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La playlist pour lui dire qu’il vous manque BEAUTÉ

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Communiquer par chansons interposées : pour lui dire qu’il/elle vous manque


Ce weekend, il/elle est loin, ça vous casse les pieds : merde, les beaux jours arrivent et c’est relou de ne pas pouvoir en profiter à deux. Peut-on compter sur les musiciens de ce monde pour exprimer ce manque ?


 



 


So Busy Girls vous aide à progresser en communication de couple par chansons interposées.


 





































Vous :Dites-le avec :
…êtes raide dingue et la distance vous tape sur les nerfs, au point que vous feriez n’importe quoi (par exemple : braquer une banque ou détourner un avion) pour être aux côtés de votre élu(e) ?The Offspring – Next To You (reprise de The Police)
…n’attendez qu’un coup de fil de sa part et tout ce qui vient ce sont vos potes et des milliards de tentations (dans le cas de Jagger et Richards, des portoricaines chaudes comme la braise), mais rien à faire, il/elle vous manque grave ?Rolling Stones – Miss You
… êtes séparés, mais pas de votre plein gré, et vous aviez promis de lui foutre la paix, de ne pas l’appeler au milieu de la nuit, mais voilà : il est presque une heure du mat’, vous êtes un peu bourré(e) et vous auriez trop besoin de lui/elle avec vous, là tout de suite…Lady Antelbum – Need You Now
…avez beau être fort(e), merde merde merde, qu’est-ce que vous donneriez pour qu’il/elle soit là ! (attention, clip pas cher) Avril Lavigne – Wish You Were Here
…n’en pouvez plus d’attendre, parce que l’attente c’est le pire et que vous l’aimez à mort ?Eels – The Longing
… éprouvez le pire des manques parce que vous l’avez laissé partir, et maintenant vous vous en mordez les doigts ?Coldplay – Warning Sign
…vous avez rompu et depuis c’est simple : vous ne vivez plus?Indochine – Electrastar

 


Reprenons : vous…


 


1. …êtes raide dingue et la distance vous tape sur les nerfs, au point que vous feriez n’importe quoi (par exemple : braquer une banque ou détourner un avion) pour être aux côtés de votre élu(e) ?


 

 
 


2. …n’attendez qu’un coup de fil de sa part et tout ce qui vient ce sont vos potes et des milliards de tentations (dans le cas de Jagger et Richards, des portoricaines chaudes comme la braise), mais rien à faire, il/elle vous manque grave ?


 

 
 


3. …êtes séparés, mais pas de votre plein gré, et vous aviez promis de lui foutre la paix, de ne pas l’appeler au milieu de la nuit, mais voilà : il est presque une heure du mat’, vous êtes un peu bourré(e) et vous auriez trop besoin de lui/elle avec vous, là tout de suite…


 

 
 


4. …avez beau être fort(e), merde merde merde, qu’est-ce que vous donneriez pour qu’il/elle soit là ! (clip pas cher)


 

 
 
5. …n’en pouvez plus d’attendre, parce que l’attente c’est le pire et que vous l’aimez à mort ?
 

 
 


6. …éprouvez le pire des manques parce que vous l’avez laissé partir, et maintenant vous vous en mordez les doigts ?


 

 
 


7. …vous avez rompu et depuis vous ne vivez plus ?


 

 
 


Article rédigé par Emmzie



 
 


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Les 10 choses qu’il ne faut JAMAIS dire à une femme (sinon la femelle peut facilement s’énerver…) BEAUTÉ



les-dix-choses-qu-il-ne-faut-jamais-dire-a-une-femme
 


Rebonjour homme. J’ai vu que tu avais aimé mon traducteur Femme/Homme, je vais maintenant encore t’aider pour que 2013 soit une année sans « bourde linguistique ». La communication étant un des ciments d’un couple, tu te dois de ne JAMAIS, ô grand jamais, prononcer ces phrases, sous peine de graves représailles (Oui, la femme est quelque peu susceptible) :


 


1. T’aurais pas maigri ?


 


Deux cas de figure : Soit oui : « Connard, ça se voit pas j’ai perdu 10kilos à bouffer du yaourt et du tofu pendant 3 mois et toi tu me demandes si par hasard j’aurai pas un peu maigri, pauv’type ! (Oui, la femme qui a faim est agressive.) ». Soit non : « Connard, tu te fous de ma gueule, tu vois bien que je suis un 42 déguisée en 38 d’où les bourrelets qui sortent de partout alors n’en rajoute pas une couche ! » (Oui, la femme vexée est vulgaire).


 


2. T’es belle aujourd’hui.


 


Hum, retire tout de suite le aujourdhui ou alors ferme-la, aujourd’hui et pour toujours !


 


3. Comme tu veux, je m’en moque.


 


Ah là, quand il faut prendre une décision, Monsieur passe son tour, hein, et moi faut que je choisisse, et que je me prenne tout dans la gueule si c’était pas le bon choix… Mais putain, dis moi si tu veux des pâtes bolo ou carbo MERDE, c’est pas compliqué ! (Oui, l’homme hésite sur ses réponses concernant des sujets très importants, car il sait que la femme le lui fera regretter un jour !)


 


4. De toute façon, vous les femmes, ça ne vous dérange pas de faire le ménage.


 


Ah bon, c’est génétique ? C’est juste que si on ne le fait pas, en 2 jours notre palace se transforme en bidonville ! C’est donc plus un instinct de survie qu’une véritable passion… Tiens j’ai 5 minutes, si je nettoyais entre les petits tuyaux du radiateur ? Je vais m’éclater comme une folle ! (Ou plutôt t’éclater la tronche, macho !)


 


5. Il est nouveau, ton petit haut ?


 


De 1, c’est pas un « haut » mais un chemisier. De 2, pourquoi tu dis « petit », il me serre, c’est ça ? Et de 3, qu’il soit nouveau ou pas, tu ne le remarques même pas, ingrat !


 


6. J’vais juste boire un coup après le boulot, je rentre pas tard.


 


Hum, on n’a pas la même notion du tard et pas tard, chéri. Parce que oui, 1h du mat, c’est tôt (dans la journée) mais ultra tard dans la soirée… Tu sais, tes enfants (les choses avec deux jambes et des cordes vocales surdimensionnées), ils sont couchés depuis 4h et t’ont réclamé toute la soirée… Alors, me dis pas que tu rentres pas tard la prochaine fois, dis moi « Femme, tu vas gérer seule la soirée pendant que je m’amuserai, ok esclave ?» ça sera plus clair… (re-macho !)


 


7. Elle est célibataire ta copine ?


 


Mais qu’est-ce que t’en as à faire ? Non, j’suis pas jalouse, mais je ne vois pas pourquoi tu poses la question… D’ailleurs, c’est plus ma copine (à partir de cette seconde !) (Non, j’suis pas jalouse j’ai dit… !)


 


8. Ma mère, elle (+verbe au choix) mieux que toi.


 


Bon, déjà, tu sais qu’aux premiers mots de la phrase, je commence à devenir rouge, quand j’entends la suite je bouillonne, alors pourquoi me dis-tu que ta chère maman est mieux que moi ? Ne jamais comparer Femme et Mère, je suis ta femme, pas ta mère, ok chéri ? (Au fait, tes princes de Lu sont dans ton sac, et j’ai acheté des MonsterMunch pour l’apéro ce soir, seulement si t’es sage) (Et merde, je crois que je mute en mode « Maman de mon mec ».)


 


9. A quoi tu penses ?


 


Non, homme, ne demande JAMAIS ça ! Diable ! Tu risques soit de te confronter aux réelles pensées de ta femme (et de faire un début d’AVC dans la foulée), ou alors, de devoir l’écouter de longues (LONNGUUESS) minutes car nous les femmes, on pense TOUJOURS à quelque chose, qui en entraîne une autre, et là, tu as le droit à une soirée de monologue (du vagin !) (bref, la parole est d’argent mais le silence est d’or !)


 


10. (…………) (Rien)
 
« Ah ouais ? Tu réponds rien ? Mais vas-y, assume tes pensées, qu’est-ce qui ne va pas chez moi ? Vas-y, dis-le… » (Et c’est parti pour 15 minutes de lamentations) (Rectification : le silence de la femme est d’or, le silence de l’homme est de papier… buvard…)


 


Alors, fais bien attention avant de parler.


 


Un conseil : fais comme les mannequins à la télé (j’ai pas osé dire les Miss France !), tu souris, tu prends confiance en toi, et tu tournes 7 fois ta langue dans ta bouche avant de parler (mais discrètement, ou la femme va croire que tu te moques d’elle… Oui, je t’ai déjà dit, la femme est quelque peu susceptible) !


 


Article rédigé et photos réalisées par Allo Maman Dodo



 
 


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Ce qu’il faudrait savoir avant de devenir maman BEAUTÉ



little devil

 


Avant, j’étais comme toi, je croyais qu’avoir un bébé c’était merveilleux tout le temps. Je pensais que ce petit être allait m’apporter exclusivement de jolis sourires et de doux câlins.



 


Je me suis faite avoir par tout ces « déjà-parents » super entraînés et super surveillés (et oui, la Brigade des Nurses de Florence Foresti, n’est pas une pure invention), qui véhiculent uniquement le côté idyllique du bébé.



 


Bien sûr, ils ne disent que ce qu’ils ont le droit de dire. Mais je suis sympa avec toi, je brise les tabous et m’expose à de fortes représailles (c’est qu’elles sont féroces, ces nurses).



 


Tout d’abord, avant de mettre en route un gentil bébé, il faut absolument que tu te rencardes le mieux possible sur l’exorcisme. Oui tu as bien lu, l’exorcisme. Tu vas passer neuf mois possédée par un petit démon qui te transformera en une boule d’hormones absolument pitoyable, alors faut être un minimum informée sur le sujet !



 


Pendant neuf mois donc, tu seras possédée par un être maléfique qui te fera pleurer pour rien, qui te fera manger comme douze et qui te rendra aussi aimable qu’une porte de prison (encore pire que pendant tes règles, oui oui c’est possible).


 



Tout comme pour une personne habitée par le démon, toi aussi tu auras droit à ta séance d’exorcisme : le jour de ton accouchement. Regarde avec attention une séquences du film « L’exorciste », tu retrouveras absolument tous les détails : allongée sur un lit, te tordant de douleurs, voulant tuer à peu près tout ce qui s’approche de toi, le visage défiguré par la douleur.


 



Je sais, je te vends du rêve mais en même temps je suis là pour te dire la vérité.



 


Le seul souci est que la ressemblance avec la possession démoniaque s’arrête là. Quand tu es possédée par le démon et que tu te fais exorciser, ton calvaire se termine, tu redeviens ce que tu étais. Par contre, une fois que tu as accouché, le petit démon n’a pas disparu, non c’est pire il est libéré. Et toi, tu ne seras plus jamais la même… Tu en as pris au minimum pour 18 ans.


 



Si j’avais pu être mise dans la confidence avant de mettre en route bébé, je crois que je me serais mieux préparée psychologiquement et physiquement. Je pense même que je me serais inscrite dans un camp d’entraînement militaire. Non, je te promets ce n’est pas exagéré. C’est le seul entraînement où l’on te forme à affronter tout ce à quoi tu seras confrontée avec bébé.


 


Ils t’entraînent à supporter la privation de sommeil, la chose à laquelle tu dois être le mieux préparée. Même si je pense qu’un militaire ultra-entraîné aurait beaucoup de mal à supporter des mois et des mois avec des nuits de quatre heures toutes hachurées.


 



L’entraînement m’aurait quand même donné les bases. Peut-être n’aurais-je alors jamais rangé les télécommandes dans le frigo, mon portable dans le four ou mes clés de voiture à la poubelle. Peut-être aurais-je aussi évité le mode zombie, très peu tendance quoiqu’on en dise.



 


Ils t’entraînent également à mieux gérer ton corps dans l’espace, à esquiver toutes sortes de projectiles. Cela m’aurait certainement permis de ne pas sortir avec du vomi sur l’épaule, de ne pas me faire arracher un oeil avec une cuillère, et cela m’aurait été bien utile pour les jours de gastro. Là je te passe les détails si tu veux bien.



 


Ils t’entraînent également à ramper sous des barbelés, ce qui te sera d’une utilité absolue puisque ramper deviendra ta façon de te déplacer privilégiée. Tu ramperas pour ramasser les jouets semés partout, pour ramasser 18 fois par jour la tétine, pour essuyer/gratter le sol. Bref, les bébés aiment que tu sois à leur niveau.



 


Je sais ce que tu penses, que je ne vois que le mauvais côté, mais tu te trompes.



 


La dernière chose à laquelle j’aurais voulu pouvoir me préparer est bel et bien l’afflux énorme d’amour dans mon ventre, mon coeur, ma gorge et ma tête lorsque ce petit être est apparu dans ma vie. Non, je n’écris pas ces mots sous la contrainte de la Brigade Des Nurses ! Là, c’est toi qui est mauvaise langue !



 


C’est finalement ce qu’il y a de magique avec ces petits démons, c’est qu’ils te font ressentir jusque dans tes entrailles un amour infini que tu ne pourras ressentir pour personne d’autre. Peut être que nous tous parents sommes victime du syndrome de Stockholm ?!?


 



Même si être maman peut paraître certains jours difficile, épuisant, déroutant (aucune mention inutile), il n’y a pas une seule journée où tu ne regardes ton enfant en te disant « Mon dieu ce que je peux l’aimer ».



 


Ah oui j’oubliais de te dire, en devenant maman tu deviens obligatoirement chamallow. Pourtant l’article avait bien commencé et PAF, je me fais rattraper par la niaiserie maternelle, je ne peux pas lutter.



 


C’est certainement cela qui fait que même si tu étais prévenue, tu le ferais ce bébé. Voilà pourquoi j’en ai eu un deuxième, pour tous ces moments où je me sens remplie d’amour à l’infini, tous ces moments qui me font oublier les séances d’exorcismes ou les nuits sans sommeil.



 


Maintenant, je n’ai plus qu’à prier pour que je ne fasse pas avoir une troisième fois, parce que finalement après l’arrivée de bébé nous devenons tous des « déjà-parents » qui diront qu’avoir un bébé c’est merveilleux. Après tout, peut-être que c’est le cas tout simplement.



 


Je vais quand même aller vérifier si j’ai bien pris ma pilule ce matin, parce que faut pas déconner quand même ! Non mais oh !


 


Article rédigé par Optimum.


 


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Tout ce qu’il faut savoir pour avoir l’air cultivée BEAUTÉ




bookink


 


Je n’ai toujours pas compris cette idée fixe d’avoir « l’air cultivée ». Ma grande tante disait régulièrement « pour être cultivée, sortez dans mon jardin et prenez le râteau ». Elle avait de l’humour ma tantine, mais surtout elle appartenait à cette génération qui avait les connaissances les plus larges et les plus importantes et qui ne l’étalait pas.


 


Bon, chez nous, la culture c’est autant dans la bibliothèque que dans le jardin familial. La plupart du temps, on commence à lire les livres, puis on finit au jardin sous le regard des plus vieux qui ne peuvent plus rien faire d’autre que de lire… Tantine disait que c’était « l’évolution humaine familiale ». Je la retiens encore mon évolution ! Il semblerait que je sois pile dans l’âge de rester dans le jardin ! Bon, vous me direz, je me planque dans mon bureau extérieur histoire de bouquiner et écrire tranquille… A part mes « amies » les abeilles pour me déranger, je ne vois jamais personne s’aventurer jusqu’à mon antre.


 


Evidemment, dans le contexte familial, je suis devenue ce que l’on appelle communément un rat de bibliothèque ; quelqu’un capable de rester huit heures d’affilées aux Archives Départementales d’un département (au hasard ? Dordogne, Gironde, Charente, Haute-Vienne…) sans bouger, sans manger (sauf des vieux papiers, registres d’état civil, et autres joyeusetés poussiéreuses) ; quelqu’un capable de lire quatre ou cinq heures sans se rendre compte de la fiesta à l’étage au-dessous ou de ranger la bibliothèque familiale toute la matinée et feuilleter les livres encore et encore et encore (les mêmes qui ont été lus sous l’impulsion familiale)… Bref, le genre à bouffer de la « culture », quelle que soit la définition que vous donnez à ce mot.


 


En outre, notre culture étant largement européenne (d’est en ouest), côté mélange des genres, nous sommes bien pourvus !


 


Du coup, j’ai repensé à ce que certains membres éminents de la famille (ceux qui restaient collés littéralement aux portes de la bibliothèque principale) nous ressassaient lors des déjeuners dominicaux (dans le meilleur des cas).


 


« La culture ne s’hérite pas, elle se conquiert » (André Malraux) : ouais, eh ben, chez nous, la culture c’est dans le biberon puis en intraveineuse (au cas où la greffe n’ait pas pris !) puis en immersion totale. Si cela ne suffit pas ? Je n’en sais rien, cela ne s’est pas encore produit !


 


« Je suis un non-violent : quand j’entends parler de révolver, je sors ma culture » (Francis Blanche) : oui, alors, côté révolver, chez nous, il n’y en a pas, par contre, sortir sa culture, c’est le sport national… un côté Jeux Olympiques qui est hilarant pour les invités mais fatiguant à la longue… Dans cette catégorie, il y en a qui gagnent haut la main !


 


« La culture est ce qui reste quand on ne sait rien faire » (Françoise Sagan) : et là, croyez-moi sur paroles, nous avons de potentiels gagnants dans cette ligue… Malheureusement, il faut le reconnaître, tout le monde sait faire, au moins, une chose dans cette famille, à défaut de connaître tout son Universalis® : taquiner son voisin (de table, de chambre, de salle de bains, de bac à sable, etc.).


 


Néanmoins, si vous voulez passer votre entretien de manière satisfaisante lors d’un déjeuner familial d’été (je précise, car, désormais, nous sommes rarement tous réunis), il vous faudra au moins citer dans la conversation ces sept ouvrages (en précisant le nom de l’auteur de manière audible et inspirée)…


 


La plus belle preuve de culture serait de ne pas l’exposer et laisser ceux qui s’y frottent avec délice, comprendre à demi-mots (ou phrases), avec un délicieux sourire de ceux qui savent mais ne se vantent pas, vous regarder avec admiration.


 


Bon, je ne vous cache pas que certains n’hésiteront pas à vous questionner plus avant, à s’assurer que vous compreniez bien tous les mots employés et surtout que vous ayez autre chose que des diplômes en poche. Car, comme disait ma Tantine « rien ne sert d’avoir du papier, si tu n’as pas un stylo et des mots pour le recouvrir ».


 


Petite idée pour placer les auteurs et titres de référence…


 


« Avant moi, rien ne fut créé […] de la grandeur, du courage, de la gravité, de la fermeté […] où chacun parle de ce qui lui est le plus agréable. »  (La Divine Comédie – Dante / Le Prince – Machiavel / Decameron – Boccace)


 


« Par tous les diables […], protester, se révolter est absurde […] chaque jour est fantaisie » (Gargantua – Rabelais / Les Contes de Cantorbery – Chaucer / Essais – Montaigne)


 


Et finir en beauté (pour épater les vieilles tantes, cousines et toutes les filles de la famille) en disant un subtil mais vrai que ces dames « me font mourir pour sa perfection » (Les Amours – Ronsard)


 


Et vous ? Votre culture ?


 


Article rédigé par ItemLiz Girl.



 
 


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