Une semaine sur la blogosphère #31 BEAUTÉ

 

Il est des amours autres que physiques, des histoires qui durent par delà les années et la distance. Malgré la séparation, les trop courtes retrouvailles, quelquefois seulement une fois par an, il est des fratries exceptionnelles que peu de personnes savent comprendre. Alors oui, j’ai pleuré comme un enfant pour cette belle lettre que m’a adressée P’tite Fée via son blog. Tous ces mots que nous n’avions pas su nous dire, toutes ces choses qui nous font si mal. Un magnifique message rempli d’Amour avec un grand A. Merci petite sœur, mon cœur a mal si loin de toi… Mais je sais que si je saigne, toi aussi.

 

Au final, c’est quoi l’Amour ? Il n’y a pas qu’une seule façon d’aimer. On peut souffrir de différentes façons lorsque l’on est trahi par une personne très chère à notre cœur, je laisse la parole à Ingrid et ses mémorables oublis.

 

L’Amour, c’est aussi devoir faire face à la jalousie, jalousie inconsidérée mais qui vous pourrit la vie plus vite que votre ombre. Une relation ne peut pas perdurer quand on doit s’oublier soi-même pour le bénéfice d’un autre… Mais lisez plutôt Happy Hippie Shake et vous comprendrez qu’on n’a que le bonheur que l’on se fait.

 

L’Amour, c’est ne pas forcément vouloir suivre les règles ou les idées préconcues que nos chers parents ont cherché à nous inculquer. Chimères et Tourbillons a choisi un homme qui lui correspond, au lieu de choisir un homme qui lui apporte sécurité matérielle et financière… Un choix qu’elle a payé chèrement par des critiques assasines, mais des années plus tard, qui donne raison à qui ? Bercée d’illusions à ne pas confondre avec le véritable amour.

 

Epouser une personne, c’est aussi épouser sa famille, ses amis… Chose dont on se passerait volontiers, avouons-le avec sincérité. On a beau être sociable, quand tous ces gens prennent une place considérable dans votre petite vie rêvée à deux, il y a comme un hic avec Marie Harmony. Sa famille, ses amis et leurs emmerdes !

 

Et puis un jour, malgré tous ses efforts, malgré tout l’amour qu’elle a été capable de porter à bout de bras, elle s’enfonce inexorablement dans la souffrance. Souffrir de devoir s’avouer que non, son amour n’aura pas résisté à ce drame qui a brisé sa vie, souffrir de s’être menti à soi-même, souffrir de savoir que quoi qu’elle fasse, quelque chose s’est brisé. Vagabonde nous livre sans pudeur cet autodafé.

 

Le mot de la fin, avec Les filles pensent que, les séparations entraînent une modification des sens. La vue, le toucher, l’odorat, l’ouïe et le goût ! Ou comment passer de « l’homme de ma vie » à « c’est quoi cet espèce de… ».

 

On se retrouve la semaine prochaine si vous voulez bien, avec mes nouveaux coups de cœur. Bonne semaine à toutes !

 

Article rédigé par Petite Salamandre

 
 

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