Une semaine sur la blogosphère #22 BEAUTÉ

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Ecrire pour aller mieux, écrire pour lâcher du lest, dévoiler une partie de nous-même que nous n’acceptons qu’à contre-cœur mais qui est bien là, omniprésente. Que savez-vous de la Solitude ? Découvrez le avec moi, dans ce texte autobiographique sans pudeur ni rancœur.
 
Comme l’a si bien écrit Fleur de Menthe, la solitude ne se subit pas, elle ne devrait pas s’imposer à soi, mais être un choix. De par notre passé, nous pouvons choisir de vouloir savourer pleinement ces moments seul en tête à tête avec nous-même, ou les subir pour X raisons. Un même sujet traîté sous deux angles très différents.


 


Le bonheur existe-t-il ? Sommes-nous capables d’être heureux en fait ? Notre quête du bonheur n’est-elle tout simplement pas un pèlerinage impossible ? Avec des si


 


Ou tout simplement comme Anne Laure T avoir une tendresse particulière… pour ces gonzesses sans manières, ces êtres capables de juger sans connaître, de tout savoir d’une personne sans même lui avoir accordée l’ombre d’une chance !
 
On choisit ses amis, rarement sa famille ! Un pépin dans la pomme soulève l’épineux problème de l’appartenance au groupe primaire, ou comment parfois elle peut avoir légèrement l’impression de détonner dans l’ensemble d’origine. C’est grave Docteur ?


 


J’ai râlé avec Vanie, un douloureux sujet abordé, le suicide vu sous un autre angle, celui du tort que le désespoir d’un être humain peut causer à un ou plusieurs êtres. L’égoïsme dont nous pouvons faire preuve, ne voulant plus de notre propre vie, nous pouvons gâcher celles de malheureux innocents qui auront eu le malheur de croiser notre route à la mauvaise heure, au mauvais moment.
 
J’ai pleuré avec Chimères et Tourbillons, l’histoire qu’elle nous conte, celle de ce couple en mal d’enfant, ce couple à qui il manque l’essentiel pour être heureux, pour que tout coule de source. Pourquoi pas toi ? Je sais ce qu’ils ont ressenti, je sais ce qu’ils ont souffert, je sais que le chemin de l’enfer est pavé de bonnes intentions, mais qu’il y mène toujours !


J’ai compris avec A mood of soul ce qu’avait ressenti une personne qui m’est très chère lorsque la petite phrase était tombée, dans son enfance. Comment peut-on dire à un enfant que si on avait eu le choix, on l’aurait fait partir plutôt que de se dire que la vie nous faisait un merveilleux cadeau. Être capable de pardonner, je tire ma révérence.


 


Tu vas te dire que je suis devenue bien triste dans mes lectures, la vie n’est pas toujours rose bonbon, les oiseaux ne chantent pas toujours, demain est un autre jour, soit ! Alors pour finir sur une note de gaieté, je vais convoquer Onee-Chan et sa muse, et tu comprendras que chaque blogueuse a quelque chose à dire, quel que soit le sujet.


 


Mais je vais juste te rappeler une règle, avec Isabel, le français (le vrai, celui que l’on nous a appris sur les bancs de l’école, il y a très longtemps)
se meurt ! Alors quelques fautes de frappe, on en fait toutes, mais truffer un article de plus de fautes qu’il n’en faut pour le dire, c’est quelque part mener le blog et la blogosphère à sa perte (on ne tient pas des skyblog, nom d’une pipe !).


 


On se retrouve la semaine prochaine si vous voulez bien, avec mes nouveaux coups de cœur. Bonne semaine à toutes !


 


Article rédigé par Petite Salamandre



 
 


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