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Les aventures de la Smala – Le Meeting annuel de rentrée ! BEAUTÉ

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GAT et Trois avaient dans l’idée de rassembler tout le monde (enfin les plus proches) pour le repas traditionnel dit « de rentrée ». Celui qui préparerait donc le planning de la fin d’année (Qui recevra à la Toussaint ? Qui s’occupera des chrysanthèmes ? Qui refusera de creuser une citrouille pour Halloween au prétexte que c’est « hérétique » ? Qui occupera les enfants le jour de la St Nicolas ? Qui aura l’honneur d’être l’hôte à Noël ? Qui aidera le Papa Noël ?) et, de faire le point sur quelques « détails familiaux » (Qui n’a pas rendu l’album photo n°45-4-22-1-A ? Qui n’a pas réglé sa cotisation au journal du curé ?) ! Bref, que du lourd.


 



GAT avait demandé à ce que cette réunion se fasse chez elle car Tante Aglaë et Cousine Sidonie pourraient officier en cuisine. Un a donc accepté l’invitation tout en googlant sur son iPhone « pharmacies de garde ».



 


Trois était surexcitée par les membres présents, les piliers (ou les sacrifiés, au choix) et émit un premier plan de table, qui fut retoqué immédiatement par Un et Suprême qui se refusaient de faire duo avec, réciproquement, Lords of the Rings et Pétunia.


 



Après dix tentatives d’arrangement à l’amiable (et autant de reproches et sorts jetés sur dix générations), le plan de table fût approuvé et tous étaient présents, en grande pompe, chez GAT.



 


Après l’introduction d’usage (« Tout le monde va bien, bien, bon, passons »), Trois lança l’idée directrice du déjeuner « préparer au mieux les fêtes de Noël ».



 


Un intervint en demandant un peu plus de « discernement dans l’organisation en raison du départ calamiteux de l’année dernière ». Il appela l’histoire de la dinde farcie, non cuite à dix minutes du repas, à cause de « l’oubli » des FlowerPower de recharger la cuisinière à bois, « régulièrement ».



 


Hormis ce léger détail (4,280 kg), le repas commença sous les meilleurs auspices jusqu’à l’intervention « divine » de Suprême qui lança un tonitruant « Mais t’es blonde, Pétunia ? ».



 


Il s’en suivit un débat sur la blondeur, les femmes, Marilyn Monroe, les fantasmes de l’Oncle Edmond (il craque sur Juliette Gréco !) et les détails de la nuit de noces des FlowerPower.



 


Nous avions attaqué le plat principal (ah, oui, je vous écris le menu en fin d’article !) que personne n’avait abordé le thème principal « Noël ».



 


GAT commença à se plaindre de douleurs aux genoux, suivit par Un qui pleurait sur une rayure de son iPhone ; Trois évoqua sa tension « à la limite mortelle » (13,7) ; Pétunia « ses amants » ; Oncle Edmond « sa nouvelle cave à vin » ; Suprême « sa nouvelle fiancée » et Quatre « son niveau excellent en gym » (grosse rigolade générale, par ailleurs) et Bibi « sa propension à la veille sanitaire renouvelable ».


 



Deux et Tante Dinde essayèrent de ramener les moutons dans l’enclos mais GAT, sourde comme pas deux, décréta que Noël se ferait « comme à l’ancien temps », ce qui fit s’évanouir Deux.



 


A l’ancien temps, chez nous, c’est synonyme de « on sort l’argenterie, les services, les nappes, les serviettes, les chandeliers, les verres à pieds, à pas pied etc. » avec le risque de casser la vaisselle historique et d’entendre des reproches pour les dix années suivantes !


 



Bref, on est finalement reparti pour le classique « Noël typique de la famille » avec deux entrées, deux plats, dix desserts et autant de merdouilles à manger à l’apéritif. Car, c’est cela aussi la smala, l’hystérie culinaire. Personne n’est jamais d’accord sur le menu.



 


Ah, oui, bien sûr, tout le monde donne son aval à GAT (tu m’étonnes, on a tous la trouille !), mais une fois sur place (trois jours avant) et surtout au supermarché (notre Super U préféré), l’avant-veille, tout le monde glisse discrètement « son plat principal » dans le caddie et provoque, en cela, le tsunami du lendemain matin (quand GAT s’aperçoit, à l’aide de sa loupe, qu’il y a des milliers d’ingrédients exotiques pour la basique « Dinde farcie aux cèpes et foie gras »).



 


Cela finit toujours par un aménagement du menu (au grand dam de Tante Dinde) qui fait que chacun mange ce qu’il veut le soir de Noël !


 



Pour le jour de Noël, c’est « imposé » et ne varie pas d’une année sur l’autre. On reste dans l’attachement familial au Périgord, avec une touche de Hongrie pour les ancêtres (paprika partout), et du fromage pour la touche française, sans oublier le Christmas Pudding pour le côté anglais et l’Irish Coffee pour célébrer nos racines irlandaises.



 


La décoration fût finalement évoquée lors de ce dîner et il parût évident à tout le monde que nous devions « remplacer Joseph ». Joseph c’est un vieux santon un peu usé (on ne sait plus si c’est vraiment Joseph ! On a un doute !). Les ordres furent formels : on remplace Joseph par le même, pas par une version « moderne, colorée et futuriste ». On a tous pensé au santon rapporté par Pétunia deux ans auparavant qui était censé représenter le Tambourinaire et qui ressemblait plus à Zaza Napoli !


 



Au dessert, GAT, Trois, Un et Tante Dinde ont formellement interdit de creuser les citrouilles de la maison familiale cette année et réclamer instamment à Quatre et Bibi d’éviter de parsemer (et je cite) le jardin « de décorations  blasphématoires » (trois guirlandes avec des citrouilles lumineuses, deux bougies citrouilles et un Jack O’Lantern fluorescent au bout d’une pique). Quatre a tenté une explication irlandaise logique « C’est Halloween, le veille de la TOUSSAINT » qui s’est soldée par un tonitruant « Citrouille toi-même » de Tante Dinde.


 



Nous nous sommes séparés sur un gâteau aux noix d’une légèreté de mammouth et avons programmé la prochaine réunion « Le re-re-re-re-re-re mariage de Cousine Hortense », ce qui a fait dire à GAT « mais elle n’est pas encore morte cette vieille bique ? ».


 





Menu du jour :



Apéritif (Kir Royal, Pineau des Charentes, Whisky, Cognac) avec ses blinis au foie gras



Soupe (oui, chez nous, c’est soupe)



Entrée (Salade de gésiers aux noix et chèvre chaud)



Plat principal (Blanquette de veau à la GAT avec pommes de terre en robe de chambre)



Fromage/salade



Dessert (gâteau aux noix)



Café/thé/pousse-café/re-pousse-café


 


Article rédigé par ItemLiz Girl.



 
 


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Les aventures de la Smala ou les chroniques d’une famille peu ordinaire BEAUTÉ




 


Comme pour certaines familles, la smala se réunit régulièrement pour les « imposées » (chez nous, ce sont : Noël, les Rameaux, Pâques, Ascension, 14 juillet, 15 août, 1er Novembre et 11 novembre) et les « libres » (anniversaires de Tante Gertrude, Cousin Aloi, enterrements, célébrations, mariages divers et autres joyeusetés).


 


Lors des rassemblements dits « libres », la journée n’est centrée que sur un individu qui va absorber tous les regards, réflexions et autres commentaires et, par là même, décharger les autres des joutes oratoires et des mortifications familiales.


 


Par contre, lors des « imposées », la smala est formellement en ordre de bataille et se déplace comme un seul homme. De l’extérieur, vous pouvez distinguer clairement l’unité, l’organisation, la dextérité de chacun, la symbiose de l’ensemble, bref, le côté « perfection » qui nous sied…


 


Oui, alors, là, je vous arrête tout de suite : petit un la perfection n’existe pas, petit deux et sûrement pas dans la famille. De l’intérieur…. No comment.


 


En période « imposées », tout repose sur la pintade de service (en l’occurrence, et au choix, bibi ou tante dinde) qui organise, gère, planifie et ordonne tout, en s’exposant, évidemment, à l’opprobre de l’ensemble de la maisonnée.


 


En outre, quand tout le monde est réuni, vous avez des multiples occasions de voir voler en éclats les non-dits accumulés depuis des siècles.


 


L’organisation est simple : On suit scrupuleusement le tableau noir où est indiqué : prénom, tâche à accomplir, avec qui, où et surtout, heure limite de rendu. Oui, cela paraît un peu militaire, mais quand vous aurez un aperçu des forces en présence, vous comprendrez le bien-fondé d’un agencement stratégique.


 


Bon, vous connaissez déjà : Un (et sa propension à la ramener quand il ne le faudrait pas et son lien étroit et indéfectible avec son iPhone), Deux (et sa légèreté dans tous les domaines, ses crises d’hystéries et son côté It-Girl), Trois (Trois, quoi ! Scout toujours, rebelle sans cause, avec un amour immodéré pour les animaux et un côté Caliméro magnifique) et Quatre (grande chose filiforme, amorphe, légèrement rebelle, collé à toute technologie du 21e siècle, avec un talent de leader despotique insoupçonné).


 


Je ne vous présente pas Bibi non plus (Princesse rebelle en chef, Grand organisateur devant l’Eternel – qui refuse de la récupérer avant l’heure dite, histoire de ne pas trop mettre la pagaille là-haut !-, grande collectionneuse de papiers, bouquins et autres nids à poussière, auteur névrosé, photographe patient, un MP3 collé aux oreilles et j’en passe !).


 


Voici, en introduction de la rubrique « Les aventures de la Smala », quelques spécimens récurrents :


 


Suprême : entre autres …  géniteur de bibi (entre autres aussi !) et ex-époux de Trois. Un être capable de lire en latin cinq cents pages sur la « Gaule Romaine » tout en pestant sur le fait que la « Gaule Romaine, c’est une invention de ces cons d’historiens » (pique  pour Bibi au passage !), de régenter l’ensemble de la maison en deux répliques digne d’Audiard, de tenir en haleine cinq heures durant l’assemblée sur un sujet historique et de cuisiner pour quinze personnes avec les trois merdes du frigo. Aussi connu pour sa propension aux blagues qui ne font rire que lui et sa façon de faire râler (hurler ?) Un.


 


Tante Dinde : comme son nom ne l’indique pas, Tante Dinde ne fait pas partie de la famille proche. Elle a épousé, lors du 20e siècle, un membre éminent de la Smala et, lors de son divorce, cette dernière s’est rangée à ses côtés. L’introduction d’une dinde dans le poulailler ! Tante Dinde est sympathique, drôle, toujours prête à aider, souriante, aimable et surtout obéissante. Bref, une bien belle acquisition familiale !


 


Grande Tante Augustine (GAT pour les intimes) : Autant vous le dire tout de suite, personne ne moufte quand la GAT parle. Petit un, parce qu’elle est inaudible (dû à son très grande âge), petit deux, parce qu’elle a une tendance à laisser en suspens la fin des phrases (un genre de jeu à la Motus !), et petit trois, par respect, merdus ! GAT est aussi la seule à avoir connu toutes les personnes présentes dans les albums photos du 20e siècle (quand sa mémoire veut bien marcher) ! Respect bis ! Côté caractère, c’est un peu un doberman croisé avec la hargne d’un teckel à poils durs…


 


Cousine Pétunia : la drôlerie à l’état pur. Un concentré de Lady anglaise, de Jane Birkin (pour l’allure), de Jane Austen (pour son célibat), d’Annie Cordy (pour sa voix et ses interprétations lyriques) et de joie de vivre. Cousine Pétunia, c’est le rayon de soleil de la maison. Elle ouvre les yeux le matin et tout s’illumine (j’ai dit, tout, pas tous !)


 


Cousine et Cousin « FlowerPower » : ces deux-là ne sont jamais pressés, jamais anxieux, jamais énervés, et surtout, toujours insupportables collés l’un à l’autre, à se bécoter devant tout le monde, et, ce,  depuis le début de la journée. Ils passent systématiquement la moitié du temps dans le jardin à contempler les papillons et les « jolies bestioles ». Deux grands enfants affublés d’un cas spécial :


 


Lord of the Rings : fils unique, vénéré, affublé d’un nom insupportable (Chilpéric ; les noms historiques chez nous, c’est d’un commun !), d’une intelligence qui touche au sublime, le nez constamment plongé dans les livres, les iPads et autres outils technologiques qu’il maîtrise à la perfection (et pour laquelle Quatre lui voue une dévotion héroïque), Lord of the Rings (qui ressemble étrangement à Gollum, d’où le surnom) est aussi l’être le plus atone de la smala. Un croisement improbable entre Einstein et Rantanplan.


 


Cinq et demi : l’ex-futur-ex-futur moitié de Bibi qui traîne toujours dans le coin, car adopté depuis des lustres par la smala, qui s’incruste à chaque évènement familial et qui organise des parties de cricket sur le gazon familial avec le secret espoir qu’un jour le maillet ne lui arrive pas dessus quand Lord of the Rings entend expliquer les règles « fondamentales » de ce jeu « ancestral ». A aussi eu l’idée fumeuse de graver une dalle du jardin avec un grand « bibi forever » qui provoque l’hilarité géniale de chaque invité !


 


Cousin Edmond : L’archétype du snob, qui arrive avec son assistante, son chauffeur, son siège pliant, sa théière, son thé en vrac, son café, ses biscuits pour cinq heures, son plaid, son chien tout pourri et rikiki et surtout avec cette mauvaise foi mondiale qui fait rire toute la tablée. Un repas sans Edmond, c’est un déjeuner sans pain, sans vin, sans Boursin®… De nature peu expansive, il lui arrive de ne pas parler pendant des jours. Un bonheur lors de certains tête-à-tête matinaux.


 


Evidemment, gravent autour de ce noyau les frères, sœurs, cousins, cousines et autres tantes, oncles et affiliés (ex, futur) de chacun des personnages ci-dessus évoqués.


 


Alors, quand vous rajoutez à cela les animaux, les petits manies, les crises de nerfs, les plans de table, les menus à organiser, les courses à faire, le ménage, la répartition des chambres, les moqueries, les vexations, les humiliations familiales, les grandes déclarations d’amour (oui, enfin, un simple « ça va, toi ? Hein ? », c’est déjà de l’ordre de la déclaration enflammée chez nous !) et, autres bisous dans le cou des FlowerPower, vous pouvez aisément comprendre que la smala va vous tenir compagnie pendant quelques temps…
 
Si vous le voulez bien !


 


Article rédigé par ItemLiz Girl.



 
 


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Mes aventures chevelues part II (suite et fin en fait) BEAUTÉ




Oui je sais le suspens a été insoutenable, tu n’as pensé qu’à ça pendant tout le week-end et tu te demandes aujourd’hui quelle tête je peux bien avoir !


Nan ?
Ah bon.
M’en fiche je vais quand même te raconter tout ça.


Bon alors samedi matin je me suis réveillée tôt excitée que j’étais d’aller virer cette couleur pisseuse de ma tête, évidemment j’étais en avance pour le rendez-vous et je trépignais d’impatience. Le gentil coloriste m’a pris en charge non sans faire une drôle de tête, en même temps vu ma tronche je le comprends, et la morale par la même occase. Il avait raison c’était vraiment une catastrophe !


Bref il a fallu recréer mon fond de couleur et couvrir cette masse orangée-blondasse-mochasse. Alors la technique employée n’est pas une coloration pure et dure mais ça a consisté en l’application d’un vernis. Si j’ai bien pigé c’est un produit coloré mais qui ne pigmente pas le cheveux, c’est sans ammoniaque et ça tient environ six semaines. Oui t’as compris que cette idée débile de couleur maison m’oblige désormais à aller chez le coiffeur plusieurs fois…


Le coloriste m’a donc appliqué ledit vernis, je t’avoue que j’avais un peu la trouille du résultat pendant le temps de pose, mais une fois que Céline a commencé à me faire le brushing j’ai été absolument ravie, tellement que je m’extasiais et criais comme une gamine ! Bref chuis trop contente, ça fait forcément plus foncé que ma couleur naturelle mais en même temps ça reste très naturel.


Alors verdict en photo:



Avant




je t’avais dit qu’il y avait de la racine !



bouh !



Après




mieux hein ?




‘tain la tête de vainqueur…



le brush !


Bon voilà chais pas ce que tu en penses mais en vrai je t’assure que c’est drôlement mieux et très joli. En passant je tiens à dire à Fleur de Cerise qui cherchait un coloriste à Marseille que je trouve que celui-ci se débrouille très bien !


Voilà mes aventures sont finies (enfin je l’espère) et je me sentirai mieux d’ici quelques temps quand j’aurai retrouvé ma couleur naturelle, promis je ne recommencerai pas mes bêtises !



Que t’en penses ?



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Mes aventures chevelues part I BEAUTÉ




T’en souviens que l’autre fois je m’étais fait une coloration maison et que j’avais été moyen contente du résultat. A dire vrai passé les premiers jours je m’y suis habituée et au final j’étais pas ultra heureuse mais ça passait.


Ouais sauf que ça fait maintenant deux mois et que je te dis pas la tronche que je me paie désormais. Que je t’explique. Je pensais que c’était somme toute pas trop éloigné de ma couleur naturelle et que même en repoussant ça n’allait pas être la cata. Qu’est-ce que je peux être naïve parfois ! (tout le temps en fait !)


Bref deux mois plus tard mes cheveux ont poussé et j’ai le méga effet racine bien moche qui me dégoûte. Ouais j’ai la phobie des racines, c’est un truc que je supporte pas. A la base je suis blonde moyen avec des mèches plus claires grâce au soleil. Sauf que là en repoussant on dirait que j’ai les cheveux châtains (forcément les racines sont toujours plus sombres que le reste de la chevelure tu me diras). Bref je n’en dors plus la nuit.


Que je te dise en plus cette couleur m’a totalement desséché ma crinière, mes cheveux sont ternes et tout moches, bouh j’ai envie de pleurer !
Je passe donc mes nuits avec les cheveux enduits au choix de masque pour cheveux secs, d’huile d’olive et autres astuces pour les nourrir un tant soit peu.


Voilà une belle connerie que je ne referais plus jamais, une fois de plus j’aurais du écouter mme beauté qui n’arrêtait pas de me dire que ma couleur naturelle était jolie, qu’il fallait pas que je les teigne, blabla (m’est avis qu’elle était un peu envieuse de mes cheveux !) Bref on ne m’y reprendra plus, promis, juré, craché !


Du coup tout à l’heure on est passées voir Céline notre coiffeuse adorée pour que je lui demande conseils.
Verdict: faut reprendre le fond de la couleur mais forcément ce sera plus foncé que ma couleur naturelle pour rattraper cette catastrophe. Elle m’a dit qu’elle laisserait aussi des mèches plus claires, en gros elle va pas me colorer de façon uniforme toute la tête.


Dis comme ça c’est pas super bien expliqué, moi-même chuis pas sûre d’avoir tout pigé mais je lui fait entièrement confiance et comme mes cheveux et moi c’est une histoire d’amour je reposerai bien toutes les questions histoire d’être sûre du résultat final et surtout surtout être sûre de ne plus avoir ces racines empoisonneuses.


Ah oui je t’ai pas dit mais je vais y aller demain matin, pour une fois je me suis décidée rapidement (ça mériterait presque un cierge à la Bonne Mère ça !) passque là je peux plus me voir avec cette couleur et je veux que tout ça ne soit plus qu’un mauvais souvenir !


Croises les doigts pour moi afin que tout se passe bien hein !


La suite au prochain épisode, je te montrerai tout ça !



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