Aujourd’hui, pour changer je vais encore vous parler de relations humaines, non je ne fais pas dans le social, quoique, parfois j’ai des doutes (une véritable éponge, à écouter les problèmes des autres, comme si j’avais déjà pas assez des miens ! Empathie, quand tu nous tiens…).
L’une des relations primordiales, à la survie de l’espèce (humaine) est l’équation homme-femme, or je ne sais pas si tu t’es déjà penchée sur le mode d’emploi, ô lectrice vénérée : séduire est une chose pas toujours évidente ! DarkGally nous emmène dans les méandres de la séduction virtuelle, conclusion de l’auteur : il était plus accessible de séduire à la maternelle (à trois ans, on n’a pas les mêmes difficultés), c’était encore plus facile pour les préhistoriens (non pas d’erreur de frappe, ne pas lire historiens !), un coup de massue et je t’embarque dans ma grotte …
Après « où sont les femmes ? », Patrick Juvet le retour ! Marievh nous interpelle avec où sont les hommes qui draguent (les vrais, pas ceux qui pêchent au gros !) ? Tout le boulot revient encore une fois aux femmes, qui se doivent d’assumer leur désir, d’employer tous les modus opérandis pour tenter de faire comprendre à l’être aimé que oui, il fait palpiter notre petit cœur et pas que ! Or, c’était si bon, ces petits jeux sont une vrai délectation. Avis à la gent masculine…
Séduire un(e) autre, cela peut nous traverser l’esprit, même si nous formons déjà un couple ! Tant que le pas n’est pas franchi, tant que l’adultère n’est pas officialisé, on ne fait pas vraiment quelque chose de mal. Blonde Paresseuse nous entraîne dans les méandres de ses nuits « agitées », de ses doux moments où la sensualité et le désir se mêlent dans les brumes de notre inconscient, et se révèlent à nous pour mieux nous troubler. Homme, femme, inconnu ou prôche, qu’importe au final, l’expression d’un désir ne fait pas de nous des coupables, ni des nymphomanes.
Si au final, rien de tout cela n’a fonctionné, oui parce qu’il faut être claire, si on avait ce qu’on voulait (oui les femmes sont des éternelles insatisfaites) à tous les coups, ça ne serait plus vraiment du jeu ! Je disais donc que si, par malheur, le bellâtre qui vous fait tomber en pamoison dès que vous apercevez sa silhouette (c’est valable pour entendre le son de sa voix, sentir son odeur, tomber devant son regard – en clair c’est hyper-sensoriel mon truc), ne répondait pas à l’appel des sirènes de votre cœur corps… Reste la solution radicale et finale, le virer définitivement de vos pensées ! Pas si simple, mais Marievh nous concocte quelques délicieuses recettes pour oublier le muffle qui se refuse à nos avances désirs.
On se retrouve la semaine prochaine si vous voulez bien, avec mes nouveaux coups de cœur gueule. Bonne semaine à toutes !
Article rédigé par Petite Salamandre
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