En effet, après l’interdiction de cette tradition ancestrale (et barbare, oui, je ne vais pas être objective sur ce coup) en Catalogne, il semblerait que le désamour gagne la France.
Ainsi, les grandes places de tauromachie françaises enregistrent des déficits de plus en plus conséquents, principalement dus à la crise (payer son loyer ou regarder l’agonie d’un taureau en direct, il faut choisir).
Désormais, les principales places taurines du Sud-Ouest limitent les budgets tant pour l’organisation des corridas aux fêtes populaires qui les entourent et une charte a été adoptée pour obtenir de la part des toreros et des éleveurs une baisse de 20% des cachets au-delà de 60 000 euros.
« L’avenir de la corrida en France était en jeu », reconnaît le maire de Mont-de-Marsan (Landes) Geneviève Darrieussecq (l’avenir de la Grèce aussi et j’avoue que ça m’inquiète davantage).
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