour d’une grande marque de parfums, de prêt à porter mais également de vins.

 

Miss tête en l’air