10 bonnes excuses pour ne pas craquer BEAUTÉ

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Fallait que ça sorte. Mon budget fringues a suivi une courbe inversement proportionnelle à l’inflation. En dix ans, il a été divisé par mon nombre d’enfants (je n’en ai pas 10 mais 3, ce qui égale largement un budget de modasse).


 


Si j’ai encore de bonnes excuses pour flamber (voir le coup de la baignoire), j’en suis de plus en plus souvent réduite à trouver de bonnes excuses pour ne pas craquer.
 




 


Je commence à en avoir un sacré stock :


 


1. Ca ne sera plus à la mode dans deux mois


2. Je peux trouver la même veste moins chère


3. Variante : je trouverais un blouson de cuir mieux coupé chez RedSkins


4. …mais je n’en trouve pas. Ou à 300 euros non soldé. Donc, exit la veste (300 euros = 6 mois de centre aéré, hé ho!)


5. …je vais regarder sur Internet, ça sera moins cher


6. …mais je DETESTE acheter des vêtements que je ne peux pas essayer + porter tout de suite, donc je n’achète pas. CQFD.


7. Je l’ai déjà en 10 exemplaires.


8. J’ai déjà beaucoup de gris / de rose / de rouge / de kaki


9. Ca n’ira avec rien.


10. Je ne le mettrai jamais (excuse parfois inefficace, j’avoue… mais ça peut fonctionner pour vous).
11. Les talons sont trop fins, je vais les flinguer.


12. Les talons sont trop gros, c’est moche.


13. Les talons sont hauts, c’est la mort avec la poussette.


14. Les talons sont trop bas, suis pas encore en déambulateur.


15. C’est trop court, j’ai plus 20 ans


16. C’est trop long, j’ai pas encore 60 ans.


 


Bref, je suis devenue la championne du raisin trop vert.
 
OK, je suis devenue bien plus difficile sur les coupes / matières / finitions et équitable friendly. Le divorce d’avec Zara, mon ex fournisseur officiel, m’aide aussi à tenir le coup. Mais il y a des jours où je me déprime moi-même.
 
Et puis, il y a encore de temps en temps des jours de grand n’importe nawak, que je vous raconterai très vite. Par l’exemple, l’histoire d’une pochette en cuir.


 
 


Article rédigé par Stelda




 
 


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