J’ai envie de commencer la semaine sur les chapeaux de roue. Elle est pas belle mon entrée en matière ? Vous avez intérêt à opiner du chef sinon je vous envoie prendre des cours de conduite accompagnée avec notre chère Blonde Paresseuse. Crapaud Poilu n’a qu’à bien se tenir ! Qui a dit que le stress de l’apprentissage, c’était pour le futur conducteur ? Demandez plutôt à l’accompagnateur qui se demande s’il ne va pas devoir prendre un cours de gestion du stress ! Vu le beau brun ténébreux qui donne les cours, je pense que je ne serai pas contre le fait de rempiler aussi…
Et oui, avoir des enfants n’est pas toujours de tout repos, s’ils n’ont pas encore atteint l’âge de passer leur permis de conduire pour vous pourrir la vie, ils atteignent très vite celui de vous casser les pieds burnes (excusez moi, j’ai fourché !) pour vous farcir la corvée plage ! (valable seulement si vous n’êtes pas une adepte du concept plage-soleil-bronzage). C’est du vécu pour ma part avec la pré-ado dans sa prime jeunesse, et je suis heureuse de ne plus devoir comme Chimères et Tourbillons édifier d’hypothétiques chateaux de sable, surveiller une éventuelle disparition dans l’eau de l’océan et autres joyeusetés… Adieu repos, calme et volupté ! Rassurez-vous ou pas, quand ils grandissent ils vous en inventent d’autres !Affaire à suivre !
C’est pour cela, que je voudrais rappeler à la pré-ado ou ado (c’est selon mon humeur ou selon l’âge que je décide de donner à son comportement, non je ne suis pas une marâtre, j’ai juste pas ma langue dans la poche de mon veston !), qu’à tout âge, on a besoin de conseils pour nous aider à mieux appréhender la vie et ses pièges. En langage clair et compréhensible : à cet âge-là, si tu veux pas te planter, suis les sept conseils de base de Brit Brit pour bien vivre ton adolescence. Ton honneur en sortira à peu près sauf, et quelques pas te mèneront plus loin que cette mauvaise passe (on est toutes passées par là, on a toutes eu notre période « con », excusez moi du terme !).
Enfin, je voudrais surtout souligner, malgré mes râlages intempestifs sur les morveux et autres prépubères, qu’être mère (non je le suis pas, ne me demande pas de te parler de mon vécu, je serai mal barrée) c’est une abnegation de soi, pas de foi (ne me fais pas dire ce que je n’ai pas dit). Découvrons avec P’tite Fée sa manière de concevoir ce rôle, et clôturons par cette très belle phrase : « on ne naît pas mère, on le devient ».
On se retrouve la semaine prochaine si vous voulez bien, avec mes nouveaux coups de cœur gueule. Bonne semaine à toutes !
Article rédigé par Petite Salamandre
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