La saga des vacances : les tubes de l’été #1 BEAUTÉ

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Comme je vous le disais hier soir ici, j’ai décidé de profiter de l’été pour vous faire voyager… dans le temps, à défaut de pouvoir vous emmener dans les caraïbes :-) A ce stade-là de l’article, je sais à quel point tu es déçu(e) lecteur-trice d’apprendre que nous n’irons pas aux Caraïbes ensemble, mais j’espère sincèrement que la suite de ce message te réchauffera le cœur…


 


Du coup, j’ai choisi de fixer notre machine à remonter le temps directement sur les années 89, 90 et 91… Pourquoi, me demandes-tu petite curieuse ? Et bien parce que mes souvenirs de tubes de l’été remontent aussi loin que ça. Désolée pour celles qui auraient aimé que je revienne carrément aux années 80 mais je ne suis pas compétente dans le domaine :)


 


Et puis 1989 marque réellement, selon moi, le début de ces fameux tubes de l’été, ceux qui évoque la chaleur, le soleil etc…


 


1989


 


La Lambada :
 

 
 
Un des gros plus tubes de l’été est en fait un plagiat. Le groupe français Kaoma reprend en effet une chanson bolivienne « Llorando se fue » sous le nom « Lambada », ou la danse interdite. Et c’est Orangina, en partenariat avec TF1, qui lancera le tube qui devient rapidement un succès mondial !


 


1990


 


L’été suivant, Zouk Machine surfe sur la vague « chanson exotique dont on ne comprend presque pas les paroles » et sort son tube Maldon. Elles partagent la vedette avec Thierry Hazar qui nous raconte l’histoire d’amour de Joséphine et Roger. J’en profite pour dire que quand même… la nuque longue c’était vraiment au top !


 

 
 


Le Jerk :


 

 
 


Vous reconnaîtrez d’ailleurs dans le clip Christophe Salingro, plus connu pour son rôle président de la principauté du Groland .


 


1991


 


Saga Africa, de l’ex-joueur de tennis Yannick Noah, devient célèbre le soir de la victoire de la France au tournoi de la Coupe Davis. Lors de son tour d’honneur, l’équipe de France emmené par son capitaine, Yannick Noah, entame la chanson et n’hésite pas à se lancer dans une espèce de danse version chenille sportive et un peu suggestive… Ben oui quand même, on avance, on recule… Bref, regardez les images, c’est bien plus parlant !


 


La chanson dans son intégralité :
 


 
 


Ce qui s’est passé à la Coupe Davis en 91 :
 


 
 


Article rédigé par Laet



 
 


Si vous avez aimé cet article, vous pouvez retrouver les chroniques ciné de Laet directement sur son blog.





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