La galère du tif BEAUTÉ

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Les copines, l’heure est grave ! Je vous raconte ? Surtout, je pense qu’on est toutes au moins passées par là une fois. Vous voulez que je développe, c’est ça ? Apprêtez-vous à entendre l’histoire la plus triste que vous n’avez jamais entendue…


 


Tout a commencé quand j’en ai eu marre de m’attacher les cheveux tous les jours. Mi-longs et mi-ondulés-bouclés-raides-moches, je n’ai jamais le temps de me coiffer et je vais au plus court : le chignon-bordel. Soit.


En sortant d’une journée de boulot intensive (fesse de book – twittos – hellocoton), il me prend la « folle » envie d’aller chez le coiffeur. J’en parle aux copines : oh non, fais pas ça ! Tu parles…


 


Phase 1 : Excitation


 


La nénette me prend mes affaires, jusque-là rien d’anormal, mais lorsqu’elle m’a demandé ce que je voulais, ma bouche a émis un « coupé tout, je veux un carré ». Sur le moment, je me dis que le changement c’est maintenant (hé hé) et que de toute façon, il est trop tard pour reculer. Trop tard.


 


Une fois la coupe finie, elle me demande si cela me convient, et là, une nouvelle fois ma bouche fait des siennes et répond à ma place que non, c’est encore trop long. Argh !


 


Phase 2 : Admiration


 


Le brushing ? Non merci, de jolies boucles « naturelles » et de la laque plus tard, je sors toute pimpante et me kiffe. Ahhhh l’effervescence de la sortie de chez le coiffeur… Je prends des photos, j’envoie à Chéri, copines, maman et frangin. Je me matte dans le miroir et chante en boucle « I’m feeling like Marilyn Monrooooooe »


 


Phase 3 : Réalité


 


Le lendemain, en sortant de ma douche, je laisse mes cheveux sécher librement, longs ils bouclaient.  Court s? Remake de Chantal Goya. Je pleure. Je meurs. Je ne veux plus sortir de chez moi !


 


Phase 4 : Récupération


 


Je file m’acheter un fer à boucler, je boucle, ça ne tient pas, je pleure. Je file acheter de la mousse, je reboucle, je mets la mousse, tout s’aplatit, c’est la fin. Je file acheter une couleur, persuadée que c’est la couleur des cheveux qui gêne, même scénario, je m’enfonce sous la couette.


 


Au moment où vous lisez ceci, sachez que je suis toujours en train de chercher une solution, et par pitié, aidez-moi.  Il me manque encore la phase : « acceptation » ou encore « repousse de cheveux » !



 




 




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