Nous voici déjà à la mi-juin… ce qui annonce l’examen le plus détesté des lycéens de France, le BAC. Grande source de stress, il pousse certains candidats (et beaucoup de fumistes) à redoubler d’ingéniosité… pour tricher (quitte à se fouler, autant bosser ses cours).
Rappelons que tricher au BAC est passible de très lourdes sanctions : simple blâme, privation des mentions sur le diplôme et, surtout, interdiction de s’inscrire dans un établissement dispensant des formations post-baccalauréat ou de subir tout examen conduisant à la délivrance du baccalauréat ou d’un autre diplôme pour une durée de cinq ans.
Après le scandale des téléphones portables pour le BAC 2011, l’objet est sur la liste noire du gouvernement français pour 2012. « La fraude n’est pas tolérée. Aujourd’hui, les nouvelles technologies viennent pourtant à l’appui de techniques fort anciennes », a dit mercredi Jean-Michel Blanquet, le directeur général de l’enseignement scolaire du Ministère de l’Education Nationale.
« En clair, dans quelques endroits – de façon aléatoire et confidentielle – des outils de détection des téléphones portables et autres appareils de transmission seront mis en place », a-t-il ajouté lors d’une conférence de presse.
Le but est de faire peur aux éventuels fraudeurs en adoptant des mesures dissuasives « comme pour les radars sur le bord de nos routes ».
D’un autre côté, rappelons que le niveau du BAC n’a cessé de baisser au fur et à mesure des années (pour afficher des taux de réussite dépassant les 80%)… la triche est-elle encore nécessaire ?
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