Je suis un cliché : mon top des séries TV BEAUTÉ

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La semaine dernière, je vous avouais mon amour inconditionnel des séries TV américaines. J’avais commencé à vous parler de mes petites préférées en vous parlant de Friends, The Big Bang Theory, How I met your mother, Grey’s anatomy, Private Practice, Dr House ou encore Mad Men.


 


Mais ça ne s’arrête pas là ma bonne dame (oui lectrice, tu es bonne) ! Le nombre de séries que je suis est bien plus élevé… Juge plutôt de la passion dévorante qui brûle mes entrailles par la suite de la liste de mes incontournables :


 


8- Desperate Housewives


 


Oui, c’est le numéro 8, si tu suis bien depuis le début. Desperate Housewives ou le bonheur en question dans une banlieue apparemment paisible des Etats-Unis. Un classique, évidemment, qui arrive à sa fin. L’idée de visionner les derniers épisodes me remplit de nostalgie. Au-delà des rebondissements incessants, entre voisins psychopathes et tornade destructrice, ce qu’on aime surtout dans Desperate Housewives c’est cette bande de copines soudées contre l’adversité, aux caractères bien trempés, et aux personnalités très différentes. Que celle qui n’a jamais fait le test Facebook pour savoir si elle était plutôt Susan ou Bree lève la main ! Ce ne sera pas moi en tout cas. On les aime, parce qu’au fond on se reconnaît un peu en chacune d’elles : la maladresse touchante de Susan, le côté control freak de Bree qui cache en fait une grande insécurité, la profonde humanité de Lynette, mais aussi son courage et son sens de la famille, l’obsession des apparences de Gaby. Toutes se révèlent en fait bien plus complexes que le type qu’elles incarnent a-priori, c’est ce qui fait l’intérêt de la série. Ça et Mike Delfino.


 


9- Gossip Girl


 


J’ai mis du temps à y venir. A mes yeux, Gossip Girl était une série pour ados. J’ai commencé à la regarder, sur les conseils d’une amie, pendant le creux estival, poussée davantage par l’ennui que par la curiosité. Surprise, je l’ai trouvée très addictive. Alors oui, c’est un peu les feux de l’amour dans l’upper east side. Oui, ce sont des ados, puis des jeunes gens d’une vingtaine d’année qui se conduisent comme s’ils en avaient dix de plus. Pourtant, ça marche. Les aventures rocambolesques de ces jeunes nantis qui courent de showrooms en cocktails s’avèrent divertissantes. Peut-être parce que chaque saison est un tourbillon où il se passe mille choses, parce que Manhattan elle-même est un tourbillon dans lequel le spectateur comme les personnages se retrouve plongé, parce que Blair est le personnage qu’on a d’abord adoré détester (spécial dédicace à celles qui ont connu Brenda dans Beverly Hills à la grande époque), et qui est maintenant, finalement, le plus touchant, parce que la mode y est protagoniste, parce qu’au fond on se demandera toujours quelle est la véritable identité de gossip girl…


 


10- Dexter


 


Ou comment cette série réussit le miracle de construire son intrigue autour d’un serial killer et de le rendre attachant. Il faut dire que Dexter n’est pas un serial killer comme les autres. Il présente un double intérêt. D’abord il incarne une sorte de justicier paradoxal au sens où il choisit ses victimes en fonction de leur criminalité. Ensuite, il a l’avantage d’être expert scientifique au département criminel de la police de Miami, ce qui fait de lui un spécialiste aux premières loges. Je mentirais en disant que ce n’est pas un peu sanglant, il faut certes pouvoir supporter certaines scènes un peu gores, mais l’originalité de cette série en fait un must ! Pour ceux qui auraient abandonné Dexter en cours de route, sachez que la dernière saison est extrêmement bien réussie…


 


11- True Blood


 


Dans la famille série sanguinolente, je voudrais les vampires. Mais je vous préviens, on est loin des vampires fleur bleue qui brillent au soleil. Sexe, drogue et créatures fantastiques, voilà le cocktail détonnant de True Blood, une série assez crue. Parfois, je me dis que c’est un peu le Nip/Tuck des histoires de vampires. Certes le personnage principal, une barmaid niaise, est horripilant, mais les autres sont savoureux, à commencer par le vampire Eric Northman, délicieux de nonchalance et de cynisme. True Blood a de plus l’avantage d’être diffusée durant l’été, prenant ainsi le relai des séries de l’année. Mention spéciale à Alcide, le loup-garou… juste graou !


 








 


12- The vampire diaries


 


Vous voulez du vampire plus gentil ? Du vampire qui va au lycée et écrit des poèmes ? Vous le trouverez dans The vampire diaries, puisque l’intrigue prend place parmi des lycéens. Là où cela devient intéressant, c’est quand l’un des personnages, Damon, frère du gentil vampire, fait son apparition : cynique (oui j’aime les séries avec des personnages cyniques), tordu, complexe à souhait, et des yeux à damner toutes les Bella de la terre, il ramène un peu de testostérone dans l’histoire. Cet acteur réussit quand même le prodige d’avoir un regard ténébreux avec des yeux bleus. Cerise sur le cupcake, au fil des saisons, la série est de moins en moins policée, et tend à devenir un peu plus sombre. Chouette (animal nocturne approprié ici) !


 








 


13- Fringe


 


Vous avez aimé Mulder et Scully quand vous étiez au collège ? Vous aimerez Fringe. Evénements étranges, mondes parallèles et FBI composent le mélange de cette série qui se complexifie au fil des saisons, construisant une intrigue mystérieuse (on n’est pas loin des complications de Lost dans la dernière saison). En plus, on retrouve avec plaisir le Pacey de Dawson Creek, qui a bien grandi et s’en sort super bien en conseiller du FBI tout droit sorti du MIT et fils d’un savant fou. Ce savant, déjanté mais attachant, constitue sûrement le point d’orgue de l’équipe, étant à la fois l’alpha et l’oméga des événements sur lesquels les agents enquêtent, puisqu’il apporte son avoir scientifique mais que sa folie des grandeurs passée a causé une faille dans l’univers (oui oui, carrément), source des phénomènes étranges en question. Ce Prométhée repenti s’avère donc un élément essentiel de la série.


 


14- Bones


 


Dans le genre enquêtes du FBI, et fondement scientifique, Bones s’impose avec son laboratoire d’anthropologie judiciaire ultra sophistiqué et son personnage de scientifique si cartésienne qu’elle en flirte avec les limites de l’inadaptation sociale, Temperance Brennan. Chaque épisode constitue une enquête. Un corps est retrouvé en début d’épisode, l’équipe de scientifique et l’agent du FBI qui collabore avec eux enquêtent pour retrouver le meurtrier. Sauf qu’ici, on se base sur les ossements de la victime. Telle Scully en son temps, Temperance sort de son labo pour travailler sur le terrain avec son partenaire du FBI, tissant une relation particulière. Et puis quand même : on retrouve dans Bones le beau David Boreanaz, ex Angel de Buffy, encore plus charmant qu’avant.


 








 


Je vous laisse, l’épisode de Vampire Diaries de cette semaine vient de sortir à l’heure où j’écris ces lignes. On se retrouve la semaine prochaine pour mes déceptions cette fois, toujours en matière de séries.


 
 


Article rédigé par Oh My Robes



 
 


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