Showing posts with label raté. Show all posts
Showing posts with label raté. Show all posts

Le Quebec Music Raté BEAUTÉ

  • 0





 


Nous avons la super bonne habitude de manger au restaurant pour fêter l’anniversaire des uns et des autres. Celui qui choisit un établissement délicieux est hissé au rang de demi-dieu (ou presque), mais celui qui nous entraîne dans un boui-boui risque d’en entendre parler pendant les sept générations suivantes.


 


Autant briser le suspense tout de suite, le restaurant dans lequel nous avons mangé hier était à classer dans la seconde catégorie. Etablissement à la réputation assise situé à Pessac (près de Bordeaux), le Quebec Music Café se targue de vous offrir un voyage dépaysant de l’autre côté de l’Atlantique.


 


Premiers pas dans l’arène : la décoration est chargée, les tables sont couvertes d’un plastique souple transparent sous lequel figurent quelques souvenirs Québécois. Bah, le plastique souple, c’est pas fort agréable sous le coude. La pièce est bondée, bruyante, et la sono au-dessus de nous diffuse de la musique pas particulièrement dépaysante : Tryo, ce n’est pas plutôt Aquitain ?


 


Nous prenons place, la serveuse vient nous apporter la carte. De ce côté-là, rien à redire, tout le monde ou presque s’orientera vers la fameuse bière au sirop d’érable. D’autres opteront pour le mojito au sirop d’éraaable (ce qui laisse supposer que pour faire “resto québecois”, il suffit d’en ajouter un peu dans tous les plats). Le temps passe, les collègues qui ont opté pour un menu complet voient leurs entrées arriver : Tapas Québécoises.


 


Ils découvrent ainsi un plat sur lequel se promènent des onion rings, des wings de poulet, et des bâtons de mozarella frits. Vu et revu bonjour ? Nous pouvions commander les mêmes pour moins cher à… la Boîte à Pizza. Et si c’est à cela que se limite la gastronomie Québécoise, dommage. Mon petit estomac et moi avons choisi ce même plat plutôt qu’un burger gargantuesque. J’ai demandé des légumes avec, et ai obtenu un coleslow dans lequel la saveur du chou était étouffée par le vinaigre omniprésent. Dommage. J’ai reconnu dans mon assiette les mêmes croquettes au camembert que dans la chaîne de pizzas citée plus haut… Pas dépaysée, au moins. Et je mentionne quand même les morceaux de pain recouverts de toastinette et passés au grill… Pour le côté raffiné, je repasserai.


 


Mais parlons quand même du produit phare de ce restaurant : le burger ! Servis une heure quarante après notre arrivée, ils étaient proposés avec un petit bol empli de frites et d’une sauce dite “brune”. Nous sommes quatre à l’avoir goûtée et l’avis a été parfaitement unanime : on aurait cru manger des frites trempée dans la sauce des raviolis bolo. Mais si, vous voyez ce que je veux dire, cette boîte-là, vous l’avez tous mangée au moins une fois !


 


Quant au hamburger, je crois être suffisamment juste si je dis qu’il est honteux de servir du pain industriel quand on s’est spécialisé dans ce plat. C’est pourtant bien ce qu’ont eu les garçons à côté de moi, qui avaient opté pour le steak de bison sauce moutarde. La sauce n’était pas particulièrement – voire, pas du tout – moutardée. Et le steak, peut-être étaient-ce les plus mauvais morceaux d’un pauvre bison, car ils étaient extra-cuits, trop durs, et pas franchement goûteux. Bref, comme l’a dit l’Homme : ceux qu’on fait à la maison sont bien meilleurs.


 


J’aurais bien aimé juger la qualité des desserts, mais un serveur qui faisait drôlement la gueule a apporté ceux, choisis en amont, des menus et ne nous a pas proposé la carte. Nous sommes donc restés sur notre faim, goûtant un crumble pas terrible car trop cuit et trop acide… Et une part monstrueuse de carrot cake dont la saveur n’était pas plus séduisante. Mais, pour leur défense, c’est un dessert particulier et on aime ou on n’aime pas.


 


Pour résumer : nous y avons beaucoup attendu et mangé des choses ni raffinées, ni particulièrement recherchées. La prochaine fois, le burger, on se le fera nous-mêmes, et tout y sera fait maison, MÊME LE PAIN.


 


Source photo : www.bordeauxactu.com


 


Article rédigé par No Surrender.



 
 


Si vous avez aimé cet article, vous pouvez retrouver No Surrender directement sur son blog.





Comment j’ai raté mes soldes ! BEAUTÉ



Chaque année, c’est la même chose. J’établis un plan de bataille « super intelligent » et « super nouveau » qui est censé m’ouvrir les portes de la bonne affaire en série… Mais chaque année, en faisant mon bilan soldesque, je rempile et remporte une fois encore la palme de la looseuse de la mode !


 


Pré-solde : je suis sur-excitée, je suis certaine que cette année, c’est MON année, qu’enfin mon placard va engranger un tas de jolies fringues et que je vais savoir super bien gérer mon argent !


 


Du coup, je mets en place un super plan (qui s’avère toujours au final super nul !).


 


Bouillon de culture : Je m’informe de ce qui se fait en ce moment, je butine d’un blog mode à un autre, je sélectionne ce dont j’ai vraiment envie, les couleurs qui me plaisent. Je me retrouve alors avec une idée super  précise de mes désirs soldesques…


 


J’ouvre mon placard : je trie, je sélectionne, je fais le bilan de ce qui me manque, de ce qu’il ne faut surtout pas que j’achète (car en double, triple voir quadruple exemplaire dans mon armoire !)


 


Plan d’attaque : Je fais les soldes le premier jour (pour ne pas louper les pièces qui me font vraiment envie), puis dix jours plus tard et lors des deuxièmes démarques. Je n’oublie pas Internet et ses soldes… A faire dès 8 heures du mat’.


 


Le jour J : Je m’habille en vêtements hyper cool, super facile à enlever, en baskets trop légères et je n’oublie pas de me rappeler avec l’intensité d’un mantra LA somme à ne surtout pas dépasser au risque d’être étranglée par ma banquière…


 


JE ME SENS ALORS INVULNERABLE ! J’ai le menton haut, la chevelure au vent, je suis prête…


 


Premier magasin : total contrôle. Articles à peine soldés, je décide d’attendre, je ressors . Deuxième : idem. Troisième ; je commence à traîner la patte. Quatrième : je tourne et retourne les vêtements pour en trouver un à ma taille… PUTAIN, je sens que la tension monte….


 


Petite boutique : le dangereux cri « JE VEUX QUELQUE CHOSE.. Je ne repartirai pas les mains vides » commence à m’envahir !


 


 Et là, craquage total, je retourne dans le premier magasin au cas où j’aurai mal vu (la phrase à la con, qui marque mon entrée dans la folie soldesque et où Superman aurait dû intervenir !)


 


L’engrenage m’a saisie, le magasin a eu raison de moi. Cette année, j’avais dit PAS DE TALONS (j’en ai trop et je ne les porte presque pas). Eh bien, je suis ressortie avec ça :
 




 


Ca commence mal ! Elles sont belles mais je déteste les chaussures ouvertes à talons (mes pieds glissent immanquablement). J’ai dis plus de rose, j’en ai marre (et j’en ai trop !) ! Et je finis  avec ça :
 




 


En plus, je n’avais pas du tout besoin d’un sac.


 


Cette année, j’ai décidé d’assumer mon côté femme, (j’en ai eu marre de tous mes cols Claudine, mes robe patineuses, mes chaussure babies). Eh bien devinez quoi, j’ai acheté cette robe :
 




 


J’étais à la recherche du skinny parfait… ET j’ai acheté deux chino (forme qui ne m’avantage pas du tout, j’ai l’air d’un petit tas !) mais j’ai totalement craqué sur la couleur !


 


Quand mon craquage a commencé, je n’ai pas pu m’arrêter… J’ai acheté du totalement inutile (pour moi) : VIVE SEPHORA !


- Des vernis moches !


- Du  maquillage dont je n’avaispas du tout, mais  pas du tout besoin… Et qui est venu s’entasser directement dans ma salle de bain.


- Une crème hors de prix (pour moi) dont je pouvais totalement me passer (vu que je ne suis pas en manque de crème !)


ET un tas de petites conneries qui ont fait fondre mon budget !


 


BILAN : Il n’y a pas eu pour moi de deuxième jour de soldes ! Et le seul achat utile et qui était sur ma liste fut une brosse à 5 euros achetée chez Sephora !


 


Certes, mes achats me plaisent et je dois avouer que certaines années, j’ai fait bien pire. Genre achat compulsif pour des fringues immondes et mal taillées où une fois arrivée chez toi, tu te demandes si le styliste était bourré en la dessinant ou s’il se fout simplement de ta gueule ! A bien y réfléchir, c’est moi qui devais être bourrée au moment de l’achat !


 


Maintenant, je dois à nouveau économiser pour m’acheter ce dont j’ai réellement besoin (un super skinny de la mort qui tue, des sandales pour marcher pour de vrai, des shorts, un beau chapeau…).


Je crois que les bonnes affaires attendront l’année prochaine !


 


PS : ma sœura été la plus heureuse des petites sœurs … Je lui ai offert la robe, les chaussures (eh oui, même taille !) et le sac. Je me souviens que l’année dernière, elle m’a offert trois robes de son shopping « foirage de soldes » .C’est de famille, je crois !


 


Article rédigé par Lairderien.


 


Si vous avez aimé cet article, vous pouvez retrouver Lairderien directement sur son blog.