Les vernis Butter enfin en France ! BEAUTÉ

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Taraudée par l’envie de découvrir enfin les fameux vernis Butter London, je me suis jetée comme une folle sur le lien gracieusement indiqué par Laurence. Et je confirme : les fameux Butter London, les vernis chic et soft sont bien disponibles en France. Je tiens mon scoop de la mort, là. Enfin, pas vraiment puisque c’est Laurence qui a levé le lapin.


 


Quasi inconnue en France, la marque fondée en 2005 a pour base line : nous croyons dans le rock ‘n’ roll, la Grande Bretagne et la mode. Un programme so british auquel j’adhère à 200 %. A l’origine créées pour les manucures de défilés, les couleurs sont choisies chaque année de manière à s’harmoniser aux tendances du prêt-à-porter. Le vernis n’est plus considéré comme un accessoire de mode mais comme la touche ultime de votre tenue. Un concept tout simple, mais qui fonctionne remarquablement : Butter m’a tapé dans l’oeil par ses couleurs originales et discrètes à la fois. Parfait aussi pour un cadeau : les flacons sont tellement classe qu’on les offrirait juste pour le plaisir de l’oeil.


 


Donc un soir à 21h18, je suis allé sur Univeda, le distributeur exclusif, j’ai hésité (ce n’est pas raisonnable, non, non) et j’ai compulsivement tapé les chiffres de ma CB pour faire une razzia. Je voulais juste acheter un vernis pour le concours des 30 000 pages mais j’ai un peu craqué sur Jaffa, MacBeth, DiscoBiscuit, Come to Bed (à ma décharge, il y avait une promotion de 15% sur les vernis, à 11 euros l’unité frais de port inclus, j’avoue, j’ai eu le raisonnement de l’Accro du Shopping).


 


Et comme je suis gravement fifille, j’ai coché la case colissimo au lieu de me contenter de la livraison en Lettre Max, juste parce que j’avais lu sur un blog que les colis étaient trop mignons (et je voulais un colis trop mignon, moi aussi).


 






De gauche à droite : vernis MacBeth, Come To Bed, Disco Biscuit, Jaffa


 


Bon, ça me servira de leçon : le colis était en effet très mignon (enveloppé de papier de soie aux couleurs du printemps : vert et rose), en revanche La Poste l’a expédié à un bureau de poste qui n’est pas le mien et j’ai frémi pendant 24 heures à l’idée d’avoir perdu mes bébés. J’ai surtout galopé d’un bureau de poste à un autre pour les récupérer ; c’est bien fait pour moi, ça m’apprendra à faire la fille, du coup j’ai fait mon jogging.


 


N’empêche que ça valait le coup. J’ai pu tester les fameux Butter. Comme une bonne nouvelle n’arrive jamais seule, Lady E. m’a rapatrié le Branwen’s Feather des Etats-Unis par l’intermédiaire de sa soeur qui y était pour quelques jours en voyage d’affaires en mission vernis + mascaras + Levi’s + Converses… (merci, merci, grande soeur de Lady E).


 




Branwen’s Feather


 


Le Graal s’est-il révélé à la hauteur de mes espérances ? La réponse est oui… et non. Comme d’habitude, je l’ai testé sans top coat (mais je sais bien qu’il n’y a que le top coat qui peut sauver votre vernis 5 jours !). J’ai essayé le Come to Bed puis le Branwen’s Feather sur les mains, et le Disco Biscuit sur les pieds.


 


Points positifs :


 


- Les couleurs ont une vraie personnalité et malgré des teintes assez fofolles restent très facile à assortir avec une tenue. On sent qu’il y a la patte d’une vraie coloriste derrière les créations : des tons un peu fanés mais pas fades.


- Le flacon est beau, beau, beau, avec ses petits détails rétro (un oiseau couronné sur le dessus du pinceau, une main sur le côté du bouchon…


- Pas de trucs nocifs tout pourris qui se termine -ben, -hol, et -ide, depuis son lancement Butter a clairement banni les produits toxiques de ses compositions


- Conséquence logique de ce choix : l’odeur est légère et s’évapore vite


- Le vernis s’enlève très facilement


- La couleur ne teint pas l’ongle


 


Points négatifs :


 


- Le pinceau rond ! Comme le vernis est très fluide, ça finit en pâtés et il faut repasser. Le vernis ne sèche pas trop vite, donc on s’en sort mais il faut passer 3 couches pour une bonne homogénéité de la couleur.


- La tenue : 48 heures avant qu’il ne s’écaille. Argh !!! Top coat obligatoire, donc.


 


Maintenant, passons à la deuxième partie du test : la société Univéda. Et là, je mets + 1000 points.Verdict : un cran en dessous d’OPI pour la tenue et la facilité de pose. Mais des couleurs 1000 fois plus sobres tout en étant originales. Je reluque déjà le Queen Vic, le Dosh, le Artful Dodger. Quitte à mettre du top coat…
 


De gauche à droite : vernis Butter Queen Vic et Artful Dodger


 


Comme, hélas, je suis une poulette comme les autres, 150 autres poulettes ont eu la même idée que moi et le vernis Disco Biscuit était en rupture de stock. Univéda m’a appelée pour s’excuser du désagrément et me prévenir du départ du deuxième colis.


 


J’ai reçu la première commande en 48h, la deuxième (postée en lettre max) en 24h. Et Univéda a mis dans les 2 colis une pluie d’échantillons (ce qui est affreusement pervers de leur part, disons-le).


 


Au vu de la gentillesse et de la rapidité déployées par Univéda, je vous le recommande les yeux fermés. Une quarantaine de couleurs disponibles : du rouge classique « Come to Bed » à la plus flashy « Cheeky Chops » couleur banane !


 


Chez Univeda, 15,90 € le vernis, frais de port offerts à partir de 59 euros (4 vernis, par exemple).
 





De gauche à droite, en piste pour cet été : Tea with the Queen, Dosh, Primrose hill Picnic, Slapper


 


Article rédigé par Stelda




 
 


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