Un petit pas pour le web, un grand pas pour Mlle K BEAUTÉ

Il y a plus d’un an et demi, en pleine crise existentielle de féminité, je me suis rendue sur le web pour chercher des idées et j’ai découvert une vraie communauté. J’ai découvert Hellocoton bien sûr mais aussi le blogzine So Busy Girls. Je suis devenue une vraie lectrice de tous ces blogs qui me faisaient rêver. Entres les filles qui savent se maquiller, celles qui savent se fringuer et celles qui prennent de magnifiques photos, je n’ai jamais été déçue.

 

A l’époque, moi, j’avais un blog ésotérique (oui oui !) alors bon, je ne voyais pas bien ce que je pouvais proposer à ces filles. Mais entre-temps, je suis tombée enceinte de bébé grenouille et j’ai ouvert un autre blog, je me suis inscrite sur Hellocoton, j’ai ouvert une page Facebook et j’ai contacté l’équipe rédac’ du So busy Girls. Bon, je te l’avoue, j’avais peu d’espoir car mon blog, il est particulier quand même. Au début ça va, on découvre bébé Lana, des photos, des DIY, des conseils, des histoires et puis on tombe sur un article éso, mais oui, c’est aussi ça Mlle K.

 

Et ce matin, encore toute endormie, j’ai ouvert  ma boîte mail depuis mon téléphone (oui, je suis une accro mais t’inquiète, je le vis bien) et là, que vois-je? Une réponse au mail que j’ai envoyé et qui me dit qu’ils me prennent dans l’équipe. Et bibi, elle est contente, je peux te le dire. Il ne faut pas se le cacher, quand on ouvre un blog, on rêve toutes qu’il soit un peu connu (enfin c’est mon cas). Et je pense que grâce à cela, il le sera. Je veux partager mon univers, faire découvrir ma trop mignonne petite fille, mes DIY, mes conseils du jeudi et surtout, je veux que mes lecteurs découvrent Paradizzy !

 

J’espère aussi faire changer l’image qu’ont les gens sur le monde de la sorcellerie, qu’ils puissent se dire que ce monde est beau et plein d’ondes positives. Qu’on peut être un peu à part mais qu’on peut être heureuse comme ça.
 

 

Alors voilà, maintenant tu sais tout, je suis rédactrice sur le blogzine So Busy Girls. Ça veut surtout dire que des articles, je vais en publier encore plus !

 

Article rédigé par Mlle K.

 
 

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Dis-moi quel gâteau tu prépares et je te dirai qui tu es : petit traité de psycho-pâtisserie BEAUTÉ

 

A chaque réunion de parents d’élèves, fête de l’école, anniversaire, je suis confrontée au même questionnement existentiel : quel gâteau vais-je donc bien pouvoir préparer ? Parce que, sans jugement de valeur, les gâteaux sont un peu comme les chaussures ou les chiens, ils en disent toujours très long sur leurs propriétaires.

 

Soucieuse, donc, de modeler pâte à mon image, je me concentre à chaque fois très sérieusement sur une douceur à laquelle j’aimerais ressembler : raffinée, gourmande, originale, belle, intelligente, pleine d’humour… bref :

- je feuillette mon classeur à gâteaux – oui, j’ai un classeur à gâteaux, plein de recettes de gâteaux, qu’il m’arrive de compulser alors même qu’il n’y a pas de concours du plus beau gâteau à l’horizon… au goûter, pour le plaisir des yeux, comme d’autres reluqueraient des voitures inabordables ou des escarpins hors de prix… et après, je suis rassasiée ;

- j’épluche mes bouquins de cuisine – ceux avec les belles photos, me laissant délibérément duper par le stylisme culinaire, ses couleurs improbables et ses formes irréalisables ;

- puis je réalise une pré-sélection.

 

Après quelques jours de repos – sous un linge propre, dans un endroit sec mais tempéré, je passe à la délicate étape du choix.

 

Si j’envisage à chaque fois de m’y attaquer, un éclair (au chocolat) de lucidité me fait éliminer quasi d’emblée les grands classiques du genre fraisiers, mille-feuilles, opéra… qui ne seront jamais meilleurs que préparés par des professionnels, soyons réalistes. Et comme j’ai décidé d’enrayer la spirale infernale du “gâteau raté”, je ne me lance pas à l’assaut de ces sommets-là…  Explication : il paraît qu’il y aurait de l’hérédité en psychologie, je peux vous dire qu’en pâtisserie, c’est avéré… le gâteau raté, c’est un concept qu’on se transmet de génération en génération dans ma famille : “tiens, j’ai apporté un gâteau, mais il est brûlé/déstructuré/pas démoulé/je ne suis pas sûre qu’il soit bon…” (ça marche aussi avec les cadeaux : “tiens, je t’ai apporté un cadeau, mais je ne pense pas qu’il te plaira…” ). Tout ça pour qu’on s’attende au pire et, finalement étonné que le gâteau soit mangeable, qu’on finisse même par le trouver bon. Mais je fais de mon mieux pour lutter contre le déterminisme…

 

On oublie malheureusement aussi le baba au rhum : une mère qui propose un gâteau imbibé d’alcool à des enfants de moins de 10 ans, niveau image, c’est pas terrible…

 

Par nostalgie pour mes années british, je suis toujours tentée par les cheese-cakes, millionnaire shortbread et autres légèretés aux accents pop, mais l’année dernière, l’accueil réservé à mon carrot-cake fut une bien cuisante leçon. Il y avait ceux que la carotte en dessert n’emballait pas du tout, et celles dont le regard trahissait la méfiance : “Comment elle se la joue, la nouvelle, genre j’ai vécu à l’étranger et je fais étalage de ma culture hybride… elle se sent même obligée de prononcer le nom du gâteau avec l’accent anglais la pétasse, non mais elle va redescendre de Big Ben vite fait, tu vas voir…” En réel processus d’intégration dans une nouvelle communauté, je renonce donc – pour le moment – aux recettes exotiques.

 

Restent l’indétrônable gâteau au chocolat (trop facile ! Pourquoi ne pas carrément payer les enfants pour qu’ils disent partout que vous êtes la Maman la plus sympa…) ;  les tartes (pour ce qui est de l’image que l’on renvoie, le nom parle de lui-même) ; les gâteaux roulés (un tantinet rétro, tendance cuisine de grand-mère qui n’est pas pour me déplaire) ; ou le gâteau au yaourt (mouais… j’ai un peu de mal à m’identifier).

 

Fortes de toutes ces réflexions, pour les 5 ans de N°2, je pensais avoir trouvé le bon compromis, populaire mais pas courant, rigolo, coloré : des muffins aux smarties, des roses des sables et un gâteau poire-carambar. J’entends encore ma fille raconter le goûter à ses mamies au téléphone: “oui, oui, Maman avait fait un gâteau, mais non, non, il était pas bon” Trop concentrée sur l’enjeu, j’en avais juste oublié qu’elle n’aimait pas le caramel… Hypothèse psycho-pâtissière confirmée, mes gâteaux me ressemblent : pleins d’idéaux et de grandes ambitions, mais un peu éloignés de la réalité des choses ; je vous laisse imaginer la gueule de mes pompes…

 

Article rédigé par Ma vraie vie de MAF.

 
 

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Superwoman (le petit secret d’Hillary Clinton) BEAUTÉ

 

En France, rien ne nous a été épargné des rivalités des Premières Dames, les ex et les actuelles, les Carla et les Cecilia, les Ségolène et les Valérie et même les Bernadette et les Danielle. Les articles, les livres, les émissions de télévision nous ont tout montré ou presque de leurs combats entre elles, avec leurs maris, avec les amis de leurs maris, avec les ennemis de leurs maris… Leurs propos, leurs sms, leurs tweets, tout a été lu et vu en direct. On les a vues en jogging et en Chanel, en maillots de bain une ou deux pièces, avec leur mari, leurs ex ou leurs nouveaux fiancés, avec leurs enfants, en meeting ou sur scène. On a scruté leur maquillage, la hauteur de leurs talons, la longueur de leurs robes, leurs liftings et leurs kilos en trop ou en moins.

 

On pense les connaître mais finalement, que connaît-on de plus que leurs silhouettes ? Qui nous a vraiment parlé d’elles ? Des journalistes et des « sources » plus ou moins bienveillantes, plus ou moins complaisantes.

 

Est-ce que ça nous a dit quelles qualités il faut pour être une femme politique – et pas uniquement la femme d’un homme politique ? Absolument pas. Les hommes politiques sont des « tueurs », des « séducteurs », des « caractériels narcissiques », cultivés ou totalement ignares, accros à la bière ou au sexe. Que sait-on des femmes politiques? Peu de choses au fond à part l’apparence extérieure.

 

Aux Etats-Unis, la vie d’Hillary Clinton a été, elle aussi, décortiquée sous tous ses aspects et toutes ses formes. Ses idées aussi,  dans de nombreux ouvrages qui lui ont été consacrés. Pourtant, elle gardait encore un secret qui n’avait pas été révélé.

 

Hillary Clinton a un truc en plus. Ou plutôt un truc en moins. Je vois vos sourcils qui se lèvent. Ttttt… ! Rien de scabreux.

 

Quelque chose qui étonne ses accompagnateurs lors de ses nombreux voyages de Secrétaire d’Etat (Ministre des Affaires étrangères) des Etats-Unis. Car elle se déplace énormément, plus que ses prédécesseurs. Le journaliste de l’article paru sur le site de Condé Nast Traveler « Neuf jours avec le Secrétaire d’Etat qui a le plus voyagé de toute l’histoire » (Nine days with the Most traveled Secretary of State in History) a calculé que, durant son mandat, elle aura parcouru plus de 1, 6 millions de kilomètres, plus de 33 fois le tour de la terre. 50 pays par an reçoivent sa visite.  Madame Clinton est dotée d’une énergie hors du commun qui épuise ses équipes et les journalistes qui la suivent. Apparemment, elle peut dormir sur commande. Talent partagé par nombre de politiciens professionnels. Elle fait preuve d’humour quand elle n’est pas en représentation officielle et aurait même un petit talent d’imitatrice.

 

Mais le secret qui n’avait jamais été révélé est celui-ci : elle ne transpire pas. Jamais. Même pas un peu. Sa peau ne brille pas. Quelle que soit la température, aucune goutte de sueur ne perle à son front. Aucun film n’apparaît sur son visage.
 

 

Dans son article, Kevin Doyle qui revèle cette extraordinaire capacité n’en donne pas la raison. Il doit être certes un peu difficile de demander à l’épouse d’un des présidents les plus populaires des Etats-Unis devenue la ministre la plus importante en rang protocolaire : « Hey Madame Clinton ! Vous pouvez me dire comment vous faites ? C’est une opération ? Un médicament secret concocté par la CIA ? Ou une mutation génétique ? A moins que vous ne soyiez une extra-terrestre (ce qui expliquerait beaucoup de choses) ? »

 

Hillary Clinton était connue pour son tempérament volcanique. Peut-être, n’étant plus en rivalité avec son mari, est-elle arrivée à une parfaite maîtrise de ses humeurs et de ses émotions qui lui permet d’affronter tous les climats et toutes les situations avec sang-froid (au sens propre du terme). Le fait de ne jamais transpirer permet-il de garder de l’énergie supplémentaire ? C’est possible. Ce pourrait être un atout pour la vie qu’elle mène. Car toute cette sueur qui ne s’évapore pas doit bien être recyclée quelque part… Si un médecin lit ces lignes et a un avis sur la question, il est le bienvenu.

 

Hillary Clinton n’a jamais fait de commentaire à cet article largement repris dans les média américains.

 

Hillary Clinton est née le 26 octobre 1947, elle s’est mariée en 1975 après avoir longtemps hésité, a-t-elle elle-même reconnu. Avant d’être Secrétaire d’Etat et après avoir été huit ans la First Lady (ou Flotus comme on dit là-bas), elle était sénateur de New York, première First Lady à occuper un poste officielle et première femme sénatrice de cet Etat.

 

Sources photos : la photo d’Hillary Clinton a été prise le 16 février 2012 du site abcnews.go.com, et la femme qui transpire vient du site fountainofgood.com

 

Article rédigé par Colette du Net.

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Petit traité de culpabilité à l’usage d’une Menace d’accouchement prématuré BEAUTÉ

 

Je vous ai parlé de l’hospitalisation pour menace d’accouchement prématuré en termes un peu froids, sans y mettre vraiment de ressenti. La vérité est que j’ai mis plusieurs jours à mettre de l’ordre dans mes émotions et à comprendre quel était ce malaise qui ne me quittait pas depuis mon retour à la maison. Ce n’était pas l’angoisse que j’avais ressentie la semaine précédente, car je n’ai pas pensé que ma fille allait naître durant ce séjour à la maternité. Bien sûr, j’ai eu peur à l’idée qu’elle arrive trop tôt, et je trouvais qu’elle était encore bien petite pour affronter l’extérieur. Mais ce n’est pas ce qui m’a laissé ce goût amer.

 

La culpabilité, beaucoup de mamans en parlent, et c’est une notion relativement vague vue de l’extérieur. Coupable de quoi ? Quand la nature nous joue un tour, que le corps s’emballe, qu’y pouvons-nous ? Ça c’est la version objective… Car lorsque l’on est concernée, ce n’est pas si simple d’y échapper.

 

Je culpabilise d’avoir si mal réagi à l’hospitalisation.

 
Lorsque la sage-femme m’a annoncé qu’on me gardait, j’ai fondu en larmes, et, pendant qu’on me cherchait une chambre, je répétais en boucle à mon homme « je veux rentrer à la maison » en pleurant de plus belle. Au moment où j’écris ces lignes, je m’en veux encore énormément de ma réaction. Y avait-il vraiment de quoi pleurnicher, sachant que ma fille allait bien et que je n’allais pas non plus la mettre au monde dans la soirée ? Il n’y avait rien d’insurmontable, je ne supportais juste pas l’idée de rester à l’hôpital. Je pourrais mettre ça sur le compte de la peur, mais si aujourd’hui les larmes me viennent encore en y pensant, c’est que je suis profondément déçue. J’aurais aimé être forte pour ma fille, me dire que l’essentiel est son bien-être, et que je pouvais bien affronter ça pour elle. J’aurais aimé qu’elle n’ait pas à sentir cette tension, ce stress, j’aurais aimé la préserver de tout ceci, être une mère qui protège mieux son enfant, une meilleure mère en somme.

 

J’ai culpabilisé d’être étiquetée « MAP » (Menace d’accouchement prématuré)

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Pourtant les risques n’étaient pas énormes, on me l’a bien précisé. J’étais relativement assurée de parvenir à la semaine suivante, au moins. Mais j’ai eu cette impression de ne pas réussir à garder mon bébé à l’abri. C’est idiot, parce que je n’ai rien fait qui aurait pu déclencher ces problèmes, je n’ai pas forcé ni porté de poids, rien de ce genre. Et quand bien même, si cela avait été le cas, on ne peut pas prévoir qu’une grossesse qui se passe bien va subitement poser un problème. Mais impossible de me sortir cette idée de la tête : c’est ma faute, je n’arrive pas à la garder au chaud, mon corps est trop fragile… J’ai eu la sage-femme qui me donne les cours de préparation au téléphone, et elle m’a dit « vous devez culpabiliser j’imagine ». J’en aurais pleuré de reconnaissance : elle comprenait.

 

J’ai culpabilisé lorsqu’on m’a parlé de la maturation des poumons.

 
C’est ce que j’ai le plus mal vécu dans ce séjour à l’hôpital. Comment expliquer ça ? Bien sûr, il y avait une part de peur, puisque cette précaution allait dans le sens d’une suspicion d’accouchement prématuré. Mais je m’en suis surtout voulu de faire subir ça à ma fille. C’est tout de même un traitement médicamenteux, ce n’est pas anodin pour un bébé. Qui sait quel effet cela lui fait ? On ne m’a pas laissé le choix, et je trouve ça juste que toutes les précautions soient prises. De toute façon, je me serais sentie tout aussi coupable de prendre le risque de priver ma fille d’une aide précieuse en cas de naissance prématurée. Finalement, d’un côté je détestais l’idée qu’on la dope, et de l’autre je n’imaginais même pas qu’elle puisse avoir besoin d’une assistance respiratoire à cause d’un refus de traitement. Coupable, donc, dans les deux cas.

 

Aujourd’hui, je culpabilise de n’avoir pas eu toutes les infos.

 
Pour les sages-femmes il n’y avait rien de vraiment alarmant, mais le médecin a poussé le principe de précaution au maximum, sans vraiment prendre le temps de m’expliquer ses décisions. L’équipe était géniale et prenait le temps, la gynéco ne l’avait pas. Peut-être aurais-je dû réclamer une autre échographie du col lors de mon admission, car visiblement l’interne s’est planté dans la mesure et je ne suis pas descendue en-dessous de la limite des 26 millimètres. Peut-être aurais-je pu éviter le traitement des poumons, et même l’hospitalisation et le stress qui va avec. J’aurais dû insister, chercher à savoir plus que je ne l’ai fait. Je me rappelle ce moment où la gynéco a parlé de 31 semaines, alors que j’en étais à 33 déjà, pourquoi ne l’ai-je pas repris ? Du coup je m’interroge sur la nécessité de tout ceci… Je n’aurai jamais la réponse, et l’essentiel n’est pas là bien entendu, mais il n’empêche que j’ai encore du mal à expliquer le pourquoi de cette hospitalisation.

 

C’est sans doute l’article le plus négatif que j’ai écrit jusque-là, mais c’est aussi le plus nécessaire.

 
Car il me faut mettre des mots sur ce malaise, ce poids qui commence tout juste à s’alléger. J’ai pleuré pour en libérer une partie sans savoir de quoi il s’agissait vraiment, aujourd’hui je suis soulagée de pouvoir le décrire, l’extraire de moi et le regarder sur le papier. Il me semble déjà moins lourd vu d’ici. Il fallait que ça sorte, que je m’en libère. Et pour achever de m’en guérir, je regarde mon ventre se déformer, car c’est l’heure de la gym pour ma princesse, ma petite fille en pleine santé qui prend toute la place dans mon ventre et dans mon cœur, que je devine un brin chipie et tellement pleine de joie. Elle va m’en apprendre long sur la vie cette enfant, je le sais déjà.

 

Article rédigé par Un Carnet Rose.

 
 

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Un petit geste pour l’environnement BEAUTÉ

Nous on est pas les reines de l’écolo, on ne va pas te dire qu’on ne mange que bio et qu’on utilise que des cosméto bios tout ça mais on essaie de faire de notre mieux, on trie nos déchets, on éteint une pièce quand on la quitte, on ne laisse pas couler l’eau quand on se brosse les dents, bref on essaie de faire des petits gestes au quotidien !

Ce qu’on ne savait pas c’est qu’en bloggant on polluait, tu le savais toi ?

Ben moi non, mais on a vu cette info sur le blog de Blandine, Only Happy in The Sun.

Selon une étude un blog de taille moyenne rejette environ 0,02g de dioxyde de carbone pour chaque visite.

Pour compenser ces émissions de CO2 l’équipe de Make it green a lancé My blog is carbon neutral : pour chaque blog inscrit un arbre sera planté dans la forêt nationale de Plumas (en Californie).

Alors bien sûr qu’on va relayer cette info !

Tu veux aussi relayer l’info ?

C’est simple : rédige une petite bafouille sur ton blogounet, inclue un des boutons proposés sur le site http://www.kaufda.de/umwelt/carbon-neutral/how-you-can-join et envoie le lien de ton blog à cette adresse : CO2-neutral@kaufda.de et un arbre sera planté grâce à toi

Bonne journée

Miss Tête en l’Air et Madame Beauté

Make up à petit prix BEAUTÉ

L’autre jour j’étais chez Auchan et c’est pas souvent que je suis dans les grandes surfaces, pour cause je déteste ça !

Mais bon là il fallait, donc pour ne pas gâcher la sortie je suis passée faire un carnage acheter quelques bricoles.

J’ai choisi des produits de la marque Essence, une marque à prix tout doux.

J’ai donc trouvé :

- 3 vernis

- 1 crayon liner violet

- 1 crayon correcteur vernis

- 1 pinceau french manucure

- 2 RAL

- 3 liner colorés

Je voulais te montrer un peu tout ces produits (enfin ceux que j’ai déjà testé)

Les liners

Ce sont des Metal Glam Eyeliner, effet métal qu’ils disent.

J’ai pris le rose, Pikadelic, le bleu On-the-go et un vert bleu Pretty cool

Je montre les tests que j’ai fait avec et je te dis ce que j’en pense

Et le dernier je l’ai testé avec du marron en halo mais je n’aimais pas le résultat.

Alors verdict :

Packaging : sympa

Pinceau liner : beaucoup trop souple, du coup j’ai eu beaucoup de mal à l’appliquer, j’ai utilisé mon pinceau lincer en trampouillant dedans

Couleurs : j’adore ! elles sont superbes et tiennent vachement bien

Prix : 2.50 euros, autant dire que ça ne vaut pas la peine de se priver !

Si je devais lui mettre une note 3/5 parce que les couleurs et la tenue sont impec !

Les rouge à lèvres

En teinte j’ai pris la 44 Almost famous un rouge corail et la teinte 43 Kiss you robe genre barbie

Almost famous

Alors verdict :

Packaging : un peu cheap quand même

Couleurs : très jolies dans le tube mais elles n’accrochent pas sur les lèvres, rendent beaucoup beaucoup plus claires comme tu peux le voir sur les photos

Confort : rouge assez confortable et il a bon goût

Tenue :  très mauvaise il part rapidement

Prix : 2 – 2.50 euros

Pour la note 2/5, un prix imbattable mais la tenue et les couleurs n’y sont pas, dommage !

J’espère que ces petits tests t’ont plu, je reviendrai avec les vernis !

Bonne journée

Madame beauté

Source des photos : le site Essence

Petit test vite fait BEAUTÉ

Bon je n’ai pas pu résister je me suis maquillée aujourd’hui, avec ce que j’ai reçu

J’ai utilisé :

- NYX Ultra Pearl Mania purple

- Noir de la palette Alice

- NYX Glitter Liner crystal

C’est dommage les photos rendent mal le trait de liner qui se voit super bien !

Le pigment est atroce à poser pas sur la peau … sur le pinceau le mini tube est pas pratique du tout.

Côté tenue il a tenu de 11h jusqu’à 22 heures que je me démaquille donc pas mal du tout !

Le liner paillette est vraiment bien pour le prix et il a pas bougé.

Moi j’aime bien le liner paillette et toi ?

Bonne fin d’aprem !

Madame beauté

Petit concours BEAUTÉ

Bon bon pour commencer la journée je te propose un concours chez Dressing en ligne.

Tu peux gagner un look complet : robe, sac, parure et des lunettes.

Si ça te dit de participer cliques sur l’image ci  dessous :

Participez au Jeux Concours Dressing enligne « Look de l été 2010″

Bonne chance !

Je reviens plus tard je vais te parler de ma découverte de la fin de semaine !!!!!

Bisous

Madame beauté

Baume hydratant Petit Marseillais BEAUTÉ

J’ai toujours du mal à acheter un lait pour le corps car soit il n’est pas assez hydratant, soit il l’est trop et colle et je déteste ça !
Malgré tout je crois avoir trouvé celui qui me convient en cette saison où ma peau a besoin d’hydratation mais pas autant qu’en hiver. Il s’agit du baume hydratant visage et corps à l’olive et à l’amande douce du Petit marseillais. J’ai déjà acheté des soins pour le corps de cette marque et je les trouvais pas mal, ce qui m’a décidé à acheter celui là est le fait qu’il contienne de l’huile d’olive aux vertus adoucissantes et nourrissantes et de l’huile d’amande qui est également adoucissante et hydratante. J’utilise souvent de l’huile d’olive pure que ce soit pour le corps ou les cheveux, j’aime la douceur qu’elle procure et j’adore l’odeur de l’amande, il ne m’en fallait pas plus pour craquer ! Ce baume existe en tube ou en pot, j’ai préféré le version tube plus pratique.

 

 

La texture est fondante, pas trop épaisse ce qui fait que ce baume s’étale très facilement. Très bon point il pénètre très bien, ne colle absolument pas et l’odeur est juste merveilleuse. J’en mangerais presque ! En plus elle persiste un moment sur le corps et je trouve ça super agréable. Je ne l’ai utilisé que sur le corps, pour le visage ça ne me dit rien. On m’en avait déjà parlé mais je craignais qu’il ne soit pas suffisant, finalement rien de mieux qu’un test par moi même et après la douche ou un bain de soleil ma peau est vraiment bien hydratée, rien à redire.
Il me semble que le tube existe en deux formats, j’ai pris le plus petit ne sachant pas si j’allais l’aimer mais comme je suis conquise la prochaine fois je prendrais sûrement le plus gros format. A voir si en hiver l’hydratation sera suffisante.  Le prix est correct comme la plupart des produits de cette marque car je l’ai payé moins de 4€ chez Monoprix.

 

Miss tête en l’air

Le petit dernier Sampar : le Glamour Shot Eyes BEAUTÉ

Fallait vraiment que je t’en parle parce que je m’en sers depuis plusieurs matin et vraiment je l’adore !

Donc il est tout nouveau tout beau c’est la version yeux du Glamour Shot de Sampar !

Qu’est ce qu’il nous promet ?

Le Glamour Shot Eyes :

•  Gomme instantanément cernes et poches.


•  Eclaire les zones d’ombre du contour de l’œil.


•  Lisse rides et ridules du contour de l’oeil.


•  Offre une action anti-rides durable.

Le Complexe MIB : par ses propriétés anti-oedémateuses, antiinflammatoires et veinotoniques, éradique poches et cernes.

• Les HQA microlens : dernière génération soft focus, comblent les sillons de la peau afin de renvoyer la lumière de façon homogène, permettant ainsi d’effacer visuellement les imperfections et d’éclairer le regard.


• L’Extrait d’Avoine: procure un effet lifting optimal et immédiat.


• L’Acide hyaluronique encapsulé : permet de cibler les rides et ridules en profondeur et de repulper le contour de l’œil pour une action anti-rides sur le long terme.


• Le Complexe Urban Advance : véritable « choc cellulaire » qui réactive les fonctions vitales de la peau

Qu’est ce qu’il vaut au final ?

Non parce que tu me connais c’est bien beau les promesses mais je suis comme Saint Thomas je ne crois que ce que je vois !

En ce moment je suis grave fatiguée, déjà parce que j’ai eu 0 vacances pendant les fêtes et aussi parce que cette semaine je me suis tapée une nuit  blanche, impossible de dormir.

C’est pour te montrer le contexte donc le matin c’est pas joli joli tout ça à voir, regarde

Je pense que ça se passe de commentaires !

Donc je dégaine le tube, le pose un peu de Glamour Shot Eyes sur mes cernes et je tapote légèrement au doigt.

J’attends 2-3 minutes et hop je reprends la photo.

Même Doudou il m’a dit « ah oué quand même ça se voit moins »

Tu vois la différence ?

Bref je pense que ça va être mon nouvel ami de tous les matins !

Par contre à savoir, il ne faut pas mettre de l’anti cerne ou du fond de teint liquide dessus, c’est déconseillé par la marque. Moi j’ai quand même poudré tout mon visage après le fond de teint je n’ai pas eu de soucis.

Je rappelle que je suis une mauvais fille je ne mets quasi jamais de contour de l’oeil, mais si toi oui, pas de souci, d’abord tu poses ton CDY et après le Glamour Shot Eyes !

Tu peux le trouver ici sur le site de Sampar, je suis passée hier chez Sépho il n’était pas encore dispo.

Alors t’en dis quoi ?

Bonne journée

Mme beauté

 Produit reçu pour revue

Un petit tour à Edimbourg BEAUTÉ

Il y a 2 semaines nous sommes donc partis découvrir l’Ecosse !

Je peux te dire qu’on a pas été déçus, on était très loin des châteaux hantés perdus dans les Highlands vu que nous nous étions à Edimbourg du coup j’ai pas croisé beaucoup de fantômes.

Le coeur d’Edimbourg est en 2 partie la Old town et la New town, on a su plus tard que c’était à la demande des riches de la ville que la New town a été construite ils en avaient marre de vivre avec les pauvres qui crevaient de la peste !

La première chose qui m’a frappée est l’architecture de la ville tu te crois direct dans Harry Potter, des belles pierres, de beaux bâtiments et des espaces verts ! Faut dire que là bas il pleut souvent alors ça peut être vert !

Edimbourg ça grimpe je te le dis, ça grimpe sec, tout en haut culmine The Castle, oué le château qui s’appelle Le château ! Depuis le château, il y a la Royale Mile, la rue qui descend jusqu’à la demeure de la reine d’Angleterre Palace oh Holyroodhouse , qui se visite sauf en juillet où elle séjourne.

The Castle

Royal Mile

Palace of Holyroodhouse

Dean village

 

Walter Scott mémorial : le plushaut mémorial au monde dédié à un poète

 

Tout le long de cette rue se trouve les « close » ce qui était à l’époque de gentils coupe-gorges, rue hyper étroites et comme les bâtiments étaient très hauts et très longs ça ne devait pas être rassurant la nuit tout ça

Il y avait toute une vie souterraine jusqu’au début du 19ème, on a visité d’ailleurs des restes de cette vie souterraine et honnêtement savoir qu’ils vivaient sous terre, à 10 dans 15 m2 ben c’était pas facile à l’époque.

Edimbourg c’est la ville où tous les musées sont gratuits c’est sympa je trouve surtout que certains musées comme le musée national sont vraiment super.

Côté bouffe la spécialité locale est le Haggis, de la panse de porc farcis avec des abats et de l’avoine, clairement c’est fort et je peux même dire que je n’ai pas aimé du tout ! Heureusement il y a les tea room avec le carott cake, les slice, muffins et autres douceurs que j’ai nettement préféré hihihihi

C’est une ville que tu fais à pieds tu passes de la Old town à New town par différents ponts, la Old Town c’est le coeur culturel de la ville et la New town tu y trouves plus de boutiques.

Une journée on est partis voir Nessie dans son petit lac mais elle a fait sa timide elle s’est cachée. Faut dire que notre tour dans les Highlands a duré 12h là bas on a eu sur la route 2 types de paysages, les belles forêts et les paysages lunaires, pas un arbre à la ronde rien que des étendues de terres à perte de vue avec 3 maisons par ci par là, là bas c’est 5 habitants au km2, ils ne sont pas emmerdés par les voisins ! Il y a plus de moutons que de gens !

C’est aussi sympa de visiter la ville avec un guide tu apprends plein de choses nous on a fait une visite nocturne dans les cimetières, il y en a un réputé pour son activité paranormale tellement forte qu’on vient étudier les phénomènes là bas (ceci dit là aussi pas de fantômes).

Le mec il a été enterré vivant alors il est remonté à travers la tombe pour hanter les lieux, tu vois sa tête sur la tombe ?

Pas très loin de la ville, tu peux aussi visiter des châteaux, on a choisit celui de Craigmilar où a vécu Marie Stuart une des reines d’Ecosse.

Bref même en restant une semaine il y a des tas de choses à faire et à voir à Edimbourg et dans toute l’Ecosse.

Un dernière petite attraction que je te conseille c’est Camera Obscura, qui est une chambre noire perchée au dessus de la ville qui te permet d’observer sans être vu, de plus dans ce bâtiment à chaque étage il y a des galeries autour des illusions d’optiques j’ai tout simplement adoré ! C’est une femme qui a crée cette attraction en 1853

Voilà j’espère que ce petit tour à Edimbourg t’a plu autant qu’à nous !

Pour partir Ryanair propose des vols low cost tout comme leurs services… la seule chose c’est que c’est direct et ça n’a pas de prix

Pour se loger on a testé AirBnB un site genre tu dors chez l’habitant, le service est bien.

Là bas tu fais tout en bus mais attention y’a 3 compagnies et un ticket sur une ne fonctionne pas sur l’autre, surtout si tu prends la carte jour ou semaine, donc faut faire gaffe à savoir dans quel quartier vous êtes et quelle compagnie dessert le plus de choses, nous on avait pris la Lothian on a tout fait avec elle, même le château en dehors d’Edimbourg.

Par contre la grosse blague, c’est qu’il n’y a pas de plan détaillé des lignes faut aller direct à l’arrêt pour savoir à quelle passe exactement le bus. Sur les plans qu’ils te donnent tu as quelques arrêts si le tien est entre ben faut estimer l’heure à laquelle le bus va passer !!!! Il n’y a d’ailleurs aucun plan dans le bus non plus faut pas te tromper de sens , le mieux c’est encore de poser la question au chauffeur mais quand tu entres dans le bus sinon il ne te répond pas quand il conduit. Et encore un petit truc toujours avoir l’appoint dans le bus, le chauffeur ne rend jamais la monnaie.

L’Air Link va de l’aéroport au centre en 30 min y’en a tout le temps le jour toutes les 10 min et la nuit un par heure.

Attention aussi ils mangent tôt là bas donc à partir de 22h il n’y a plus que dans les snacks de nuit où tu trouves de la bouffe.

Bon dimanche !

Mme beauté