Enfer ou paradis pour Vanessa ? BEAUTÉ

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A moins que vous ne lisiez que Kant dans le texte, il ne vous aura pas échappé que le drame people franchouillard de l’été a pour nom Vanessa Paradis. L’idole bobo de toute une génération s’est séparée de « son amoureux, son meilleur ami, son homme », bref de l’acteur américain hyper-über-hype John Christopher Depp, deuxième du nom, avec qui elle a vécu 14 ans et eu deux enfants. Toute la presse française en parle, de Paris-Match à Elle, des revues pour filles aux  magazines d’information.
 







 


Evidemment, on met tout sur le dos de Monsieur qui s’est remis à boire, à draguer tout ce qui passait d’Eva Green à Angelina Jolie pour finir avec une grande blonde de 25 ans, soit 14 de moins que Vanessa – on est finalement souvent quittée pour plus jeune que soi -,  bisexuelle, ou homosexuelle, ou on ne sait pas trop quoi, mais qui veut bien de Johnny Depp, même qu’il lui a offert un cheval.


 


En 2004, Vanessa disait dans Paris-Match « il faut pouvoir se parler, tout partager, c’est le secret ». Peut-être a-t-elle trop parlé d’elle, trop partagé ses états d’âme. Car la presse tabloïd américaine nous apprend que la charmante, douce, posée, amoureuse (ce qu’elle montre d’elle dans les émissions télé) Vanessa était en réalité une personne exigeante, coléreuse et changeante. Après avoir poussé Johnny Depp à prendre le personnage de Jack Sparrow dans Pirate des Caraïbes pour qu’il gagne plus d’argent et soit plus célèbre, Vanessa Paradis se serait mise à penser qu’elle avait sacrifié sa carrière (Laquelle ? D’actrice exécrable? De chanteuse très moyenne ? Bien qu’elle soit très soutenue par les médias, que Vanessa Paradis soit absente des scènes ou des écrans n’a jamais changé le paysage…) pour que Johnny puisse continuer la sienne. De reproches – quand il travaillait, elle se plaignait qu’il soit absent – en reproches – quand il ne travaillait pas, elle le traitait de « bon à rien » (slob) incapable de prendre soin de sa famille, le ressentiment a grandi des deux côtés. Frustré et amer, Johnny Depp se remit à boire et a commencé à regarder ailleurs. La séparation effective remonterait à 2010.


 


On ne sait jamais ce qui est vrai dans tous ces ragots mais reconnaissons que c’est un travers assez courant chez nous autres, filles, femmes et dames  : on demande à l’autre d’être différent de ce pour quoi on l’a aimé au début (avant Pirates des Caraïbes, Johnny Depp jouait dans des films un peu moins grand public) et ensuite, on lui reproche d’être devenu différent. « Vous voulez qu’on change et ensuite vous ne nous respectez plus pour l’avoir fait » (voir « la réponse des femmes aux 10 reproches les plus fréquents des hommes » ici en anglais).


 


Doit-on pour autant sortir les mouchoirs? Se lamenter sur le futur de Vanessa ? A vous de juger. Johnny Depp serait prêt à lui donner 130 millions d’euros pour qu’elle garde son train de vie. Lui-même, l’acteur le mieux payé de Hollywood, est propriétaire (on voit les photos dans Paris-Match) d’un palazzo à Venise, d’une île privée dans les Caraïbes, d’une demeure gothique à Hollywood, d’un pavillon de chasse en Grande-Bretagne, d’un mas près de Saint-Tropez et d’un yacht de 47 mètres et lui en laissera bien un ou deux cailloux. Après avoir reçu ses 100 millions de prestation compensatoire,  touché les dividendes de ses albums, tournées, films et publicités chez Chanel, la presque quadra Vanessa n’aura plus qu’à trouver un autre multi-millionnaire en dollars.


 


Qui  sera  à la hauteur de ses besoins affectifs et pécuniaires? Qui pourra la couvrir d’or et d’amour ? Qui saura gagner des tonnes d’argent et être présent tout en la laissant s’absenter quand elle le souhaitera pour poursuivre « sa » carrière ? Un sportif suisse (coureur automobile, joueur de polo, tennisman) ? Un homme d’affaires russe ou chinois? Un producteur américain? Un banquier anglais peut-être…


 


Les paris sont ouverts.


 




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