Dur dur la reprise… comment (mieux) gérer le retour au boulot après les fêtes BEAUTÉ

 

Les fêtes se sont déroulées dans l’harmonie (personne n’a été blessé), la joie (ma cousine Germaine ne m’a pas agressée lors du déballage de son cadeau), le bonheur de se retrouver (mon père a adoré quand ma mère lui a annoncé son remariage), et autres réjouissances (comme l’année dernière, il y avait trop à manger, mais, bien élevés, nous avons tout fini !).

 

Le plaisir de passer quelques jours tous ensemble, au fin fond des bois, dans un coin où la téléphonie mobile n’arrive toujours pas et où le débit Internet est inversement proportionnel au débit oral de mon petit cousin de cinq ans (surnommé cette année « Whynot »).

 

Parallèlement, le décrochage régional a été salutaire et le retour sur le quai de la gare nous a tous plongés dans un abîme cafardeux.

 

Déjà, entre l’odeur, la tête patibulaire du contrôleur et la fringale en cours de voyage (sans accès au wagon-restaurant « fermé pour causes de neige »), le moral était en berne, mais le retour au bureau a été aussi enthousiasmant qu’une visite chez le contrôleur des impôts.

 

Dès l’arrivée, la vision du pauvre sapin enguirlandé version Petits Frères des Pauvres totalement avachi contre le pilier en a rebuté plus d’un.

 

L’entrée dans le service, l’accueil tonitruant (« Ah, voici les vacanciers de retour, BONNE ANNEEEEEEEEEEEE ! »), et le côté aimablement convivial du Grand Manitou (« Grrr, jour, dossier ! ») ont été les points culminants d’une rechute immédiate du moral.

 

Le retour en bus, le soir, a fini d’achever le petit morceau de plaisir et de joie qui subsistait au plus profond de mon cœur.

 

Mais, il existe des parades à ce genre de retour… Voici quelques façons de ne pas sombrer dans l’envie irrépressible de demander illico une semaine de congés au Big Boss qui, pour la peine, vous en donnera des congés, payés par le Pôle Emploi !

 

1. Gardez votre décor de Noël jusqu’à mi-janvier : c’est kitsch, j’avoue, mais premièrement vous pouvez arguer que vous attendez les Rois Mages, deuxièmement que vous trouvez plus le carton de la crèche, et enfin que Choupinet est « accro au papa Noël électrostatique sur les fenêtres »… Autant le faire passer pour un simplet, personne n’ira lui poser la question !

 

2. Continuez à se maquiller et s’habiller comme le 31 décembre : bon, je vous l’accorde, oubliez les paillettes, Big Boss risque d’en faire une jaunisse. Mais bien coiffée, hyper maquillée, avec des talons et une petite robe noire (oubliez les boucles d’oreilles en strass longues comme le bras et le sautoir qui arrive aux genoux), vous serez obligée de marcher comme une danseuse de l’Opéra et vous y gagnerez en prestance (et en prestige aussi).

 

3. Organisez une journée « filles » et prévoyez un cadeau pour vos copines, même un truc à deux euros : c’est bien connu, les filles, cela piaille, cela rigole, cela échange et cela remonte le moral avec son expérience personnelle encore plus « pourrie » que celle de sa voisine. Après cette journée, vous aurez le sourire et un petit cadeau. C’est Noël même en janvier.

 

4. Allez faire les soldes, sans Visa, mais avec Meilleure Amie (ou petite sœur) : au bout de deux heures de piétinement et de « ah, il n’y a plus que du 34 ? », vous finirez au fond d’un salon de thé à disserter sur le temps qui passe et les vacances d’été devant un carrot cake du tonnerre.

 

5. Appliquez la résolution 458 de votre liste : embrasser Choupinet plus souvent et surtout quand il ne s’y attend pas. Au rayon croquettes pour chat, par exemple. Comme il tient à son chat comme à la prunelle de vos yeux, il prend toujours vingt minutes à sélectionner la base de l’alimentation féline. Du coup, la plupart du temps, vous trépignez à côté… là, vous lisez par-dessus son épaule, et hop, un bisou. Surpris le Choupinet, mais souriant et rougissant. Un bonheur, tiens !

 

6. Allez marcher sur la plage (ou dans un parc avec un lac, dans le square d’en bas, etc.), même par -10° : s’aérer, admirer le paysage, imaginer que dans six mois, vous serez là, allongée sur le sable (la pelouse, le gravier, le béton ?), en maillot de bains une pièce (oui, pour l’instant, il vaut mieux imaginer une pièce !), aux côtés de Choupinet, avec vue sur le maître-nageur-sauveteur, et le surfeur du dimanche –soupirs.

 

7. Entamez une révolution personnelle : tenez-le pour dit « Vous êtes unique », alors, on se motive, on trouve une occupation extra professionnelle (dessin, zumba, sieste crapuleuse, pâtisserie pour les nuls, macramés, carrosserie pour les nuls, bénévole au cirque du coin, etc.) et on s’investit.

 

Et souriez, souriez, souriez… Cela va passer… L’été revient !
 

 
 

Source image : www.renders-graphiques.fr

 

Article rédigé par ItemLiz Girl.

 
 

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Maman et le sport après trois enfants, comment retrouver la forme simplement ? BEAUTÉ

 

J’ai déjà fait du sport en salle dans ma vie. Je sais, après trois enfants cela ne se voit pas, il me reste quelques kilos à perdre. Je me plains souvent d’être grosse, avant mon mari me répondait mais non tu n’es pas grosse. Aujourd’hui, après un petit silence gêné, mon mari me répond mais non tu n’es pas grosse… tu as juste quelques kilos à perdre.

 

Il faut donc que je me trouve un sport en salle car dans le nord, il pleut, ce n’est pas un scoop. Je ne suis ni riche ni sportive, il me faut donc un sport un peu fun et pas cher. J’ai retrouvé mes baskets et mon t-shirt à nounours (no comment, les nounous c’est fun et après trois enfants plus joli qu’un legging) qui étaient dans un carton depuis deux déménagements soit un an. Donc plus d’excuses.

 

A Nantes, je faisais du sport à cinq minutes à pied de chez moi à l’association Don Bosco avec Isabelle, elle est sympa, je la connaissais car elle animait aussi la babygym des jumeaux. Je cherche donc la même chose dans le nord.

 

J’avais entendu parler de la Zumba, je suis donc allée essayer dans un supermarché du sport, j’avais vérifié l’horaire sur Internet mais quand je suis arrivée, ils m’ont dit que la Zumba à cette heure là c’était à partir de la semaine suivante. J’ai donc tenté le Step à la place, histoire de ne pas m’être déplacée pour rien.

 

Une blonde sur un podium hurlait des instructions incompréhensibles pour moi. J’ai tenté de suivre mais j’ai vite été larguée. J’ai continué à bouger avec trois temps de retard en copiant les autres qui, pour certaines, ne se débrouillaient pas mieux que moi. Après une heure de torture, je me suis dit que le Step, ce n’était pas pour moi. Je suis allée visiter le reste du centre sportif, j’ai regardé les salles de torture sans avoir envie d’y entrer.

 

Un autre soir, j’ai tenté le sport en association. Je me suis sentie jeune et mince. Pendant tout le cours, elles ont papoté, elles parlaient du fumoir à saumon qu’elles allaient offrir pour l’anniversaire de leur ami. Je ne dirai pas son âge, il est plus âgé que moi. Un fumoir à saumon, je ne savais pas que cela existait, je dois être (encore) trop jeune pour comprendre son utilité. Ils vont pêcher les saumons dans la rivière à côté des ours dont ils vendent la peau avant de l’avoir tué ? Ce cours ne sera pas pour moi non plus, trop lent. La monitrice n’arrêtait pas de demander si ce n’était pas trop rapide. Le cours s’est terminé par des abdos. J’ai levé la jambe de temps en temps, j’ai regardé l’horloge et contemplé le plafond et me suis dit qu’ils auraient pu mettre un éclairage un peu plus soft que des néons.

 

Après, je me suis dit que j’allais tenter la danse. J’ai autant de grâce qu’un éléphant mais un cours est fait pour apprendre. Et curieusement, je ne me suis pas trop mal débrouillée pour une première fois. J’arrivais plus ou moins à suivre les enchaînements. Je me suis roulée par terre disons avec grâce. J’ai fait des bonds en balançant les bras. C’était de la danse sensuelle mais lente. Ce n’est pas dans ce cours que je perdrai du poids.

 

J’ai appelé quelques salles de gym, j’ai halluciné en apprenant que le tarif mensuel équivaut à la cotisation annuelle pour du sport en association. J’ai raccroché en leur suggérant de s’aligner sur la concurrence.

 

Je suis toujours à la recherche d’un sport. Je devrais peut-être essayer la Wii. Mais j’ai peur que cela ne soit comme mon vélo d’appartement qui a fini en porte-manteaux.

 

Sinon il paraît que le ménage fait maigrir, au moins c’est gratuit et nécessaire vu l’état de ma maison. Ce n’est pas que je sois une souillon ou une mauvaise ménagère mais avec trois enfants, quand c’est propre, c’est déjà sale. Vous pouvez venir nettoyer ma maison si vous voulez transformer le ménage en sport. Savez-vous si une heure de ménage fait autant maigrir qu’une heure en salle ?

 

Si vous connaissez un sport sympa et pas trop cher à Marcq en Baroeul, vous pouvez mettre le lien en commentaire, je suis preneuse !

 

Article rédigé par Maman déménage.

 
 

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La course après le temps laissera nos assiettes vides BEAUTÉ

 

Je ne sais pas comment je me débrouille, mais je suis tout le temps débordée. Et comme je n’arrive déjà pas à faire toutes les tâches que j’ai planifiées pour la journée, une fois rentrée chez moi, je fais comme beaucoup de gens : je ne me résous définitivement pas à prendre le temps de préparer un « vrai » repas et je me replie (trop) souvent sur des plats surgelés ou des préparations toutes prêtes.

 
Mais c’est vraiment dommage, quand j’y pense, parce qu’on rentre dans un cercle vicieux infernal qui se répète de manière interminable : on veut gagner du temps, du coup on ne prend plus ni le temps de faire ses courses (merci Internet), ni de préparer ses repas (merci Picard) ni même de les apprécier (merci… les plats tout prêts sans saveur).

 

Alors qu’au contraire, aujourd’hui, on peut trouver à la fois des recettes faciles à réaliser – ça me fait penser à celle de Ninou Ecolo sur le lait de noisettes maison qu’il faut absolument que je teste – et à peu près tout le petit électroménager sur le web : des mixers, des blenders, des hachoirs, et j’en passe et des meilleurs. J’ai même par hasard découvert l’extracteur de jus, je ne savais même pas que ça existait :)

 

Donc je trouve ça ballot comme paradoxe : on n’a jamais eu autant de facilité à faire la cuisine qu’aujourd’hui, et pourtant, beaucoup d’entre nous (moi y compris, hein ;)) sombrent trop facilement dans cette spirale infernale de la course après le temps.

 

Mais on court pour quoi finalement ? Pour espérer vivre mieux, vivre plus, et plus longtemps ? Sauf que c’est justement le contraire qu’on est en train de faire : on vit tout à moitié, on n’est pas à ce qu’on fait, et pour ce qui est de la nourriture (le ventre que je suis revient forcément très vite sur ce point très important ^^), on en arrive vite à subir à cause de notre attitude des assiettes sans âme, sans vitamines et sans saveur.

 

Du coup, c’est décidé, en 2013, j’ai pris une bonne résolution que j’espère bien tenir : je vais tester touuuutes les recettes de notre dossier cuisine  Par contre, les filles, il faudra peut-être aussi penser à créer une rubrique « Sport pour les grandes gourmandes », parce que ça pourra sûrement m’être utile :)

 

Article rédigé par So busy.

 
 

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Incredible India : ressenti après 5 mois d’expatriation BEAUTÉ

 

Toi qui y es allée, pour voyager ou pour travailler, tu comprendras. Je pense qu’on ne peut comprendre ce qu’est la vie en Inde qu’en y ayant vraiment vécu. Même si je m’obstine à croire qu’on ne vit pas les mêmes choses lorsqu’on y travaille (ce qui a été mon cas) et lorsqu’on y est en visite touristique.

 

L’Inde est une autre planète, inimaginable tant qu’on n’y a pas posé les pieds.  L’arrivée est assez terrifiante, je me suis demandé ce que j’étais venu chercher là.

 

D’un seul coup, je suis fascinée par tout ce que je vois, toutes ces couleurs, les tenues vestimentaires, la chaleur étouffante, l’humidité, les gens qui marchent pieds nus dans la merde, la saleté hallucinante, les gens qui font leurs besoins dans la rue, les vaches qui mangent du plastique, mais où sont donc les éboueurs ?!

 

Je vois des scènes incroyables et irréalistes : un homme allongé sur la route, une pierre en guise d’oreiller, et la foule qui passe autour de lui, les vaches qui manquent de l’écraser, et lui qui dort profondément ; un mendiant qui porte des chaussettes au bout de ses moignons de bras et qui sourit à pleines dents, joyeux…

 

Peu à peu et grâce à mes amis indiens et à Internet (eh oui), j’apprends sur l’Inde, la culture, la religion qui régit complètement leur vie et la plupart de mes questions obtiennent une réponse.

 

Pourquoi sont-ils si lents bon dieu ? C’est normal, il fait très chaud, 40 °C, et être pressé est considéré comme impoli. Aussi, j’ai appris à tourner les questions dans l’autre sens, pourquoi nous occidentaux sommes-nous si pressés ?
 
Pourquoi me disent-ils toujours « Oui » et ne font rien ensuite ? Pourquoi j’ai l’impression qu’il y a plus d’hommes que de femmes et pourquoi sont-ils si tactiles entre eux ? Pourquoi sont-ils si mal élevés? C’est une autre culture, rarement de « bonjour » ni de « merci », roter / renifler / se racler la gorge fait partie des comportements normaux (c’est sympa quand c’est votre collègue de bureau !).

 

L’Inde est le pays où tout est possible. Les Indiens ne disent jamais non. Tout semble entièrement réalisable avec plus ou moins de négociation. Ou plus ou moins d’argent…vive la corruption.

 

 

Après 5 mois, mes repères ont été comme bousculés, je deviens insensible voire indifférente pour pas mal de choses, c’est étrange. On alterne entre Moyen-Âge et les années 80. On voit d’un côté des chariots remplis de cartons sales tirés par des vaches et de l’autre des voitures de luxe. Il y a aussi cet homme en costard avec son iPhone, puis cet homme pieds et torse nus, en habit traditionnel vendant des noix de cocos.

 

Après 5 mois, il me tarde de retrouver le calme, la propreté, un vent frais et pur à respirer, des odeurs d’herbes fraîches. Fini les klaxons, le trafic, les odeurs de pisse et de merde, la pollution dans le visage doublée des pots d’échappement des camions, le gouvernement corrompu jusqu’à l’os…

 

Ca n’a pas été que la galère l’Inde, ça a été de nombreux fous rires, des rencontres formidables et des instants de joie et de plénitude lors de mes visites à Pondicherry, Tranquebar, Mysore, Cochin, Allepey. Chaque destination a une histoire et j’en garde des souvenirs superbes.

 

Peu à peu, je prends plaisir à me balader dans ce bordel, à négocier tout achat, à sourire à tous les indiens qui me regardent et à échanger quelques mots…
 
Ca va me manquer, les raita et les naans du restaurant en bas de chez moi, la sensation du rickshaw (c’est comme une décapotable que tu prends tous les jours, c’est la classe), les chauffeurs attitrés qui essaient néanmoins de toujours t’arnaquer « 10 roupies more Mam », se délecter d’une « tender coconut » au bord de la route, les effluves d’encens et d’épices, les vaches en plein milieu de la route, les marchands de fruits et légumes sur leurs roulottes, les papayes, les mangues, les colliers en fleur de jasmin, l’accent indien, le « r » roulé, les « maybe tomorrow ».

 

 

Ce qui va me manquer d’autant plus est d’avoir été chaque jour étonnée par ce pays.

 

Je suis néanmoins fière d’avoir pu vivre dans cet environnement et notamment d’avoir pu supporter tous ces regards remplis de curiosité, ce qui m’a clairement forgé.

 

Enfin, je suis partie en Inde, aussi loin, pour avoir l’envie de revenir en France, retrouver ma famille, mes amis, ma vie… Simplement réapprécier tout ce que j’ai.

 

Article rédigé par Laura.
 
 
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Après la Jolie Box, la Glossy Box, Mon Coffret Beauté voilà la Makeup Box ! BEAUTÉ

C’est la marque makeup line qui le propose.

Il s’agit donc d’un petit coffret  de maquillage comprenant 3 à 4 produits (gloss, mascara, rouge à lèvres, crayon…) ainsi qu’un cours de maquillage, réalisé par une maquilleuse professionnelle. Chaque coffret correspond à un look particulier, à reproduire en suivant les différentes étapes détaillées dans le livret.

 

Le coffret que j’ai reçu est Country Style, il contenait un mascara marron (à gauche), un gloss rosé (au centre) et  un crayon doré cuivré (à droite).

Il y aussi un petit livret qui te donne des conseils pour utiliser ton coffret : teint, yeux, bouche et des photos du maquillage fini pour les blondes, brunes, rousses.

J’ai suivi les conseils du coffret et voilà ce que ça donne

 

Ce que j’en pense ?

Quand j’ai reçu le paquet j’ai trouvé le packaging un peu cheap, une boîte en carton, ça m’a pas emballée.

A force de voir les autres box bien préparée je me disais que ça allait être plutôt dans le même sens.

Ensuite j’ai découvert 3 produits : le gloss, le mascara et le crayon.

Les produits sont de bonnes qualité (heureusement), le mascara sépare bien les cils comme j’aime. Le crayon glisse bien sur la paupière. Le gloss est sympa, le rendu est joli, il colle un brin mais c’est un gloss donc pas de surprise de ce côté là.

Côté prix là pour moi ça c’est moyen, en effet si tu t’abonnes le coffret c’est 29,90€ et si tu ne t’abonnes pas c’est 39,90€ alors tu fais vite le calcul un mascara c’est 12-15€, un crayon 12-15€ et un gloss dans les 10-12€ en gros tu ne gagnes quasiment rien côté dépense.

L’avantage c’est qu’il te propose un lot et un look alors si tu n’as pas envie de te casser la tête c’est impeccable.

Adorant le maquillage moi je ne suis peut être pas la cible idéale.

Les produits sont vraiment bien c’est aussi ça le vrai plus.

Je pense que le packaging mériterait vraiment à être amélioré pour donner plus envie.

Et toi t’en penses quoi de cette box maquillage, tentée ?

Bonne journée

Mme beauté

 

Crème pour les mains balance Me idéale après une journée de travaux BEAUTÉ

Hier j’ai passé toute la journée dans le futur nouvel appart de ma soeur à décoller de la tapisserie. Je ne veux plus entendre parler de tapisserie pendant au moins 10 ans tellement cette invention bien pratique peut être une vraie plaie lorsqu’on en abuse. Je t’épargnerais les quatre couches superposées entremêlées de peinture et autres joyeusetés, mais quoi qu’il en soit nous en sommes venus à bout et je suis bien contente pour ma soeur et son mari car ils vont avoir un chouette appart. Pour finir en beauté je suis rentrée chez moi et je me suis affalée sur le canapé, j’ai allumé la télé pile au moment où D&Co commençait et que vois-je ? Des gens en train de décoller de la tapisserie. J’ai failli casser ma télé.

Bref, toujours est-il qu’après une bonne douche bien chaude j’avais besoin de prendre soin de mes mains car elles avaient bien morflé pendant la journée à force de pschitter du produit pour décoller, de les laver régulièrement et de manier les outils. Comme nous avions reçu dans la Carmine box une crème pour les mains c’était le moment idéal pour l’essayer.

Il s’agit de la super moisturising hand cream de chez balance Me, une marque anglaise que je ne connaissais absolument pas. Cette crème ultra hydratante promet d’adoucir et d’apaiser les mains grâce à un mélange de produits hydratants tels que le beurre de karité et l’huile d’amande douce. Celle-ci contient également du benjoin, de l’Achillée, du patchouli de la gomme de carraghénine ainsi que de l’huile de kukui (issue de la noix de bancoul).

La texture est assez fluide et l’odeur végétale prononcée mais ça ne me dérange pas plus que ça. J’en ai mis une bonne noisette et je me suis massée les mains un long moment pour me détendre les mains jusqu’à ce que la crème pénètre. J’ai tout de suite ressentie une douceur au niveau de ma peau, comme si ma peau était repulpée, jamais je n’avais ressenti ça avec une crème pour mains et c’est une sensation vraiment très agréable. La crème pénètre bien et surtout elle ne colle pas ce qui est très important pour moi qui ait déjà tendance à zapper l’hydratation de cette partie du corps.
Une très bonne crème à mon sens qui remplit vraiment ses promesses, je comprends qu’elle ait été autant primée (Beauty insider’s choice 2010, Anti Ageing Beauty Bible, The Green Beauty Bible) et hier soir elle a été plus que bénéfique après cette journée de travaux.

On la trouve dans de nombreux magasins en Angleterre, en France seule une enseigne la vend à Gastes dans les landes, sinon elle est en vente sur le site de la marque au prix de 14.50 £ le tube de 100 ml.

Miss tête en l’air

Après la Madbox la Samparbox [dispo le 20 août] BEAUTÉ

Il semblerait que Glossy Box se lance dans un nouveau système de box, depuis quelques temps, qui est plutôt pas mal.

Après la Madbox en partenariat avec Madame Figaro c’est autour de la marque Sampar.

Ce sont des box en édition limitée et bien garnies.

C’est donc demain que sort cette box qui va coûter 19€ frais de port compris en 100 exemplaires !

Y’en aura pas pour tout le monde.

Tu vas trouver quoi dedans ?

- Stylo Absolu Pureté (taille vente, prix 20€)
- Glamour Shot Eye (10 ml taille vente, prix 29€ ),  je t’en ai parlé ici
- Lait démaquillant (100ml, valeur 15€)
- Fluide ultra hydratant (15 ml, valeur 19€), Miss tête en l’air t’en a parlé ici
- Renaissance contour des yeux (2,5ml, valeur 12,5€)

Il est clair que la valeur de la box avoisine les 96€ tu es donc largement gagnante !

Je pense que c’est un super plan pour découvrir cette marque.

Bonne journée !

EDIT DU 16/08/2012 au matin : apparemment la box ne sera dispo que le 20 août !

 

Mme beauté