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L’expérience du strip-teaseur pour ses 25 ans… Description d’une expérience hors du commun – Âmes sensibles, s’abstenir. BEAUTÉ

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Le 30 juin dernier, j’ai eu 25 ans. Trouver une date pour fêter cet anniversaire ne fut pas chose facile : les vacances des uns et des autres, mes disponibilités du mois de juin et juillet… Bref, finalement c’est trois semaines plus tard que la fête a eu lieu ! Et quelle fête !


 


Je sentais bien une surprise se tramer… Depuis quelque temps déjà, j’observais cachotteries, sourires en coin, et allusions du genre : « Tu vas voir ce que tu vas voir ! », ou encore « Une énorme surprise t’attend ». Sachant qu’on avait parlé du sujet, il y a plusieurs mois.


 


C’est comme ça que mes ami(e)s sont arrivé(e)s ce soir-là, les bras chargés d’alcool. De quoi abreuver tout un régiment une bonne semaine durant. Leur mission de ce début de soirée : me saouler rapidement ! Évidemment, j’ai compris l’intérêt de cette mission un peu plus tard.


 


Mon verre était toujours plein ! Pas un moment de répit ! Je commençais sérieusement à sentir ma surprise arriver… Mon état d’alcoolémie après deux heures de soirée seulement a donné le top départ.


 


C’est ainsi qu’on m’a gentiment priée de m’asseoir sur une chaise au milieu de mon salon. Une musique genre « Full Monty » a été lancée… Et un sapeur-pompier avec casque de feu a fait sa grande entrée ! À cet instant, vous imaginez ma réaction : j’ai explosé de rire ! Oui, parce qu’un mec qui danse en se dénudant, au premier abord, ça fait rire, non ?


 


Au commencement du show, j’étais loin de m’imaginer la suite !  Vraiment loin ! Ce que j’ai compris en revanche, c’est l’intérêt de l’alcool dans ce genre de cas. Il m’a permis de prendre la distance nécessaire pour m’amuser, et participer au show. Attention, je ne fais pas l’apologie de l’alcool ici, j’explique juste que cette situation demande deux choses : la désinhibition et un brin de folie ! Je précise qu’il y avait une bonne vingtaine d’invités ce soir-là.


 


Revenons au principal, le strip-teaseur. Il est arrivé en tenue de pompier, et casque de feu. Les yeux bandés, je commence par découvrir son corps ferme et musclé uniquement avec mes mains. Il a ensuite posé le casque, puis libéré mes yeux, je découvre alors, que le mec est canon ! Un beau brun ténébreux. La suite ? Et bien, il danse, se dénude, m’invite à toucher son corps de rêve. Mes ami(e)s regardent la scène, sans oublier de nous mitrailler mon gogo et moi avec les flashs des appareils photos.


 


Le show continue… Il n’hésite pas à me faire participer en me parlant à l’oreille : « Je vais mettre ma main sous ta robe et faire semblant de te toucher ! » me susurre-t-il. Les invités pensent que c’est vrai et laissent échapper des cris et des rires. Le show est en réalité finement organisé et particulièrement pro. Le voilà désormais en string, il me demande de lui verser de la cire de bougie sur le torse, ou encore de lui frotter le corps avec une éponge mouillée d’eau savonneuse…


 


La fin du show est sensationnelle ! Divine ! Parfaite ! Il arrache son string, en cachant sa partie sensible avec ses mains. C’est ensuite avec mes mains que je la cache ! Il se met debout et me demande de lui sauter au cou. Il m’attrape et me fait tourner pendant de longues secondes (longues secondes, car n’oublions pas qu’à ce moment je suis toujours très alcoolisée) ! C’est comme ça que le show se termine, après 20 minutes de spectacle.


 


Il s’appelle Kris, sûrement un diminutif. C’est un strip-teaseur professionnel et il travaille pour une agence spécialisée. Je ne connais pas son âge, mais il semble avoir la trentaine. Il a été très professionnel, mais aussi très sympathique à mon égard. Il est reparti après un verre.


 


Avant cette soirée, je n’étais pas vraiment à l’aise avec ce concept. Un mec qui fête son anniversaire en invitant une strip-teaseuse, j’ai toujours trouvé ça moyen. Alors en étant une fille, imaginez-vous ! Mais Kris m’a fait voir son métier différemment. Il semble prendre beaucoup de recul sur sa profession et gagne apparemment très bien sa vie. Et puis n’oublions pas une chose, un spectacle de cette dimension est avant tout du pur divertissement.


 




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J’aime lire, j’aime le livre : retour sur une expérience numérique. BEAUTÉ



kobo glo pink
 


Il y a à peine trois ans, je faisais partie de celles qui disait « la liseuse ne passera pas par moi », « le livre numérique n’égalera jamais le livre papier ».
 
On n’a pas le touché, ni l’odeur, ni les belles reliures… La lecture ne pourra pas être la même.


 


Entre temps, j’ai travaillé sur le livre numérique et les liseuses. Je leur ai consacré mon mémoire de l’an dernier. Curieuse d’en apprendre plus sur nouvel objet technologique qui modifie nos habitudes de consommation, et de lecture…


 


Depuis quatre mois, j’ai une Kobo Glo entre les mains. Ma Kobo, rose girly !


Poids plume (185gr), elle me suit partout et je peux déjà dire que je ne pourrais plus m’en passer. Le jour où elle devra me quitter, elle va me manquer.


 



Pourquoi la Kobo Glo et pas une autre ?



 


Lors de mes travaux passés, j’ai pu comparer de nombreuses liseuses, et voir quelles étaient les évolutions annoncées. Les écrans avec guide d’éclairage, les écrans couleurs, les écrans souples… La couleur sera un véritable plus, mais ça ne semble pas être pour maintenant. En revanche, le guide d’éclairage (des LEDs qui vont éclairer l’écran) est bel et bien là.


 


J’ai d’abord acheté cette liseuse pour pouvoir lire mes cours partout, sans être obligée de rester derrière mon écran d’ordinateur (je suis des cours par correspondance). Et surtout pour moins me fatiguer les yeux.


 


Pour lire les PDF et profiter pleinement de leur mise en page, je les convertis grâce au logiciel Calibre en .epub, le format généralisé du livre numérique. Dans l’ensemble, la mise en page reste la même, et pour certains documents, elle se trouve légèrement modifiée – rien de méchant, ça ne gène pas à la lecture, ni à la compréhension.
D’ailleurs, je gère ma bibliothèque d’ouvrages numériques sur mon ordi avec Calibre, trouvant la bibliothèque de Kobo bien trop limitée.


 


La prise en main de la Kobo Glo est très intuitive. Il est difficile de faire plus simple. Un bouton On/Off/Veille – un bouton pour allumer ou éteindre la lumière.


 


Je ne regrette absolument pas d’avoir choisi cette liseuse.


 


kobo-glo-rose-liseuse-avis


 



La lecture, comment est-ce ?



 


Très agréable, surtout avec l’éclairage intégré, qui s’avère très utile en basse lumière ou dans le noir (il n’éblouit pas). Pratique aussi lorsqu’on est dans les transports, ou que l’on souhaite lire dehors en fin de journée (à la plage… ^^).
 
Il est possible d’activer ou désactiver cet éclairage selon nos souhaits, un simple petit bouton est positionné en haut de la Kobo Glo.


 


Pas de reflets causés avec le soleil. L’écran mat des liseuses est doté d’une technologie e-Ink, (de l’encre électronique). Cette technologie rappelle directement le papier, la lumière n’émane pas de l’écran (comme avec un écran LED d’ordi, de Smartphone ou tablette), mais se réfléchit sur l’écran, comme avec le papier.


 


Lorsque vous touchez votre écran pour changer une page, celle-ci ne s’anime pas comme sur une tablette tactile (on n’a pas le coin de page qui se tourne), mais charge. Le chargement se fait instantanément. L’écran tactile répond très bien, les pages (ou menus) arrivent de suite sans attendre.


 



Je consomme quoi comme livre ?



 



Je profite du large catalogue d’e-books gratuits pour me replonger dans mes classiques et auteurs favoris (comme Jane Austen) !
 
Je découvre la version originale du Livre de la Jungle, ou de Pinocchio. La première chose que j’ai faite ? Relire Alice au Pays des Merveilles !
 
J’ai aussi la possibilité de découvrir et profiter pleinement de roman d’auteurs qui s’auto-publient, et ce à moindre coût. On peut trouver des ouvrages à quelques centimes, comme pour une dizaine d’euros.


 


Je compare avant d’acheter la version numérique d’un ouvrage sorti récemment. Il n’est pas rare de voir que la version Poche est moins chère que la version numérique


 


Je fais tous mes achats depuis mon ordinateur, et non depuis ma Kobo (sauf pour des gratuits, au pire si je me plante, je ne risque rien). Je trouve que le catalogue d’achat de Kobo (comme pour les Kindle, ou les e-books sur l’iPad) est très mal fichu ! (Et encore, je reste polie).


 


Il est difficile de faire une recherche, rien n’est classé comme il faut (l’élève qui a suivi une formation en documentation que je suis a juste envie de s’écrier « c’est quoi ce bordel ?! »). Pas besoin d’être une bibliothécaire à chignon pour être exaspérée devant aussi peu de considération envers le lecteur (et consommateur) qui souhaite effectuer une simple recherche.
 
On cherche par tranche d’âge, elles sont trop larges (vive le « jeunesse » qui couvre le 3 – 16 ans, c’est pas tout à fait le même type d’ouvrages), les genres sont mélangés, vous demandez « langue française » on vous colle des ouvrages en langues étrangères, vous recherchez par auteurs, tous ces ouvrages ne s’affichent pas, etc…


 


Bref, pour dire qu’il m’est plus facile d’acheter depuis mon ordi que depuis ma liseuse (ça vaut aussi pour les tablettes et leurs catalogues intégrés).


 


kobo glo1


 


Lorsque que j’achète sur le site de la Fnac (qui fonctionne avec Kobo), mes ouvrages se retrouvent directement sur ma liseuse sans que j’ai eu besoin de relier cette dernière à mon ordinateur. Il suffît de l’allumer pour voir mes nouveaux romans apparaître.


 


A la base j’achète peu de romans neufs, et très rarement des Bochés (le prix me freine toujours). Je fais partie des indécises, qui sont toujours tentées de prendre trois ou quatre romans. Mais à une vingtaine d’euros pièces, je suis obligée de faire un choix, pour ne repartir qu’avec un ouvrage, et c’est frustrant.
Le plus souvent, je les emprunte en bibliothèque, à des amis, à de la famille ou je me les fais offrir.


 


Le numérique ne m’empêchera pas d’acheter les livres papiers que je désire, ni mes albums illustrés que j’aime tant.
 
Mais grâce au numérique, je vais pouvoir lire plus, avec moins de contrainte, et ça me fait drôlement plaisir d’avoir cet accès (supplémentaire) à la lecture !


 



Et vous, tenté par l’expérience du livre numérique ?



 


La Kobo Glo, 129,90 euros, disponible en plusieurs coloris à la Fnac.
Calibre : http://calibre-ebook.com


 


Article rédigé par Le Monde de Porcelaine.


 
 


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