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Le paradoxe de l’amour à l’ère 2.0 BEAUTÉ

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Digital mind


 


En tant que blogueuse passionnée (comme nous toutes, je pense :)) et vraiment touche-à-tout pour ce qui concerne les métiers et ressources du web, je me demande de plus en plus si Internet est une avancée ou un vrai frein pour les rencontres amoureuses qui durent.


 


Attention, autant vous le dire tout de suite, je fais partie des fervents défenseurs du net et j’adore les possibilités que cela offre : je fais mes courses et mon shopping en ligne, je suis plus que ravie de découvrir de nouveaux créateurs ou petits restos vraiment sympas perdus au fond de la pampa (je pars souvent en vadrouille les weekends ;)) et qui n’auraient certainement jamais retenu mon attention sans leur site Internet, et j’aime l’idée que la culture et l’info (ou l’intox, d’ailleurs ^^) soit accessibles à tous et à tout moment.


 


J’ai ainsi l’impression d’avoir le plus grand choix possible et d’être vraiment plus libre qu’à l’époque de nos grands-parents où il fallait nécessairement accepter d’être ce qu’on appelle une clientèle captive auprès de son boucher / épicier / maraîcher (au choix), tout simplement car il n’y en avait pas d’autres dans le village.


 


Maintenant, je me demande vraiment si cela vaut aussi pour les rencontres amoureuses. Outre les grands Meetic et autres Adopteunmec qui manifestement peuvent laisser des séquelles assez sérieuses (^^) si l’on en croit l’illustration vraiment rigolote d’Aysseline, un nombre assez incroyable d’autres sites proposent de rencontrer des célibataires sur le net ou de proposer des activités à des célibataires qui partagent les mêmes centres d’intérêts que nous, notamment avec Voyons Nous – rappelez-vous, je vous en avais parlé il y a quelques mois car j’avais trouvé le concept original.


 


Du coup, je me dis que, décidément, à l’heure où nous avons Internet et tous les moyens de communication possibles et imaginables à notre portée, nous n’arrivons malgré tout plus à communiquer. Car c’est toujours le grand paradoxe qui se pose : y a-t-il une telle multitude de sites de rencontres parce qu’il y a beaucoup de célibataires désespérés à la recherche de l’amour, ou est-ce parce que ces mêmes célibataires recourent trop souvent aux sites de rencontres (et perdent donc peut-être confiance en eux à force de tomber sur des relations vides de sens ou non stables et surtout de ne pas s’en rendre compte tout de suite) qu’ils restent justement… célibataires ?


 


Je sais, je suis en plein questionnement philosophique, aujourd’hui… Bon, trêve de plaisanterie, maintenant que vous avez lu le sujet, top chrono : vous avez une heure avant que je ne relève les copies !


 


(Mais naaaaan, c’était une blague. Ceci dit, je veux quand même bien votre avis en commentaire si vous aussi vous vous posez la question ;))


 


Article rédigé par So busy.



 
 


Si vous avez aimé cet article, vous pouvez retrouver So busy directement sur son blog





Le paradoxe de la femme enceinte BEAUTÉ



keep-calm-and-baby-on
 


Selon une vieille légende, les femmes changeraient souvent d’avis et voudraient parfois tout et son contraire. Et, selon la même source, cette caractéristique se remarquerait particulièrement chez les femmes enceintes.


Il paraît que les légendes sont toujours basées sur des faits réels. Qu’en est-il de celle-ci ? Enquête ! (On dirait le pitch d’une émission de reportage…)


 


Tout rapport avec des faits s’étant vraiment déroulés sont totalement volontaires.


Une fois la bonne nouvelle découverte, et après écoulement des trois mois réglementaires, notre sujet, que nous appellerons L. pour les besoins de l’expérience, a hâte que son bidon se voit. Qu’il soit là pour affirmer son nouveau statut de future maman.


 


Le truc, c’est qu’à 12 semaines l’objet de sa fierté ne mesure que 6 cm, c’est pas avec ça qu’on va lui laisser une place assise dans le métro… Ou alors, c’est que notre sujet a un peu forcé sur les Chocobons et qu’elle a pris, en un tiers du temps que va durer l’expérience, la quasi-totalité du quota poids que lui accordent généreusement certains médecins (j’en parle d’ailleurs ici).


 


En résumé, notre sujet voudrait que son état soit immédiatement visible tout en continuant de rentrer dans ses slims. A quand la création d’une petite icône verte qui flotterait au dessus des têtes des futures mamans façon Sims ?


 


Plus le temps avance, plus L. pense au fait qu’il y a une légère formalité avant de serrer le petit être qu’elle a fabriqué dans ses bras : l’accouchement. Cet exercice, étonnamment, semble particulièrement redouté, à tel point que la future maman peut être amenée à secrètement espérer une césarienne. C’est vrai que sur le papier, ça ressemble à un bon plan : une petite incision sous anesthésie et hop, le chérubin est sur son ventre. Pas de ventouse, de forceps, d’épisio…


 


Mais au fond d’elle, notre sujet se doute que lorsqu’une offre a l’air trop belle, c’est qu’il y a un hic (on me dit dans l’oreillette que certaines femmes césarisées confirment), un peu comme quand sur Internet un pop-up nous invite à visiter un site qui vend des Louboutin pour moins de 100€.


 


Une fois le grand jour arrivé, après quelques heures de travail, lorsque le bébé ne semble pas pressé de venir voir dehors s’il y est, et que la sage-femme annonce : si rien ne bouge d’ici une heure, il faudra envisager la césarienne, L. prend un peu peur. Finalement, la perspective de l’utilisation du scalpel lui fait peur et elle espère que sa Crevette va trouver rapidement la direction de la sortie. A quand la technologie de téléportation façon Star-Trek ?


 


Ca y est, l’humaine miniature a repéré les panneaux indiquant le chemin à suivre ! Malgré la magie de la fée péridurale, L. passe quand même trois bons quarts d’heure à se dire que, finalement, il serait peut-être plus sage d’en revenir au plan scalpel. Comment ça, c’est trop tard ?


 


Même si 45 minutes sur environ 8 heures ça reste raisonnable, notre nouvelle maman sur l’instant renonce à son rêve de fratrie et se dit que, finalement, par les temps qui courent, il est sûrement beaucoup plus raisonnable de n’avoir qu’un enfant.


 


Et puis, une fois de retour à la maison, la bouée rangée dans sa boîte, quand le bébé a fait ses premiers gouzis-gouzis, notre sujet semble oublier ses craintes et se dire que finalement la première Merveille du monde risque de s’ennuyer si elle reste seule et qu’il lui faudra un compagnon de jeux (oui normalement on dit la 8ème merveille mais pour une maman, à la naissance d’un enfant, Khéops, jardins suspendus et autres phares se trouvent automatiquement rétrogradés).


A quand le… non, là, je ne vois pas quoi proposer parce que si les femmes ne changeaient pas d’avis, on serait un peu mal partis, non ?


 


To be continued…


 


Article rédigé par Running et Talons Hauts.



 
 


Si vous avez aimé cet article, vous pouvez retrouver Running et Talons Hauts directement sur son blog.





Le paradoxe de la femme enceinte – la suite BEAUTÉ



Pour (re)lire le premier épisode du paradoxe de la femme enceinte, c’est par ici !


 


Les 45 minutes pendant lesquelles elle s’est dit que plus jamais elle ne pécherait mises à part, cette journée est la plus belle que L. ait vécue jusque là. Je sais, ça fait guimauve mais notre sujet a insisté pour que ce point soit précisé et comme je n’avais pas d’autres femmes enceinte sous la main pour continuer l’étude…



 


Elle garde un si beau souvenir de cette expérience que les perfusions, les bips des monitorings, même celui signalant la fin de sa péridurale et tout le reste du glamour accompagnant l’accouchement, se sont transformés en paillettes ; sages-femmes, puéricultrices et pédiatres se sont changés en bonnes fées. Note pour plus tard : vérifier si les hallucinations font partie des effets secondaires possibles de la péridurale.


 



Toute médaille a son revers, et cette avalanche guimauve n’échappe pas à la règle. Pour sa seconde grossesse, elle n’a pas peur de l’accouchement en tant que tel, non non non… Cette fois, elle a peur que cette nouvelle expérience ne soit pas aussi réussie que la première. Logique.


 



A quand le papier carbone pour accouchement, histoire de pouvoir refaire tout pareil quand ça s’est bien passé ?
 
keep-calm-and-baby-on


 


Enfin, le dernier paradoxe que je relèverai ici n’est pas le moindre.  Si le premier accouchement de notre sujet s’est déroulé comme dans un rêve, entre risque d’accouchement prématuré et alitement, il n’en est pas de même pour sa grossesse. En application d’un plan de prévention du risque, L. a donc été arrêtée très tôt dans cette seconde grossesse, ce qui lui permet de regarder Les Maternelles chaque matin sur France 5.



 


Elle y a vu un sujet sur les accouchements par le siège qui apparemment ne se traduisent pas nécessairement par la césarienne tant redoutée. Et là, ça a fait « tilt » dans son esprit ! Ce qui cause le risque d’accouchement prématuré, c’est que le bébé appuie sur le col avec sa tête, et s’il est en siège, il n’appuie pas sur le col. Je suis sûre que tu vois où elle veut en venir… D’autant que sa gynéco lui a dit que dans la maternité qu’elle a choisie (qui est tellement bien que L. a décidé de ne pas déménager tant qu’elle voudrait avoir des bébés), la plupart du temps, ils accouchent les sièges sans césarienne. L. en est donc presque à espérer quelque chose que beaucoup de femmes redoutent : un bébé en siège ! Toutefois, je ne m’avancerai pas quant à son revirement de volonté sur ce sujet car il lui reste  encore en théorie deux mois pour se dire que non, finalement, si Numérobis avait la bonne idée de se présenter de façon classique, ce serait mieux.



 


Bref, en conclusion, on se rend compte que oui, la femme enceinte peut changer d’avis, mais compte-tenu des changements que subit son corps et du fait que pendant cette période, elle fabrique quand même un être humain, on peut lui pardonner, non ?


 



En ce qui me concerne, après ce petit exercice légèrement schizophrène, j’estime que j’ai le droit de piocher goulûment dans la poche de nounours en chocolat (pour changer des Chocobons).



 


Précision d’importance : aucune femme enceinte n’a été maltraitée pour cette étude


 


Article rédigé par Running et Talons Hauts.



 
 


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