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Comment je suis devenue auteur BEAUTÉ

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Je vais éviter l’habituel : « Je suis née auteur » (oui, auteur, pas auteurE… Il ne faudrait pas me chercher dans le camp de la féminisation des noms !).  Même si cela est un peu vrai…


 


Petit résumé familial (et attention, nous sommes des originaux !) : entourée de grands cousins et leurs petites copines, j’ai donc appris à lire, à écrire et à compter à trois ans. Je savais déjà mes tables de multiplication à cinq ans et j’écrivais couramment, sans problème majeur, à six ans. La littérature est une seconde nature chez nous avec un large et divers choix de livres à tous les étages et dans tous les meubles imaginables  (français, anglais, irlandais, russe, italien, hongrois). Des classiques, des nouveautés, des raretés et des tonnes de livres d’Histoire. Bref, tout ce qu’il faut pour occuper une petite fille lors des longues soirées d’hiver dans le Périgord (je rappelle qu’il fait très froid l’hiver dans ce joli bout de terre). J’avais donc pour occupation dès mon septième anniversaire d’écrire des petites histoires sur les animaux (coccinelles, escargots, entre autres) ou des petits poèmes (ma maîtresse de CM2 en avait gardés et me les a redonnés il y a quelques mois… Trop mignons !). Une des vieilles cousines de mon grand-père disait régulièrement : « Cette petite écrit ses mémoires ! ».


 


Bref, j’ai toujours su quoi faire lorsque j’avais dix minutes : écrire. Cela et prendre des photographies avec mon premier appareil photo.


 


A dix ans, je rédigeais des histoires courtes basées sur les films ou les dessins animés. Je les prolongeais en mettant ma patte et je trouvais cela absolument « génialissime » de les réinventer à l’infini.


 


Je suis évidemment passée par tous les stades : du génie à la nullité absolue, de l’envie à la fureur, de l’excitation d’une lecture à la peur bleue de décevoir. Puis, j’ai compris vers quatorze ans que je ne devais écrire que pour moi, pour m’extirper ces histoires de mon pauvre cerveau (qui a dit malade ?) sans penser à ceux qui les liraient. De toute façon, je ne les faisais lire qu’à mes grands-mères. Elles étaient de très bonnes critiques, et je n’avais pas d’appréhension devant elles.


 


A cette époque, j’ai décidé de créer mes propres histoires avec mes personnages, leurs émotions et leurs vies et j’ai découvert le fabuleux destin d’un auteur : se laisser porter par les personnages qui vous imposent petit à petit leurs visions et leurs envies. Oui, je vous assure, même si je peux être très disciplinée et/ou péremptoire dans mon écriture d’un roman (idée directrice, noms, prénoms, fonctions, bases familiales, contextes, habits, physionomies, etc.), j’ai été surprise de constater que ces derniers arrivaient à m’obliger de modifier mon déroulé.


 


Cela peut sembler étrange mais un personnage n’est pas une (réellement ?!) prolongation d’un auteur (rarement dans mon cas, sinon je serais schizophrène !) mais un être à part entière. Et, comme chaque individu, il fait des choix qui appliquent la théorie de « l’effet papillon »… sans tenir compte de mon avis (évidemment !).


 


Donc, j’ai continué à écrire des romans, des histoires courtes, des poèmes, des impressions. J’ai disserté sur des sujets d’Histoire (mon cursus universitaire) et j’ai approfondi mon appétence pour les mots et les créations.


 


Etant amoureuse de mon village d’enfance (et berceau d’une infime partie de ma famille), j’ai, à la demande de ma grand-mère maternelle, décidé de rédiger une monographie et j’ai entrepris de longs périples (p…… cinq ans) entre archives poussiéreuses (bonjour les éternuements et les boîtes de kleenex !), les livres anciens à dénicher et lire (et l’évanouissement devant le prix affiché !), les traductions latines (Celerius quam asparagi cocuntur !), les photographies à prendre, les entretiens des anciens, les poilus à dénombrer et à retrouver où qu’ils se trouvent (et qui sont devenus « mes hommes »), etc.


 


Le bonheur est arrivé un matin où, après deux longues semaines à envahir la maison familiale à tous les étages par mes brouillons, feuillets, archives et annexes, j’ai eu sous les yeux : mon livre.


 


Encore fallait-il trouver un éditeur ! J’ai eu de la chance puisqu’un éditeur régional avait passé ses vacances dans mon village et sa famille y avait possédé une maison. Coïncidence ou non, nous avions évoqué mon livre et il avait suivi mon cheminement grâce, notamment, à mes achats de ses publications.


 


Je vous passe la facilité avec laquelle j’ai été acceptée par le comité de lecture et le peu de relecture et correction(s) qu’il avait demandé, pour essayer de décrire le sentiment lors de la vision de « son » livre. J’ai encore du mal (quatre ans après) à me dire que cela émane bien de mon travail, de mon écriture, de moi, tout simplement.


 


C’est un sentiment à la fois d’excitation (c’est moi, c’est moi !), de peur (oh, merdus, personne ne va aimer !), de fierté (je suis un génie !) et de regrets (ah, et si j’avais pu retrouver ce papier aux archives !). Je suis restée figée une heure à regarder la couverture et à me dire « nom d’un petit bonhomme ! ».


 


Mais cette monographie ne résume pas ma vie d’auteur. Ma réelle propension à l’écriture se trouve dans mes romans (enfermés dans mes tiroirs et lus par un cercle très restreint, pour l’instant ! Ne me demandez pas pourquoi, sinon, je vous ponds un bulletin sur « la névrose de l’auteur ! »), dans mes poèmes, dans mes photographies et dans mes bulletins sur mon blog.


 


J’ai entrepris un blog car j’ai un trop-plein de mots et écrire un roman demande de longues heures de concentration (pour ma part, c’est Wagner ou Liszt à fond à la caisse ou tout simplement une seule chanson en boucle pendant des mois – quand j’écris uniquement bien sûr… Je ne suis pas encore, totalement, névrosée ! Par exemple, j’ai écouté « I bet you look good on the dancefloor » de Arctic Monkeys pendant quatre semaines, jours et presque nuits, pour mon avant-dernier roman ! C’est dire le traumatisme qui me guette !), du temps (et croyez-moi, c’est ce qu’il manque le plus dans nos vies quotidiennes désormais régies par la technologie), et de l’énergie (thé sur thé, café sur café, vache qui rit® sur vache qui rit®).


 


Je suis heureuse avec mes mots, mes stylos (oui, j’écris encore au stylo quand je rédige un roman ; l’ordinateur étant réservé aux bulletins, articles et chroniques musicales), mon cahier, mes feuilles, mes chansons et mes idées.
 




 


Je suis un auteur épanoui, même modeste, même inconnu (enfin uniquement connu dans mon coin du Périgord), je profite au maximum de cette chance pour participer au Salon du Livre (à Paris et ailleurs), répondre aux demandes de renseignements sur l’Histoire de mon canton, sur les recherches que j’effectue encore sur mon village et son Histoire.


 


Je suis juste une amoureuse des mots et de ce sentiment de laisser une petite trace de moi quelque part dans le cœur et l’esprit d’autres personnes (fussent-elles dix !).


 


Alors, si j’ai un conseil… N’hésitez pas à écrire. Même si cela est insipide, insignifiant ou même mal écrit. Vous le faites avant tout pour vous-même, pas pour être célèbre et célébré, ou alors, ce n’est pas vraiment vital pour vous. Et cela serait bien dommage.


 


Article rédigé par ItemLiz Girl.



 
 


Si vous avez aimé cet article, vous pouvez retrouver ItemLiz Girl directement sur son blog.





Un jour, je suis devenue grande BEAUTÉ




 


Quand on est enfant et qu’on regarde les adultes qui nous entourent, la seule envie que l’on ait est de leur ressembler un jour, et le plus vite. Le temps nous paraît s’allonger à l’infini, une seule journée semble interminable, et les années qui nous attendent avant d’atteindre notre but nous font penser à une haute montagne à gravir, dont on ne voit pas le sommet.


 


Quand on est enfant, on a des rêves de contes de fées, de princesses ou de magiciennes. On deviendra astronaute, c’est sûr, ou dresseuse de lions. Ou encore maîtresse d’école, parce qu’elles sont si gentilles. On se mariera aussi, avec notre voisin, ou notre cousin si beau. Et on aura au moins huit enfants, très tôt. D’ailleurs, on veut notre premier à seize ans, c’est déjà tellement vieux !


 


Quand on est enfant, on regarde la vie avec des yeux pleins d’étoiles. On espère que le Père Noël n’aura pas vu qu’on a un peu tapé son frère, qu’il nous apportera tous les cadeaux qu’on se répète inlassablement tous les soirs, et on se planque sous la table la nuit de sa venue pour le voir en vrai. On essaie de coincer la petite souris quand notre première dent est enfin tombée, on n’y arrive jamais, mais on ne désespère pas. On s’invente des histoires, on joue à être grande, parce que c’est tellement mieux d’être grande.


 


Quand on est enfant, on ne se voit pas mûrir, on accepte les choses comme elles viennent. On a tout le temps qu’on veut devant nous, une éternité pour apprendre, découvrir, comprendre, devenir.


 


Et pourtant, quand on est enfant, on grandit sans s’en rendre compte.


 


Un jour, tes parents déménagent, tu dois changer d’école, et te faire de nouvelles copines. Un jour, tu découvres la solitude.


 


Puis ils t’annoncent une grande nouvelle, un petit frère va arriver, eux qui veulent depuis si longtemps agrandir la famille. Un jour, tu découvres la jalousie.


 


La Maman de ton Papa, celle que tu ne connais pas trop, appelle ton Papa Monsieur quand vous allez la voir à la maison de repos. Un jour, tu découvres la maladie.


 


Ton petit frère grandit, vous vous disputez beaucoup, mais tu sais que tu ne peux plus te passer de lui. Un jour, tu découvres l’amour fraternel.


 


A l’école, tu t’es faite de nouvelles copines. Tu as une meilleure amie, tu lui racontes tout, vous êtes toujours assises côte à côte, et quand vous n’êtes pas ensemble vous passez votre vie au téléphone. Un jour, tu découvres la force de l’amitié.


 


Le temps passe mais tu ne te rends pas compte que ce sont des années. Ton groupe d’amies s’est agrandi, vous vous voyez tout le temps en dehors de l’école, tu es bien avec elles. Et puis soudain elles te tournent le dos à la récré, ne veulent plus te parler, même pas te dire pourquoi. Un jour, tu découvres la méchanceté.


 


Mais tout fini par s’arranger, elles te reparlent sans pour autant t’expliquer ce qui s’est passé, et toi tu fais surtout comme si de rien n’était, tu ne veux pas revivre ça. Un jour, tu découvres le pardon.


 


Ton grand cousin, celui avec lequel tu vas te marier, il paraît qu’un jour il ne s’est pas réveillé de sa sieste. Il paraît qu’il est parti loin, et que tu ne pourras pas le revoir. Un jour, tu découvres la mort.


 


Tu vas au collège, tu aimes bien apprendre, mais tu aimes surtout y aller parce qu’il y a ce garçon si mignon, celui qui a de beaux yeux bleus et que tu passes ton temps à surveiller. Un jour, tu découvres le désir.


 


Toi qui ne te regardais pas, tu commences à faire attention à ton image, à ton look. Tu te fais acheter des marques, tu te maquilles un peu, tu ne veux surtout pas sortir du lot. Un jour, tu découvres le paraître.


 


Le garçon aux yeux bleus est devenu ton amoureux, vous vous promenez en vous tenant par la main, et parfois vous vous embrassez. Un jour, il met sa langue dans ta bouche et tu découvres le dégoût. Puis le plaisir. Un jour, tu découvres la contradiction.


 


Tu parles à ta mère de ton amoureux, mais tu ne lui dis pas tout bien sûr. Et tu la surprends au téléphone en train de tout raconter à ta tante. Un jour, tu découvres la trahison.


 


Aux informations, tu entends parler du mur de Berlin qu’on vient de faire tomber. Médusée, tu découvres comme tout le monde le destin de la RDA, qui vient enfin de basculer positivement. Un jour, tu découvres la folie des hommes.


 


Tu passes en première, tu as le bac de français à la fin de l’année. Tu découvres la peur.


 


Puis l’année d’après, tu réussis pas trop mal. Et ce jour-là, tu découvres la fierté.


 


En fac, tu revois un ancien copain perdu de vue depuis des années, et tu as un coup de foudre. Le vrai, celui qui te transporte, puis celui qui te détruit. Tu découvres la passion, et le chagrin.


 


Tu rates ta première année en juin. Tu découvres l’échec.


 


Tu te ressaisis, vas de l’avant, fonces. Tu découvres la détermination.


 


A la télévision, tu vois soudain des images de bombes projetées sur ce pays que tu connais à peine, l’Irak. Ce jour-là, tu vois la destruction, l’horreur de la guerre, le mensonge, la cupidité.


 


Tu es devenue grande, mais tu ne le sais pas. Tu continues à t’imaginer que ta vie va ressembler à celle dont tu as toujours rêvé. Certes, tu n’as pas eu ton premier enfant à seize ans, tu as bien compris qu’à cet âge-là tu es encore une enfant. Mais tu sais que tu as une vocation, et que rien ne t’arrêtera. Tu ne veux plus te marier, l’amour fait bien trop mal, mais tu voyageras, et tu t’épanouiras de cette manière là.


 


A quel moment t’es-tu rendue compte que tu avais grandi, que les années avaient filé, et que finalement tu n’étais plus cette petite fille nourrie de rêves ? A quel moment as-tu réalisé que tu avais mené ta vie comme tu le pouvais, mais pas vraiment comme tu voulais ?


 


Tu as passé ton enfance et ta jeunesse à nourrir ton corps et ton esprit d’émotions opposées. L’angoisse de la douleur, et le soulagement du bien-être. L’égoïsme, et le don de soi. L’individualisme, et le partage. L’indifférence, et l’engagement. Tu as accepté les doutes, les certitudes, les peines et les joies. Tu es devenue celle que tu es aujourd’hui, qui n’est plus celle que tu étais encore hier.


 


Tu es devenue grande, et tu l’as compris. Tu as vécu un deuil, et tu as découvert le désespoir. Tu as rencontré l’amour avec un grand A, et tu as découvert l’espoir. Tu as eu des enfants, tu as dû devenir responsable, mais ils t’ont apporté une nouvelle sérénité. Tu vis ton bonheur au jour le jour, tu sais que tout ne peux pas être tout blanc ou tout noir.


 



Grâce à eux, tu redécouvres l’innocence, l’insouciance, la gaieté infinie des petits riens.


Un jour, grâce à eux, tu réapprends à ne plus être grande.


 


Source photo : www.fleurdementhe.com


 


Article rédigé par Malise.



 
 


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Les 10 choses qui ont changé depuis que je suis devenue blogueuse beauté BEAUTÉ




 


1- Je ressens comme une légitimité à dépenser de l’argent en produits de beauté (« c’est un investissement pour le boulot, chéri ! ») mais mon banquier ne partage pas cette vision, c’est dommage qu’il soit si étroit d’esprit.


 


2- Même épuisée et pompette après une soirée, je prends le temps de me démaquiller tous les soirs !


 


3- Je ne néglige aucune partie de mon corps ou de mon visage : des sourcils aux orteils, chacun a droit à sa minute d’attention !


 


4- Je regarde les pubs à la télé ! Parfois, il y en a de jolies pour les cosmétiques… Du coup, la question d’aller faire pipi pendant les pubs quand je regarde un film pose vraiment problème…


 


5- Je me suis fabriqué une sorte de mini studio photo dans mon appartement, je détourne les lampes de bureau pour l’éclairage et je déniche toute sorte de petits objets pour agrémenter les photos. Actuellement, j’héberge un appareil reflex numérique, prêté par des amis, et je sens que je vais bientôt en être dingue !


 


6- Je passe BEAUCOUP de temps sur Twitter et sur Internet… Je fouine, furète, et déniche toutes les infos qui m’intéressent.


 


7- J’ai réussi à intéresser (un peu) mon amoureux à ce que je fais.


 


8- Mon appartement s’est transformé en un véritable supermarché de la beauté dans lequel famille et amies piochent idées et produits.


 


9- Côté perso, j’ai enfin trouvé une fenêtre d’évasion qui me permet d’oublier les journées au boulot parfois pénibles, le stress et les collègues et supérieurs qui sont aussi sympas qu’une meute de hyènes affamées…


 


10- Ma tête fourmille de nouvelles idées, tant pour le blog que d’idées professionnelles, à développer en parallèle…


 


Et la chose qui n’a pas changé : je reste MOI, je ne suis pas devenue une débile invertébrée uniquement intéressée par les crèmes et le maquillage.


 


Article rédigé par Cosmetics Hunter



 
 


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Comment je sais que je suis devenue (un peu) parisienne BEAUTÉ




 


Jamais je n’aurai cru que ça m’arriverait un jour : passer du statut de touriste totalement paumée dans la capitale à celui d’usagère quotidienne du métro. Comme quoi la vie, on ne sait jamais ce qu’elle nous réserve. Quand je m’y baladais de temps en temps, je plaignais les pauvres gens qui couraient toujours. Ben maintenant, c’est mon tour alors je compatis.


 


Attention cependant, je ne suis pas Parisienne. Je ne volerai pas ce titre aux vraies de vraies car la Parisienne est trop mythique pour moi :)


 


Comment je sais alors que je le suis devenue un petit peu ? J’ai noté quelques changements dans mon comportement et ma façon de vivre ça… Voilà quelques points qui pourront certainement vous interpeller !


 


- Je connais le trajet en métro par cœur, je n’ai plus besoin de lever la tête à tout bout de champ pour savoir où me diriger/situer


 


- Je n’ai plus de plan du métro dans mon sac


 


- Je ne perds pas mon temps dans les transports : je lis et en fait, je lis plus depuis que je les prends


 


- Je me rappelle des stations


 


- Je commence à connaître les raccourcis : « ah tu passes par la 6 ? La 4 c’est plus rapide. Non non, en fait avec la 4, il y a le long couloir donc j’évite »


 


- Je bouscule les touristes pour attraper mon train de retour au plus vite (bah oui, je n’habite pas Paris, faut pas délirer quand même je ne suis pas dingue. Et riche. Ah ah)


 


- Je peste contre les touristes qui n’ont pas compris qu’il fallait TOUJOURS se mettre sur la droite


 


- Je me suis mise au sport (comment ça courir dans les couloirs/derrière son train c’est pas du sport ?)


 


- Avant, quand je lisais un magazine, j’étais furax car toutes les adresses étaient sur Paris. Maintenant, je me dis : « chouette, je pourrai peut être y aller après les cours »


 


- Je vois plus ma cousine et ça c’est cool


 


- Je me régale : la ville, les transports sont un magazine de mode gratuit et permanent, je m’inspire tous les jours et mon inspiration leur dit merci. D’ailleurs, j’ai envie de dire que je fais plus attention à mes tenues depuis que je vais quotidiennement sur la capitale


 


Et pour finir, lorsqu’un touriste me demande un renseignement sur le plan de Paris ou le plan du métro, je me sens trop fière ! Quelque part, c’est ma satisfaction de me dire que j’ai réussi à surmonter mes appréhensions. Nous sommes finalement capables de nous adapter à  beaucoup de choses !


 


Photos et article réalisés par La Statue et les Pancakes



 
 


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