A mon retour de vacances, mes deux terreurs de tigres de salon m’ont rappelée à l’ordre comme Easy le Chaton, ils ont deux patrons, mais comme Easy, ils n’aiment pas être indépendants, très peu pour eux ! Besoin de câlins quand ils le veulent, de miauler tous leur saoul pour me raconter leurs dernières aventures pendant mon absence (même quelques heures pour le boulot !)… Entre les miaus haut-perchés de Bonnie et les maous graves de Clyde, mes deux oreilles sont servies.
L’accès à la salle de bain et aux toilettes leur étant strictement défendu, je suis peau de vache, je leur ai carrément interdit l’accès aux étages, ils ne risquent pas de se retrouver un jour tout bleus d’avoir transgressé l’interdit ! Remarquez, ils en ont transgressé pas mal d’autres, comme de s’octroyer le confort de mes nouveaux fauteuils de bureau, pour se faire dorer la pilule au soleil dans la véranda… No comment !
A propos de soleil, il nous a bien manqué lui, depuis le début du printemps, si toi aussi tu ne vis pas au Sud, sous le soleil, tu as sans doute eu envie comme moi d’un séjour sous un climat plus clément ! Mais pour avoir vécu là-bas (Sud-Ouest, côte atlantique) comme Madame Zazaformars, je sais que l’on a beau nous répéter qu’avec notre région, notre soleil, on a pas besoin de vacances, je peux t’assurer que tu peux avoir envie de voir autre chose que du soleil, l’océan et les pins à perte de vue…
Tant que je parle d’océan, si on abordait le sujet qui me fait hérisser le poil rebelle comme Blonde Paresseuse ? Parce que tu as beau être du Sud et avoir les plus belles plages de France à ta disposition, tu peux toutefois détester te bronzer la pilule au soleil, bêtement, au milieu des cris, des châteaux de sable, de la populace envahissante ! Le meilleur moment à la plage, c’est quand tu t’en vas !
C’est comme dans tout, il y a la dose limite que tu arrives à supporter, passée cette fatidique ligne blanche, qu’il ne faut absolument pas dépasser. Je peux avoir certaines réactions hypodermiques et verbales qui peuvent laisser supposer que ma patience pour les sorties nocturnes a été plus que largement entravée de sa liberté de dire « stop, on s’est bien amusé, maintenant on rentre ! », la demi-heure de trop c’est du vécu, sauf que chez moi, c’est plus qu’une demi-heure, c’est deux heures.
Pour finir sur une note humoristique, coincée dans les bouchons j’ai eu le loisir de zieuter quelques scènes mémorables de curetage de nez intensif, sauf que ce n’est que la partie apparente de l’iceberg, tu as aussi le(la) péteur(se) sous la couette et autres sujets ragoûtants mais laissons parler Une Batarde, avec son style, ça décoiffe light.
On se retrouve la semaine prochaine si vous voulez bien, avec mes nouveaux coups de cœur gueule. Bonne semaine à toutes !
Article rédigé par Petite Salamandre
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