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La So News du Jour : un traitement préventif contre le SIDA ? BEAUTÉ

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En tout cas, on s’y dirige ! Un panel d’experts a recommandé jeudi à l’Agence américaine des aliments et des médicaments (FDA) la mise sur le marché partielle du Truvada, un traitement de prévention contre le virus du sida produit par le laboratoire Gilead Sciences.


 


Des études cliniques ont établi que ce traitement à base de prise quotidienne de pilules était efficace à plus de 90%. Mais ce taux chute à 44% si le médicament n’est pas pris tous les jours. Et ce point constitue un motif d’inquiétudes relevé par des médecins et des militants d’association de lutte contre le VIH entendus par le comité d’experts.


 


« Même si ce n’est pas la panacée, cette approche peut éviter de nombreuses primo-infections et avoir des conséquences spectaculaires sur la transmission du VIH dans le monde », a toutefois estimé le Dr Kenneth Mayer, du Fenway Institute, qui qualifie la décision du comité d’experts de « journée sensationnelle pour la prévention du VIH ».


 


Quand verra-t-on enfin la fin de cette maladie ?


 


Source Reuters


 




 
 






Une maman en guerre contre l’invasion de poux BEAUTÉ



Un magnifique week-end ensoleillé, le bruit des vagues à quelques mètres, le chant matinal des oiseaux. Je me prélasse dans mon hamac et me délecte d’un repos dominical bien mérité. Mes filles jouent à la poupée et éclatent de rire entre deux « grattages » de cheveux. Elles ont commencé cet étrange rituel depuis la veille. Je n’y prêtais guère attention, jusqu’à ce que ces séances de « grattouille » deviennent nerveuses et contagieuses. Direction la douche et un bon shampoing. Je mets cela sur le compte des bains de mer répétés qui agressent les cheveux les plus robustes. Séance de démêlage pour la petite, pleurnicheries et hurlements à prévoir, un vrai calvaire pour ses cheveux épais et frisés. Du métissage naît la beauté ? Ce n’est pas un peigne qui a inventé cet adage !


 


Je retiens un cri d’horreur, une bestiole répugnante se balade sur son épaule. Je me penche et la dévisage dans un face-à-face haineux. Le verdict est sans appel : c’est un pou. Je creuse sa chevelure, dans l’espoir que cela soit une hallucination. Hélas… une colonie de vacances a élu domicile dans sa superbe tignasse. Les aïeuls, les grands-parents, les parents, les enfants, les tantes, cousines, neveux, oncles, tantes et tous les amis se sont donné rendez-vous sur son crâne. Je tressaille de rage. La guerre est déclarée. Le cauchemar va recommencer : les produits en pharmacie à peine efficace, à haute toxicité et aux prix outranciers. Il faut en tester une dizaine pour trouver celui qui nous accordera une brève accalmie jusqu’à la prochaine salve des lentes écloses. Le peigne anti-poux impossible à passer dans nos cheveux. Entre les cheveux crépus/locks de l’aînée et moi-même et les cheveux très frisés de la petite, ce peigne rendra l’âme avant même d’atteindre nos crânes ! Je me remémore le carnage qui nous attend. Nos cuirs chevelus ravagés, nos cheveux cassants et desséchés. Les poux finiront par s’en aller, au bout de plusieurs mois d’acharnement et nos cheveux avec ! Une bien triste bataille s’engage et tout le monde sera perdant. Nous sommes dimanche, la pharmacie est fermée je ne peux accepter de les laisser dans cet état. Et puis à quoi bon, ces saletés pharmaceutiques nous ont laissé de bien mauvais souvenirs et à mon portefeuille aussi.


 


Restons calmes, il existe une autre issue. Je me remémore les sages conseils de ma mère que je n’avais pas voulu écouter autrefois, tant je trouvais ses idées farfelues. Les remèdes de grands-mères, c’est pour les gogos. Mais au point où j’en suis… Direction la cuisine, bicarbonate de soude ou huile d’olive et vinaigre de vin. Je ricane nerveusement, ça ne servira rien à part cuisiner une vinaigrette ! Huiles essentielles de tea-tree et lavande. Point important : Traiter tous les membres de votre famille en même temps. Pas de quartier !


 





Source photo : M-C.V

 


Étape 1 – Je mélange une cuillère à soupe de bicarbonate de soude à un verre d’eau tiède, frictionne nos cheveux pendant 5 minutes et laisse poser 30 min à 1 heure sous un bonnet de bain (ou un sachet plastique maintenu avec un élastique). Le but est de faire suffoquer ces sales bestioles et d’aider à décrocher les lentes.


Étape 2 – Utiliser un shampoing neutre ou doux et mélanger 10 gouttes d’huile essentielle de tea-tree et 10 gouttes d’huile essentielle de lavande dans celui-ci. Frictionner et laisser poser quelques instants. (Une autre méthode pour les adultes ou poux résistants : Pour une base de 300 ml de shampoing, préparer et ajouter 10 gouttes d’HE de lavande, 10 gouttes d’HE de géranium, 10gouttes d’HE de citron, 10 gouttes d’HE d’eucalyptus et 10 gouttes d’HE tea tree). Utilisez, si possible, le peigne anti-poux pour retirer les poux morts et les lentes. Un simple peigne ou vos doigts peuvent déjà aider à les faire glisser. Pour les locksés, les shampoings répétitifs aideront à les supprimer au fil du temps. Avantage : Les cheveux sont doux, détoxifiés et brillants, loin de la paillasse desséchée laissée par les produits pharmaceutiques.


 


Étape 3 – Rincer les cheveux avec du vinaigre de vin tiède (à mélanger avec de l’eau pour les enfants, sinon gare aux hurlements !), cette solution finira de décoller les lentes. Mettez de la lavande ou encore du lavandin derrière la nuque, les oreilles et à la base du cou de votre enfant au coucher pour éviter une ré-infestation extérieure et avant le départ à l’école, pendant toute la période propice aux poux.


 


Étape 4 – La plus pénible, mais ô combien nécessaire. Laver à 60° toute la literie et les vêtements qui ont été utilisés. Pour peluches/poupées ne pouvant être lavées, enfermez-les dans un sac-poubelle pendant 3 à 4 jours. Un pou ne survit pas plus longtemps sans contact avec un cuir chevelu. Ou mettez au congélateur pendant 48h. Pour les canapés, fauteuils et matelas, utilisez un mélange d’eau, de lavande, eucalyptus, tea-tree et citron en pulvérisation (bien secouer le flacon avant chaque utilisation) pour faire déguerpir les poux baladeurs.


 


À noter : ces étapes sont à renouveler à 7 et 15 jours (ou 4 fois sur 12 jours selon vos constatations) pour éviter les éclosions des lentes survivantes. Il existe aussi la méthode à l’huile d’olive à la place du bicarbonate de soude, mais cela n’a pas fonctionné pour nous, nos cheveux étant trop épais et l’huile difficilement rinçable. Bien entendu si vos poux sont des mutants, rendez-vous chez un pharmacien compatissant ou votre médecin.


 


Article rédigé par M-C.V



 
 


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Comment lutter contre le froid en conservant sa dignité modesque ? BEAUTÉ




 


En ces périodes de grand froid, toute fashionista qui se respecte se doit de multiplier les combines pour atteindre ce but ultime. Parce qu’il n’y a rien de plus énervant que de choper un rhume pour éviter un fashion faux pas. Que celle qui n’est jamais tombée malade en sortant sans foulard me jette la première pierre.


 


Mais les risques sont grands de ressembler à un bonhomme de neige : Uggs, Damart ou chaussettes (très) épaisses sont nos amis. Car parfois, le froid prend le dessus sur le style.


 


Voici un petit recueil des solutions qui s’offrent à vous :


 


1) Empiler les couches : enfiler un petit haut sous un pull, c’est la garantie d’avoir chaud. En plus, on peut varier les plaisirs en remplaçant le haut en question par une chemise, et jouer avec les cols.


 


2) S’envelopper dans une grosse écharpe en laine (de préférence jolie) : elle réchauffe le cou et on peut la remonter jusqu’aux yeux. Ressemblance avec un terroriste maximum, mais froid minimum. On peut même demander à sa maman ou à sa grand-mère de nous la tricoter. Ou apprendre le tricot, feignasses !


 


3) Porter des gants (pas des mitaines) : parce que quand on a froid aux mains, on a froid partout, même si on porte une combinaison de ski. Ils protègent aussi les mains des vilaines gerçures hivernales qui font bien mal et qui piquent quand on se lave à l’eau chaude.


 


4) Accumuler les collants : c’est encore plus chaud qu’un pantalon, et ça évite l’étape pénible du collant sous le jeans. En plus, ça permet de porter des robes en hiver, même légères.


 


5) Privilégier les chaussures un peu montantes (type bottines ou bottes) : alliées à des chaussettes. Ainsi, on lutte activement contre cette bande de cheville sympathique, trop souvent à l’air libre. Toi aussi tu la visualises cette petite bande glacée qui refroidit gentiment tout ton corps ?


 


6) Avoir un bon manteau : qui contient de préférence un pourcentage de laine élevé. Oui parce que sinon, cela ne sert à rien, sauf à faire joli. Et ce n’est pas ce que l’on demande à un manteau d’hiver.


 


7) Bannir les manches trois quart : parce que c’est un supplice de sortir les avant bras nus sous son manteau. D’ailleurs les pulls à manches courtes, on en parle ?


 


8) Ne pas négliger les matières : on privilégie la laine, l’angora, le cachemire. Oui, c’est plus cher, mais vous leur direz merci quand vous sortirez sans crainte par -10°C.


 


Laquelle choisirez-vous ? Personnellement je suis adepte de la chemise sous le pull. En plus, les gens croiront à tort que vous multipliez les pulls. Au final, je tourne avec quatre ou cinq tout l’hiver. Et ça, c’est une économie non négligeable : recycler ses chemises d’été pour renouveler sa garde robe d’hiver. Elle est pas belle la vie ?


 


Source de l’image : www.1jour1actu.com


 


Article rédigé par Lena.


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Ma ville contre ta campagne ? Jamais ! BEAUTÉ



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Rien ne m’agace plus que les personnes, persuadées de détenir La réponse, et qui tentent par tous les moyens de te convaincre que leur point de vue est l’unique valable. Pour réveiller un débat un peu mou, réunis des citadins et des ruraux, lance une anodine phrase du type « non mais la vie à la ville, c’est de la folie », sers toi un verre de vin, et attends. Ça risque d’être houleux.
 
Dans le débat ville/campagne, je fais partie de ceux qui ont eu la chance de connaître les deux : une enfance à jouer au ballon dans la rue à la campagne et une adolescence dans le tumulte de la ville. Le « je monte à la capitale » a été dicté par un non-choix. Si je voulais entrer dans l’école désirée, je devais passer par la case parisienne. Bon gré mal gré, j’ai quitté ma garrigue et les balades qui sentent la lavande et le thym, pour affronter le métro et la pollution. Aujourd’hui, à y regarder en arrière, je ne regrette absolument pas ce déménagement, et il serait bien difficile de me faire quitter le béton pour les vertes prairies.
 
J’entends mes amis provinciaux qui hurlent au scandale quand il faut 45 minutes pour faire 5 kilomètres, tourner 15 minutes pour trouver une place, payer 30 euros pour quelques heures de parking ou quand ils réalisent le prix des loyers comme celui du picon-bière. J’entends. Mais cela ne suffit pas à me convaincre des inconvénients de Ma ville. Comme ça pêle-mêle, la grande ville possède des avantages non négligeables pour moi :
des magasins. Boulangerie, supérette, caviste, primeur, librairie… Ouverts.
des musées et des expositions. Plein. Partout. Pour toutes les envies. Tout le temps.
des cinémas. A quelques minutes à pieds ou quelques stations de métro. Qui passent autre chose que les nouveautés blockbusters.
des restaurants et des bars. Pour tout type d’envie, à n’importe quel moment.
des magasins (encore). De vêtements, de chaussures, d’accessoires, de tout, de rien.
 
La ville m’offre le choix, tout simplement. Celui de faire comme de ne rien faire. Et je trouve ça précieux. Plus précieux que voir un bout d’océan quand j’ouvre ma fenêtre (l’océan c’est surfait).
 
Bien entendu, je ne sors pas tous les soirs, je profite de mon appartement hors de prix en me calant dans mon canapé devant un plateau-télé acheté chez le traiteur italien en bas de chez moi. Ou je passe à la bibliothèque emprunter un livre sur le chemin de la maison pour lire au coin de ma cheminée. Ou je fais un saut chez mon caviste à 20h30 avant de me rendre à un dîner chez des amis.
Certes, je n’ai pas de potager. Ça tombe bien, je n’aime pas jardiner.
Certes, j’ai une vie un peu plus chronométrée. Ça tombe bien, je ne suis pas patiente.
Certes, je vis dans 80m2 quand je pourrais avoir une maison de 140m2. Ça tombe bien, habiter dans une maison m’angoisse.
 
Alors oui, il me faut affronter les autres : les touristes, les Parisiens (se décline aussi avec les Marseillais, les Lillois, les Lyonnais, etc) et ce n’est pas une mince affaire. Certains diront que je paie cher (au propre comme au figuré) le prix de cette apparente liberté. Peut-être. Toutefois, tout cela me convient. Je connais les avantages comme les inconvénients de cette vie citadine, et, je persiste et signe. J’aime aller à la campagne, de temps en temps, et jamais trop longtemps.
 
Et bien heureusement que chacun a des besoins différents, sinon nos villes seraient surpeuplées ou nos campagnes devenues des villes. Chacun trouve son bonheur, qu’il soit dans un lopin de terre, une place de village, un immeuble haussmannien ou une tour ultra moderne.
 
Alors, arrêtez d’essayer de vouloir me persuader que la campagne est meilleure que la ville, je suis très bien là où je suis !


 


Photo de Paris réalisée par Une Pétasse.


 


Article rédigé par Une Pétasse.



 
 


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L’image de l’homme dans les magazines : pour ou contre ? BEAUTÉ



J’ai 34 ans (et quelques mois), je suis plutôt une femme « contemporaine » qui aime se pavaner devant une gent masculine « contemporaine », vous aussi non ?


 


Dans les magazines de nanas que je bouquine plutôt fréquemment, je suis de plus en plus choquée, oui c’est le mot, du choix des publicitaires en matière de mannequins homme, ces fameuses publicités qui sont sensées nous faire acheter…


 


OK, en matière de mannequins féminins, on est loin de la femme de la vraie vie, on est plutôt proche de la planète adolescence en manque d’alimentation. Et si jusqu’ici, on parlait peu voire quasiment pas des physiques masculins dans les magazines, j’ai décidé de vous en parler moi !


 


Prenons le Grazia du 5 au 11 avril, avec la splendide Monica Bellucci « on the cover », cette actrice ancien mannequin, qui est l’image même de la femme contemporaine, avec une prestance, de l’allure… qui a la classe même quand elle parle ! Feuilletons le mag…


 


paul-and-joe-publicite


 


On a Paul&Joe, ambiance « je suis jeune, beau, trop bronzé et jardinier de temps en temps », Sandro lançant la nouvelle mode du surfeur de 16 ans qui porte le smoking comme personne, American Vintage où la cool attitude donnerait presque envie d’y croire, IKKS et la famille du grand frère de 19 ans posant avec sa jumelle et la petite dernière.


 


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Les publicitaires ne sont pas les seuls coupables, les magazines aussi : ici, pour une séance photos intitulée « Gatsby le magnifique », le héros de Scott Fitzgerald est un jeune garçon de 20 ans tiré à 4 épingles, tout droit sorti de chez le coiffeur et du placard de mon meilleur pote Olivier, dont les orientations amoureuses sont plus du côté de la gent masculine… c’est quand même un contresens, LE contresens, de choisir ce joli mec tout juste sorti du lycée, pour représenter le Gatsby de 2013, non ? Regardez le film de 1974 de Jack Clayton, le personnage de l’élégant et mystérieux Jay Gatsby était joué par Monsieur Robert Redford !


 


 
gatsby


 


Et enfin, tout à la fin, je tombe sur la publicité Elevenparis avec un Lenny Kravitz complètement trop BEAU, il a de l’allure LUI… merci Elevenparis !


 


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Et pourquoi il est BEAU, charmant, limite envoûtant, parce qu’il ressemble un peu quand même à MON HOMME ; ils font partie de l’espèce masculine plus proche de la crise de la quarantaine ou de la cinquantaine que celle de l’adolescence ; c’est leur imperfection qui fait le fameux sex-appeal, ce soupçon de barde de flémard, ou de coiffure négligée, ou de teint de peau pas toujours lumineux. N’est-ce pas tout cela associé à un regard, à une allure de MEC qui font qu’on craque, nous, les femmes ?


 


Cet article n’est pas un plaidoyer… quoique… mais il faut peut-être clamer notre ras-le-bol plus fort pour que nos marques, nos mag, arrêtent de nous vendre des hommes trop lisses ! Allez-y, criez, râlez, et commentez !


 


Source images : magazine Grazia du 5 au 11 avril 2013


 


Article rédigé par Les Coquelicots de Jeanne.


 
 


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Lutte contre les pellicules BEAUTÉ




Les filles aujourd’hui je vous parle d’un problème pas glam’ pour un sou mais on sait bien que tout n’est pas glam’ dans la vie !
Hé oui je vous parle des pellicules… Les pellicules sont des fines squames de couleurs blanches provenant du cuir chevelu, elles peuvent être sèches (dans ce cas elles sont dues à une accélération de la régénération des cellules du cuir chevelu) ou grasses (dues à un excès de sébum). L’utilisation trop fréquente de shampooings peu adaptés peuvent également entraîner l’apparition de celles-ci. Bref dans tous les cas rien de bien chouette surtout si comme moi tu portes souvent du noir.


Il y a des années de ça j’ai découvert un shampooing miracle que j’aime beaucoup, le T / Gel de Neutrogena. Il en existe plusieurs versions (2 en 1, démangeaisons, etc.), pour ma part j’ai essayé celui pour cheveux secs et celui pour cheveux gras. Jusqu’à présent je pensais avoir les cheveux secs mais lors d’un diagnostic capillaire on m’a dit que j’avais en fait le cuir chevelu à tendance grasse même si mon cheveu était sec. En fait c’est ça qui compte, comment est le cuir chevelu ce qui m’a permis d’adapter mes shampooings et de ne plus me retrouver avec le cheveu alourdi.





Ces deux formules sont top ! Réellement.
Ce que j’aime c’est le texture gel assez épaisse qui mousse très bien, pas besoin d’en mettre trois tonnes. L’odeur n’est pas franchement désagréable, bien entendu tu oublies direct l’odeur de fruits ou fleurs, ce n’est pas ce genre là mais sérieusement elle ne me déplait pas.
Pour bien faire il faut l’utiliser au moins deux fois par semaine surtout si c’est la crise pelliculaire, tu fais mousser, tu laisses agir un peu le temps de te laver et tu rinces. Si vraiment ton état pelliculaire est critique tu recommences, sinon une application suffit. Ce que j’aime par dessus tout avec ces shampooings c’est qu’ils n’emmêlent pas les cheveux, aucune sensation désagréable de cheveu desséché et il m’arrive même de ne pas faire d’après-shampooing alors qu’avec un shampooing « classique » je ne peux pas m’en passer pour cause de noeuds.


Bref tu l’as compris je suis emballée, les pellicules sont traitées, les cheveux sont doux et brillants, que demander de plus ?
Ces shamppoings se trouvent en pharmacie en deux versions de conditionnements et le prix tourne aux alentours des 12 € (je ne sais plus le prix exact et ça varie tellement d’une pharmacie à l’autre).


Si tu as des pellicules n’hésite pas, il vaut vraiment le coup !





Miss tête en l’air



Je te rappelle au passage qu’il y a un concours chez notre copine Oh Beauty jusqu’à ce soir alors n’hésite pas à tenter ta chance !




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Un vaccin contre l’acné ? BEAUTÉ



Alors  là y’a de la nouvelle dans l’air je te le dis moi !


80 à 90% des adolescents sont touchés par l’acné et beaucoup d’adultes aussi (je sais de quoi je parle).


Afin de trouver un traitement moins agressif, des chercheurs américains se sont lancés dans l’aventure. Ils se sont associés pour 2 ans, au laboratoire français Sanofi qui a obtenu l’exclusivité des droits pour la recherche et le déploiement d’un vaccin et d’un traitement contre l’acné.



 


Il s’agirait d’isoler la bactérie « Propionibacterium acnes » et de la neutraliser, c’est elle la responsable des inflammations de la peau chez l’adolescent et l’adulte.



« Cette approche pourrait déboucher sur un produit immunothérapeutique  avec des avantages significatifs et un mécanisme d’action innovant,  permettant de répondre à un besoin de santé non satisfait. Ce vaccin et  traitement exploratoire pourraient aboutir à une meilleure solution pour  les nombreuses personnes souffrant de cette maladie de la peau », explique Elias Zerhouni, président Monde, recherche et développement de Sanofi.


Ce vaccin va entrer en phase de test clinique prochainement, il se peut que le vaccin sorte d’ici quelques d’années !


Est ce que tu te ferais vacciner toi contre l’acné si tu en avais la possibilité ?


Moi j’ai fait le Roaccutane plus jeune avec son lot de gros inconvénients je pense que si j’avais pu me faire vacciner j’aurais accepté.


Bonne journée


Madame beauté


 


 


 


 


 


 




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