Tous ces métiers que j’aurai su exercer BEAUTÉ

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femme-architecte


 


Je suis sûre que tout le monde aurait aimé faire un autre métier que celui exercé. Non pas que le vôtre actuel ne soit pas intéressant ou que vous ne l’ayez pas choisi, mais je parle de ces métiers qui nous font rêver et qui auraient été largement accessibles de par nos compétences et/ou notre envie…


 


Pour ma part, j’aurai pu en exercer quelques-uns, sans forcer, mais la vie m’a fait faire des choix (disons aussi que cela a été plus ou moins imposé de temps en temps). Cependant, dès mon plus jeune âge, je savais ce que je voulais faire et, désormais, je sais que j’en aurais été capable.


 


Voici  les métiers que j’aurais su exercer (dans l’ordre d’apparition dans ma liste « souhaits pour le futur ») :


 


Médecin Légiste : Un, parce que depuis que je suis toute petite, je veux savoir comment et pourquoi on meurt ; deux, parce qu’ayant effectué un stage, je n’ai pas vomi, ni tourné de l’œil une seule fois (contrairement aux étudiants présents !) ; trois parce que malgré le fait que la longueur des études me rebutait, j’aurais su découper quelqu’un. Enfin, parce que cette spécialité est de loin la plus passionnante (avec la neurochirurgie et la biologie cellulaire). « Post mortem nihil est ipsaque mors nihil »… Justement, non, j’aurais voulu savoir.


 


Photographe de guerre : Outre mon envie d’être médecin légiste et archéologue, je rêvais de tenir mon Leica® pendant n’importe quel conflit (armé ou non), à l’autre bout du monde, avec tout ce qu’il faut de trouillomètre à zéro. Bon, ça c’était quand j’avais huit ans et encore une dent de lait… après, j’ai réfléchi et le côté « je vais mourir » a surgi (oui, à huit ans, je pensais être éternelle) et j’ai un peu freiné sur mon envie de couvrir les conflits… je me suis contentée de couvrir les courses de mes cousins après les filles et de courser les animaux du jardin ! Mais cela me trotte toujours dans la tête !


 


Ecrivain avec Prix Nobel : oui, rien de moins. Je trouvais (moins maintenant avec le recul et la réserve qui est la mienne) qu’un écrivain « à Prix Nobel » (et je ne parle pas d’auteur !), c’est la classe et l’absolue maîtrise de l’imagination. Pouvoir rester enfermé(e) des heures, des jours, des mois pour écrire le livre que tout le monde s’arracherait et recevoir un prix Nobel de Littérature afin de rester pour l’éternité, là, gravé(e) sur une plaque de marbre, je trouvais que c’était idéal pour allier mes passions de la lecture, de l’écriture, de la solitude nécessaire à tout individu et la reconnaissance ouatée (oui, les Nobels, ce n’est pas non plus Open-bar à Ibiza !). Je me contente d’être un auteur.


 


Archéologue : (ou paléontologue…) Le rêve… fouiller pendant des heures, allongée, avec un pinceau, un plumeau et un crayon entre les dents (pour répertorier) l’objet hyper méga rare. Mais c’était avant… avant l’arrivée Indiana Jones sur les écrans et de trouver le garçon tellement sexy que j’ai réalisé que jamais, au grand jamais, j’en croiserais un semblable sur un chantier… Du coup, j’ai un peu abandonné l’idée de me traîner dans la poussière pour rien… J’ai finalement atterri dans les archives départementales pour mes propres recherches…. Comme quoi…


 


Styliste : J’ai toujours dessiné des croquis de mode, et imaginé des tenues à tout le monde. Il fut un temps où c’était même mon occupation de la pause-déjeuner « relooker l’équipe avec qui je bossais ». Quelques-uns doivent encore avoir les croquis pour le prouver ! J’aime le travail sur les matières, les corps, et le mouvement d’un vêtement. J’aime les couleurs, les associations de texture et surtout le tombé d’un vêtement. J’aime savoir qu’un vêtement peut rendre n’importe quel quidam plus attirant. J’aime la mode et pas forcément le luxe qui s’y rapporte. Less is MORE !


 


Général Quatre étoiles : principalement Général en chef des forces armées (tout corps… même si je préfère la Royale… Du coup, Amiral, ça le faisait aussi !). A force de jouer à la guerre avec mes cousins, de brandir les épées, les bâtons, les fourches (oui, on a refait la prise de la Bastille !), et comme j’étais la seule fille (et la cadette), ils avaient une tendance à l’obéissance totale… Du coup, je les envoyais au « front » lors des assauts et je restais « en base arrière » pour développer la « stratégie ». Touché ? Coulé !


 


Professeur d’Histoire : Ah ouais, alors là, mes chatons, cela n’aurait pas été la foire d’empoigne dans ma classe. Le premier rebelle aurait eu droit… à un café avec moi tous les matins pour lui expliquer les Mérovingiens en long, en large et en travers ! Outre le fait que j’ai renoncé à ce métier à 17 ans pour m’éviter d’endurer ce que mon prof subissait avec les Terminales C et D, être prof m’aurait bien tentée, à l’Université… avec ma chaire et mon temps de recherche, car je ne conçois pas l’enseignement ne pas être liée à la recherche. Surtout dans le domaine de l’Histoire… Bon, j’aurais enseigné la Chimie et la Physique oui… Peut-être les Sciences Naturelles… J’ai pleins de bons souvenirs de cette classe (oooohhhh hoooo !).


 


J’ai beau y réfléchir aucun autre métier ne m’aurait intéressé plus que ceux-là… J’y suis toujours attachée et se documente toujours sur ces thèmes. Alors, quand je vois ce que je fais tous les jours… Croyez-moi, ce n’est guère rock’n roll !


 


Et vous ?


 


Article rédigé par ItemLiz Girl.



 
 


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