Comment j’ai combattu stress et angoisse BEAUTÉ

 

Enceinte de mon deuxième enfant, je venais d’apprendre une nouvelle difficile à gérer, un cancer dans la famille. Comment vivre sereinement cette grossesse ? Comment accueillir ce bébé avec légèreté ? Réussir à dissocier les deux événements : l’un est une joie, l’autre un combat…

 

J’étais tellement abasourdie par la nouvelle, paniquée par cette maladie, angoissée que j’ai décidé de faire de la sophrologie. Et pourquoi pas, après tout ? Apprendre à respirer, à prendre conscience de son corps, à le tranquilliser et puis ce moment représentait pour moi une bulle que j’offrais à mon bébé, un moment en pause, dédié au bien être…

 

Mais comment rencontrer quelqu’un de confiance ? Par quel biais ? Finalement, j’ai appelé la clinique où se faisait soigner ma mère. Pour moi, cette clinique représentait déjà une référence mais pas seulement, je m’étais dit que le premier rendez-vous serait un test.

 

La première rencontre devait confirmer, ou non, si j’allais me « laisser aller » avec la sophrologue.

 

Et lors de cette première rencontre, j’ai rapidement fermé les yeux et je me suis laissée aller à écouter sa voix, ses conseils, à apprendre à respirer, à détendre mes 5 régions, à penser à un lieu apaisant, à un mot rassurant… à la laisser me guider vers le bien-être, tout simplement.

 

Finalement, en parlant avec Karine à chaque séance, on a dévié un peu… Je lui ai parlé du permis que je souhaitais passer avant d’accoucher, deux enfants sans permis, ce n’était pas possible.

 

Or, le permis représentait pour moi une réelle angoisse, un moment de douleur, de doute, de panique, je l’avais passé déjà 5 fois et à chaque fois, rien que d’y penser cela me tétanisait…

 

Alors, on a travaillé ensemble dessus, on a parlé, on a fait des exercices de respiration, de profonde détente, j’ai pris du recul et surtout, surtout, j’ai réussi à prendre confiance en moi, à visualiser, à imaginer un examen qui se passerait bien, tout simplement, un examen où je serai à la hauteur.

 

La sophrologue m’a donné des outils pour me rassurer, savoir ce que je valais et surtout pour réussir à gérer le stress, réussir à se maîtriser.

 

Et mon permis je l’ai eu, comme ça direct, sans faute, sans peur, avec certitude et assurance. Une des plus belles victoires d’avoir eu le permis et aussi d’avoir été sereine et tranquille pendant l’examen. Et mon bébé aussi est arrivé, avec légèreté et pure joie. Tout ça grâce à la sophro.

 

Et vous la sophrologie, vous en avez déjà fait ? 

 

Article rédigé par Mo Gribouille.

 

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